VEF Blog

Titre du blog : Le blog d'un français non pratiquant
Auteur : abstentiovotepiednoir
Date de création : 21-03-2011
 
posté le 09-06-2011 à 13:15:48

Les principaux acteurs de la guerre d'Algérie.

 

 

 

 

COLONEL TRINQUIER

 

Colonel Godard

 

 

Le général Massu avec Jacques SOUSTELLE

Le morpion Delbecq n'est pas loin

 

 

Le Colonel Jean-Pierre

Indicatif "Soleil"

 

Le colonel Bigeard

 

Le Colonel Argoud

 

Le général JOUHAUD et le morpion Delbecq juste derrière Salan

 

Le général SALAN

 

 

Le Bachagha Boualem

 

 

 

 Ferhat Abbas est né le 24 août 1899 à Taher à Jijel au sein d'une famille
bourgeoise paysanne originaire de la petite Kabylie.

 

 

Jean Louis TIXIER- VIGNANCOURT

 

 

 Général JOUHAUD

 

 

Général CHALLE

 

COLONEL lACHEROY

 

Maréchal Juin et Général Challe

 

 

 

 

Le Colonel Denoit de Saint Marc

 

Le Colonel Jean-amarie Bastien-Thirry

 

 

Le Colonel Masselot

 

L'Amiral  Auboyneau, le Général Salan et  Robert Lacoste.

 

Le Général SALAN

 

Le général Massu

 

Le Colonel  THOMAZEAU

dit  "Nez de cuir."

 

Les généeaux Challe et Zeller.

 

 

 

Le capitaine Le Pivain

 

 

Le Colonel Chateau-Jobert

Compagnon de la Libération

condamné à mort

 

 

Lieutenand Roger Degueldre

 

« Le jour où les « fells » entreront à Alger,

 j'espère trouver trois compagnons pour garder les faces du Monument aux morts et tomber en tirant une dernière salve de PM » - R.D

C'est quelques heures seulement après le génocide du 5 juillet 1962 qui, rappelons-le, fit plus de trois mille victimes parmi la population civile européenne, que de Gaulle prit

sa décision de faire fusiller le lieutenant Roger DEGUELDRE qui, fidèle à son engagement

« La mort plutôt que le déshonneur ! », avait justifié son action dans l'OAS par ces mots : « Mon serment, je l'ai fait sur le cercueil du Colonel Jeanpierre. Plutôt mourir, Mon Colonel, que de laisser l'Algérie aux mains du FLN, je vous le jure ! »

 

Le lendemain, 6 juillet 1962, à l'aube, au fort d'Ivry, Degueldre se présenta devant le peloton d'exécution en tenue de parachutiste, le drapeau tricolore sur la poitrine, drapeau auquel il avait tout sacrifié et qu'il avait choisi comme linceul.

 Autour de son cou, il avait noué un foulard de la légion. Dans la poche intérieure de sa vareuse, il y avait la photo d'un bébé, son fils qu'il n'avait jamais vu. Il avait conçu cet enfant dans la clandestinité.

 Le bébé était venu au monde alors que le père se trouvait dans sa cellule de condamné à mort.

 

« Dites que je suis mort pour la France ! » s'écria-t-il à l'adresse de son défenseur. Puis il refusa qu'on lui bande les yeux et, au poteau cria : « Messieurs, Vive la France ! » avant d'entonner la Marseillaise. Les soldats qui devaient l'exécuter, émus par son courage, hésitèrent à tirer. La première salve le blessa seulement : Une seule balle l'atteignit sur les douze qui furent tirées : au ventre dirent certains... au bras affirmèrent d'autres. Quoiqu'il en soit, le fait certain c'est que Degueldre ne fut pas atteint de manière décisive.

L'adjudant chargé de donner le coup de grâce se précipita, l'arme à la main, pour accomplir sa sinistre besogne et se rendit compte que le condamné était toujours en vie. Sa tâche ne consistait désormais plus à achever un quasi-mort censé avoir reçu douze bouts de métal... mais bel et bien de tuer un vivant. Et ce sont là deux choses bien différentes... Il en eut si terriblement conscience, que sa main pourtant préparée à cette macabre mission trembla, et que le revolver se déchargea dans le vide.

 

C'est ainsi qu'après Claude PIEGTS et Albert DOVECAR, Sergent au 1er Régiment Etranger de Parachutistes, mourut, assassiné, le lieutenant Roger DEGUELDRE, également du 1er R.E.P, Chevalier de la Légion d'honneur... Et les salves du peloton couvrirent un instant les plaintes et les râles qui montaient d'Oran, tandis que la France, en vacances, n'entendit rien. Et nous nous devons de ne jamais oublier son ultime message adressé au petit peuple d'Algérie : « Si je ne suis pas de leur race, ni né sur leur sol, je les ai beaucoup aimés et je les aime toujours ! »

Huit mois plus tard, le 11 mars 1963, le Colonel Jean BASTIEN-THIRY, Polytechnicien, tombait à son tour à 35 ans, sous les salves du peloton. Décidément, le crime était profondément enraciné !...

extraits d'un texte de José CASTANO

 

 

 

 

 

 

Commentaires

le rescapé de B E O le 06-07-2012 à 12:55:40
La France doit payer et rendre des compte un jour ou l'autre ,ils ont voulu une immigration de masse de combattant islamique qui viennent que pour occupé la France et foute les Français dehors comme fut l’Algérie .avec l'aide DeGaulle et les collabos de toutes gauches communiste confondus.. .
Bassoma le 30-09-2011 à 18:41:17
Belle galerie, mais il manque le meilleur d'entre tous ... le lieutenant Roger DEGUELDRE
michelderennes le 11-06-2011 à 09:39:10
J'ai bien connu MASSU quand il était responsable des FFA en 68 au moment des évenements de 68;