« Plus c'est gros plus ça marche »
C'est une situation qui existe de plus en plus...
Un français qui insulte un noir... les medias en font une "grosse affaire"... l'inverse passe inaperçu : Silence Radio...
Non seulement l'hystérie déclenchée par toutes ces affaires de racisme « anti blanc » est d'une démesure grotesque, mais permet à toutes les grandes âmes bien pensantes et autres donneurs de leçons, styles philosophes débraillés, de rebondir opportunément en accentuant la polémique, espérant quelques minutes d‘antennes sur les médias toujours complices.
Le ridicule de ce phénomène anti-raciste est à son paroxysme : qu'importe que la victime soit la bonne (qu'importe qu'il y ait victime tout court,) pourvu qu'on ait un coupable à lyncher médiatiquement avec une grande farandole moralisatrice en prime.
Qui s'est indigné de voir et d'entendre Dame Boudjeda, pointant « poétiquement » le majeur sur la couverture de l'œuvre non moins lyrique du best seller « Nique la France » ? Cette admirable militante anti française qui comme tant d'autres crache dans la soupe en bénéficiant du soutien inconditionnel d'imbéciles de tout acabit, et qui ose traiter les blancs de souche de « sous chiens » colonialistes.
Les admirateurs nombreux de cette « passionaria » de l'anti France, se doutent ils seulement qu'en poussant trop loin ces comportements anti blancs, ils contribuent activement au développement d'une opposition qui inévitablement, en appelant à la croisade, débouchera sur des évènements tragiques.
Qui s'est indigné de l'affaire de ce joueur marocain traité de « sale negro » par un spectateur imbibé ? Ce fait divers sans importance déclencha une avalanche de réactions et le nombre de dépêches scandalisées suivis de vrais faux débats comme on les aime en France, permis aux moralisateurs de tous poils de rentrer dans la danse ne manquant surtout pas de faire part d'une noble indignation.
Si j'ai bien compris, quand un spectateur passablement éméché dit « sale négro » à un marocain, c'est un scandale international, mais quand un stade entier de Maghrébins siffle l'hymne national français, cela devient un signe d'enthousiasme bon enfant.
Qui s'est indigné des vomissures classées culturelles par une gauche sirupeuse complice d'une droite dépassée ?
Les appels à la haine et les tombereaux d'injures déversés sur la France et les Français par certains groupes de « rap » ne sont pas une découverte. Pour autant revenir sur ce sujet régulièrement permet de constater que ce scandale se perpétue toujours, sous couvert bien entendu de « liberté d'expression artistique » (à géométrie variable bien entendu...). Dans l'indifférence générale ? Pas tout à fait, puisque certains militants « pour la laïcité » commencent eux aussi à être écœurés par ces messages injurieux et violents et à les dénoncer.
Mieux vaut tard que jamais.
L'immigration !
Un succès complet, une source inépuisable de béatitude, un bain de joyeuse multi culturalité assumée. Pas une ombre au tableau pour les pathétiques militants de l'égalité, alors que oui, il y a aussi, au sein de la population d'origine immigrée, du racisme, de la violence, de l'intolérance, du fanatisme, de la misogynie et du machisme imbécile. Il y a débordement que peu de musulmans français et parfaitement intégrés osent dénoncer.
La dynastie régnante du Front national exerce en ce moment une séduction sans précédent sur l'opinion publique. Le basculement Ménard (ancien gauchisant) est particulièrement bien placé pour l'évoquer. Il éprouve du moins la « colère » qui pousse tant de Français à s'y abandonner et à rallier massivement la seule opinion contestataire dont le bien fondé n'est, hélas, plus à prouver.
Il faut avouer sans détour ni retenue que le comportement de certains immigrés agace et exaspère de plus en plus le français moyen. Il ne correspond en rien aux comportements respectables de ces mêmes peuples que nous rencontrons toujours avec plaisir dans les pays du Maghreb où d'ailleurs bien souvent l'esprit de tolérance n'est qu'une vague notion.
Bien entendu, nous ne pouvons que constater avec une satisfaction évidente, qu'une élite issue de l'immigration est en passe de se faire reconnaître. Nous déplorons toutefois que son silence face aux dérives islamiques puisse être interprété comme une absolution passive.
"Il est clair que s'installer dans un pays étranger impose le respect des lois en vigueur, mais également en accepter les coutumes sans vouloir les remplacer par d'autres. Ceux qui ne peuvent ou ne souhaitent se plier à la loi et aux traditions françaises doivent en tirer la conclusion qui s'impose : aller vivre pleinement leurs propres traditions dans leur pays d'origine."