Le New York Times poursuit en précisant que le bilan politique d'Hollande est affligeant, qu'il a un charisme d’andouillette,
et ajoute qu'il n'y a pas un seul journaliste français pour soulever les évidences qui sautent à l’esprit du premier observateur objectif.
Reprenant la phrase de Martine Aubry,
l’article explique qu’au sein même de son camp politique,
Hollande est considéré comme une « couille molle ».
Le très sérieux New York Times revient ensuite sur le bilan politique ridicule de Hollande.
Présent à l’élection grâce au prétendu viol de DSK, Hollande s’était même fait doubler par sa propre femme pour la course à la candidature de 2007.
Homme politique depuis des décennies, Hollande « n’a jamais était responsable du moindre portefeuille ministériel »,ce qui en fait un amateur.
Pour le journaliste américain, il a uniquement ses chances grâce à la sarkophobie française.