http://www.lexpress.fr/actualite/politique/la-face-cachee-de-fadela_772602.html
L'information est sortie le Mardi 10 mai 2011 sur l'Express.fr
Elle paraissait si... différente des autres, mais... en fait elle est semblable
Le Canard enchaîné a épinglé la ministre Fadela AMARA pour son logement de fonction de 120 m2
qu'elle n'occupe pas et qu'elle prête (ainsi que le personnel qui va avec) à des membres de sa famille,
pour quelques jours ou quelques mois, tout en gardant son HLM de 50m2 dans le 13ème, à 700 €uros de loyer.
Rappelons qu'elle gagne plus de 11000 €uros par mois.
Parmi les membres de sa famille hébergés,
plusieurs de ses frères.
Le plus étonnant dans cette histoire, et ceci pouvant expliquer le soudain amour sans faille que voue
Fadela à Sarko, c'est que l'un de ses frères squatteurs se nomme, Hassein AMARA.
Le 14 février 1984, le bijoutier André Baster et sa femme Marie-Louise rentrent chez eux, à Joze,
une commune située dans le Puy-de-Dôme, et se font braquer par trois hommes cagoulés et armés.
Quelques instants plus tard, le propriétaire de la maison est assassiné par un coup de feu.
Le cambrioleur qui a tiré n'est autre qu'Hassein Amara, 23 ans, le frère de Fadela...
Le 11octobre 1995, Hassein AMARA est condamné à seize ans de prison.
Aujourd’hui, Hassein AMARA est en stage au ministère de Christian ESTROSI, maire de Nice et ministre de l'Industrie.
Cuisiniers et plateaux-repas à gogo
Ils auraient bien tort de se priver.
D'après le journal satirique, les "hôtes" bénéficient de cuisiniers et d'un maître d'hôtel mis à disposition.
Et le week-end, plutôt que de se faire une pizza surgelée ou de se cuire un "Cordon bleu", les petits veinards s'empiffrent de plateaux-repas préparés à l'avance.
Dure, dure la vie de frère de ministre.
Fadela Amara aurait été la première, il y'a quelques années, à hurler contre ce genre de privilèges qui ne font après tout pas grand mal, mais agacent un peu de la part de personnes qui prônent l'exemplarité en permanence.
Enfin, c'était avant de vendre son âme au "diable" à talonnettes. Ni pute, ni soumise, mais très maline.
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