Auteur : abstentiovotepiednoir
Date de création : 21-03-2011
Voilà à quoi ressemble le ministère de la Culture française sous Frédéric Mitterand.
I love you Phillip Morris.
Un film aux scène sexuelles tout à fait explicites.
Frétillant comme jamais, Frédéric Mitterand, qui est arrivé en proclamant
« I love you Jim Carrey, I love you Ewan Mc Gregor ! »,
s'est livré à un éloquent numéro de « rentre dedans » humoristique auprès du jeune acteur écossais qui n'en demandait pas tant.
Avant de le décorer ainsi que son partenaire Jim Carrey et de les féliciter pour ce couple de cinéma « déjà mythique ».
Puis les deux acteurs se sont embrassés sur la bouche dans les salons du ministère de la Culture, devant un parterre de photographes médusés...
Voilà à quoi ressemble le ministère de la Culture française sous Frédéric Mitterand.
A noter qu'en dehors de la promo et lorsqu'ils ne sont plus sous l'oeil du ministre, les deux chevaliers en font des tonnes pour clamer leur amour des femmes.
A trop bien jouer les gays il y a effectivement un revers de médaille...
- Source : Journal Présent - n° 7030
Frédéric Mitterand au secours de " cocaïne Jean-Luc "
Toujours dans les bons coups, notre ministre de la Culture Frédéric Mitterand a estimé qu'il fallait donner une « deuxième chance » à Jean-Luc Delarue : « il faut donner des deuxièmes chances à tout le monde », a-t-il affirmé. A tout le monde vraiment ? Aux violeurs et aux pédophiles en attendant leur récidive ? C'est aussi ce qu'il s'était empressé de plaider pour Polanski au nom de la France.
Certes, Jean-Luc Delarue à notre connaissance n'entre pas dans cette catégorie de criminels, mais le moins que l'on puisse dire c'est que sa présence en tant qu'animateur vedette surpayé par le service public, interpellé par les Stups parce qu'il apparaissait sur les écoutes des dealers pour leur acheter 12 000 euros par mois de cocaïne, a quelque chose de vaguement choquant, non ?
Pas dans la milieu de Frédéric Mitterand en tout cas, recommandé par Carla à Sarkozy pour qu'il en fasse son ministre.
« Jean-Luc Delarue c'est une histoire triste », a encore bêlé le ministre de la Culture. » Il y a une sorte d'enchaînement fou des années de travail, d'une générosité très forte dans ses émissions, de la notoriété qui est un fardeau et qu'on a peur de perdre. Et puis un moment ça déraille. »
Il va avoir du mal à expliquer cela à la France qui se lève tôt, qui enchaîne les années de travail, paye ses impôts, qui souffre beaucoup moins c'est certain, du « fardeau de la notoriété » mais qui n'a pas le dixième des dépenses de drogue annuelle de Delarue pour se loger et élever ses enfants.... Et qui en plus ne peut pas se payer le luxe de dérailler !
Caroline Parmentier
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