Le blog d'un français non pratiquant

Les cocus de l'histoire

posté le 12-10-2011 à 14:15:01

Abstention !!!

 

Vote blanc, vote nul ou abstention ?

 

 Certains Français partent, à tort ou à raison, de l'idée que les votes blancs et les votes nuls sont écartés ; que l'abstention est ignorée ; et que cependant, le vote blanc ou nul est une adhésion au système ; alors que l'abstention est un rejet absolu du système.

Je n'ai pas à juger, en bien ou en mal, cette idée.

Selon ces mêmes Français, est blanc le bulletin matérialisé par une feuille blanche sans mention aucune.

Est nul le bulletin - d'un candidat ou d'une liste en lice - modifié par ajout ou suppression de nom ou par ajout d'un signe quel qu'il soit.

 

L'abstention serait, toujours selon cette idée, le fait d'un électeur qui ne vote pas.

Le vote nul serait le fait d'un électeur qui fait valoir une idée personnelle sur la liste ou le candidat.

 L'abstention serait le fait d'un électeur qui se désintéresse complètement des élections et veut en finir avec le système.

 Et, encore une fois, je n'ai pas à juger, en bien ou en mal, cette idée.

 

Certes, je défends mes convictions.

 Certes, mes convictions ne changent pas.

Et certes, je ne m'intéresse pas aux échéances électorales présidentielles et législatives de 2012.

 En effet, je regarde au-delà de 2012 ; et je propose la création d'un véritable parti de droite d'ici 2017.

 On me dit que cela fait le lit de la gauche.

 On me dit que cinq ans de socialisme, à partir de 2012, ce serait la ruine.

 On me dit, aussi, que le système s'endette depuis plus de soixante ans.

 

Or, précisément, si cela fait plus de soixante ans que le système s'endette, aussi bien sous la droite que sous la gauche, alors, je ne vois vraiment pas en quoi il y aurait, soudain, urgence, à devoir voter impérativement pour l'UMP (ou pour ce qu'il en reste)

ou FN (mais pour lequel des clans ?), uniquement pour faire barrage au PS (qui concilie du Valls avec du Montebourg, quel bon sens !).

 Le déclin et la finitude

 

Peut-être ne me suis-je pas fait bien comprendre jusqu'à présent.

Alors je vais tenter d'être le plus concret possible.

Mon point de vue, c'est que depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, la France vit sous l'alternance du social-étatisme dit de droite et le socialisme tout court dit de gauche. Cela ne fait, pour ce qui me concerne, aucune différence sur le fond.

La seule différence, c'est que le socialisme tout court dit de gauche mène plus rapidement à la ruine que le social-étatisme dit de droite.

 

A cet égard, ma conviction ne se limite pas à ce raisonnement que je trouve d'ailleurs terriblement réducteur et résigné.

 Ma conviction, c'est que la France a besoin d'une économie à la Reagan ou à la Thatcher. Bien entendu, une telle économie provoquerait, dans un premier temps, des grèves et des manifestations. Et alors ?

En quoi serait-ce dramatique ? Il est tout à fait naturel et normal, que dans un premier temps, une révolution économique conservatrice provoque des grèves et des manifestations.

 Mais cette révolution économique conservatrice, n'en reste pas moins, le seul et unique moyen concret, de mettre fin à un système qui s'appuie sur le déficit et l'endettement.

 

Si les Français, pour comprendre enfin cela une bonne fois pour toutes, éprouvent le besoin anachronique et surréaliste de faire grève et de manifester, et bien qu'ils fassent donc grève et qu'ils manifestent.

 Lorsqu'ils auront mis leur pays en faillite, en cessation de paiement, en banqueroute, ils éprouveront soudain le désir de satisfaire des besoins vitaux, tel que manger par exemple.

Faire grève et manifester ne leur sera plus d'aucun secours, puisqu'ils n'auront même plus de quoi se nourrir.

 Et, à ce moment là, faites-moi confiance, ils accepteront, sans poser la moindre condition, l'aide du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale.

 

 

Et les Français accepteront de travailler plus, de travailler plus longtemps, et, même, de gagner moins, jusqu'à ce que les chiffres cessent définitivement de surfer dans le rouge. A cet égard, force est de constater qu'aucun (e) candidat (e) aux présidentielles de 2012 n'est à la hauteur des véritables enjeux.

La France devrait donc littéralement s'effondrer d'ici 2017, avant que son peuple ne trouve un (e) candidat (e) disposé (e) à redresser le pays, mais cette fois sans raconter des salades.

 

Puisque nous parlons ici d'économie, de dette et de ruine, sachez que les charges astronomiques au bénéfice des fonctionnaires français, à savoir 81 milliards d'euros de rémunérations et 38 milliards de pensions de retraites,représentent, tenez-vous bien, 40 % des dépenses de l'État. La Mission d'Evaluation et de Contrôle ad hoc a travaillé sur la masse salariale des fonctionnaires.

 La Mission conclut que l'État doit devenir meilleur gestionnaire, ce qui une manière courtoise de dire que la Sarkozie est un République bananière.

 

En effet, les ministères recrutent des fonctionnaires plus, ou même trop, qualifiés - donc plus, ou même trop, payés - en remplacement de ceux qui partent à la retraite, et qui d'ailleurs, continuent de coûter trop cher, puisqu'ils touchent une grosse retraite, malgré la crise.

 

Cette politique absurde diminue les soi-disant économiesthéoriquement permises par le non-remplacement d'un départ à la retraite sur deux. La hausse de la qualification des nouveaux fonctionnaires n'a tout simplement pas été chiffrée par l'État, ce qui constitue encore un signe, un de plus, que l'Etat sarkozyque est - et restera - une République bananière.

 

Le comble de l'indécence, c'est que le gouvernement a très mal contrôlé les primes accordées aux fonctionnaires en compensation des réductions d'effectifs ; et le gouvernement a très mal contrôlé le volume des heuressupplémentaires. Les primes absorbent 67% des économies supposées êtregénérées par les suppressions d'effectifs.

 

 

Le coût des heures supplémentaires augmente de 4,5%pour atteindre 1,5 milliard d'euros.

 En plus, l'intéressement collectif, un système dont bénéficient les fonctionnaires depuis 2011 (présidentielles 2012 obligent) n'ait fait l'objet d'aucune évaluation de son coût présent et à venir. Idem pour la mobilité.

 Le gouvernement accorde des primes auxfonctionnaires qui changent de services ou de lieu - et à leurs conjoints ! - sans en chiffrer la charge budgétaireprésente et future.

 

 

 Vu sous cet angle, peut-être comprendra-ton un peu mieux, que je puisse proposer, pour 2017, une révolution économique conservatrice.

Maintenant, si quelqu'un veut mettre en place cette révolution dès 2012, en votant UMP (sans doute Sarkozy), FN (certainement Marine Le Pen) ou PS (Hollande ou Aubry), sachant qu'un Alain Juppé ou un Arnaud Montebourg deviendrait Premier ministre, alors moi, très franchement, je lui souhaite beaucoup de plaisir, je lui exprime ma profonde compassion, et, surtout, je lui présente mes sincères condoléances.

 

 Michel Garroté Rédacteur en chef http://drzz.info/

 

 


 
 
posté le 10-10-2011 à 04:43:54

Encore un dérapage de notre dame de Paris.

 

 

 

 

DELANOE inaugure   une plaque aux « victimes de l'OAS » au cimetière du Père Lachaise.

 

Cette plaque serait respectable si un même hommage avait été fait en faveur des victimes plus de 200 fois supérieures et dans des conditions inhumaines non chiffrables de ses amis du FLN.

 

Ils seront accompagnés de tous les néo porteurs de valises, certainement de représentants des autorités, et même de représentants du gouvernement terroriste algérien (pas de printemps arabe).
Bien entendu aux doubles commandes Gavoury.

 

 

Comme il y a toujours moyen de rire même au vu des actes les plus tristes : ils ont tellement peur de l'OAS que le cimetière sera interdit toute la journée !

 


 
 
posté le 16-09-2011 à 09:19:07

Po po po po ! Dis!

 
Po po po po ! Dis!

 
 


 
 
posté le 14-09-2011 à 04:37:47

C'est la deuxième mi-temps du soit disant printemps arabe.

Le Califat de BHL et Sarkozy 

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Sarko-Kadhafi
 

Les excès du passé (2007).

 

Michel Garroté 

 

Hier, lundi 12 septembre 2011, le président et numéro un du Conseil national de transition libyen, Moustapha Abdeljalil, lors de son premier discours public dans la capitale de la Libye, Tripoli, a annoncé la couleur verte :

 

 « L'islam sera la principale source de la législation »

dans la nouvelle Libye.

 

 

 

Moustapha Abdeljalil a fait cette déclaration, devant plusieurs milliers de Libyens, réunis sur la Place dite des martyrs, à Tripoli, deux jours après son arrivée dans la capitale, qu'il visite, pour la première fois, depuis l'insurrection contre Kadhafi, commencée en février dernier.

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Pour mémoire, lorsqu'un dirigeant musulman déclare que « l'islam sera la principale source de la législation » de son pays, cela signifie, tout simplement, que la charia et les lois islamiques constitueront la base de l'ensemble des lois qui régiront la vie des citoyennes et des citoyens.

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Abdeljalil : la charia sinon rien.

 

L'on félicitera tout particulièrement l'ex-gendarme Nicolas Sarkozy et l'ex-philosophe Bernard Henri Lévy, d'avoir été les principaux initiateurs, de ce qui semble - aujourd'hui devenir un Califat en Libye.

 

En plus de la Ligue Arabe, de l'autocrate islamiste turc Erdogan, des Frères Musulmans Egyptiens, des dirigeants maffieux palestiniens, de la non-représentative et illégitime Assemblée générale de l'ONU, nous avons, désormais, sur le dos, l'Organisation de la Conférence Islamique.

C'est, nous dit-on, l'avancée du « printemps arabe », de la « démocratie » et la « liberté », en terre d'islam.

 

Avec, pour complices, un président irresponsable et un ridicule faiseur d'opinion.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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  Michel Garroté - http://drzz.info/

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posté le 12-09-2011 à 17:08:51

La France qui travaille et la France qui empoche.

 

 

Abstention !

 

 

Marseille bricole dans des associations de malfaiteurs...

 Chirac et Galouzeau font dans la démesure... 

Sego lance l' idées de radier à vie tout élu ayant été condamné pour magouille...

DSK essaie par tous les moyens de se refaire une virginité...

 Domenech empoche un million d'euros pour avoir ridiculisé...

Nos soldats meurent pour rien en Afghanistant...

Les princes qui nous gouvernent dilapident notre argent...

Les français somnolent...

 

  

 

 

 

 Et Marine engrange des voix... 

 

 

EN COURS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 
 
posté le 10-09-2011 à 05:32:22

L'agonie du PS.


AUBRY la communicante...
Sequelles du socialisme...ou fuite devant les caméras ? 

 

Martine Aubry, apparemment peu satisfaite des questions du journaliste, décide de le planter là, en plein milieu d'interview.

Martine Aubry, notre future présidente de la république ?

 Mouarfff !!!

 

Reproduction vivement encouragée !

(en mentionnant ce lien : http://www.drzz.fr/)

 

La guerre des roses a commencé  

PS-1 

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Michel Garroté 

 

 

Jack Lang désespère.

 

 Il s'interroge sur les attaques de Ségolène Royal contre d'autres candidats (tes) socialistes aux primaires de ce parti.

Jack Lang conjure Ségolène se mettre au seul service du combat commun des socialistes. Il faut dire que Ségolène Royal a mis le paquet.

Elle a demandé, à propos de son ex-mari François Hollande :

 « Est-ce que les Français peuvent citer une seule chose qu'il aurait réalisée en trente ans de vie politique ?

Une seule ? ».

 

A propos de Martine Aubry, elle a déclaré :

« Sa seule expérience électorale, c'est une législative perdue en 2002 ».


 « Jusqu'à présent, Ségolène Royal avait mené une campagne sérieuse et dirigeait ses flèches contre le seul gouvernement sortant », raconte Jack Lang qui regrette un « faux pas » de Ségolène.

« Toute polémique entre socialistes sert la droite », découvre soudain, dans une exclamation verbale publique, ce bon vieux Jack, vilain petit canaillou de surcroit.

 

  Michel Garroté 2011 http://drzz.info/

 

 

...on ne parle plus de l'affaire Luc Ferry...

 

 

 


 
 
posté le 05-09-2011 à 05:43:24

notre dame de Paris s'orientalise aux frais des gogos parisiens...

 

Paris 

la soirée du ramadan fait polémique

 

Organisée par la Mairie de Paris le 24 août, la "soirée du ramadan" aura coûté la bagatelle de 99000 eu­ros:

29000 pour le repas de ruptu­re de jeûne (iftar)

et près de 70000 pour les concerts qui ont vu dé­filer chanteurs et musiciens tunisiens dans les salons de l'Hôtel de Ville.

 

Les jours précédents, plusieurs associations et parlementaires de la majorité s'étaient opposés à l'organisation de cette ma­nifestation à ca­ractère religieux, au nom du principe de laïcité.

 

 « Ce précédent est grave et symbolique d'une dérive déjà observée dans d'autres grandes villes, notamment à Lille, dirigée par Martine Aubry »,

a ainsi protesté Jérôme Dubus, conseiller Nouveau Centre de Paris,

affirmant qu'« aucune autre fête religieuse, ni chrétienne, ni juive, ni de toute autre confession n'avait connu ce privilège ».

 

Le député UMP Jacques Myard a renchéri, dénonçant le « communautarisme électoral » de cette «initiative particulièrement cho­quante »

du maire de Paris, Bertrand Delanoë.

« Cette gigantesque promotion est non seulement un soutien clair et délibéré à une religion particulière, mais elle a même tous les aspects du prosélytisme », a-t-il ajouté.

 

Fait exceptionnel : le préfet de police de Paris a jugé, dans un courrier adressé le 19 août à la Mai­rie, qu'« une telle soirée à ca­ractère cultuel semble contraire au principe de neutralité des services pu­blics ».

 

Pour sa défense, la municipalité n'a pas craint de répondre que cette soirée, « organisée traditionnellement par la Ville tous les ans depuis 2001 »,

 constituait un événement « culturel », ne correspondant « à aucune fête musulmane ».

Avec le Parti de gauche, les écologistes ont apporté leur soutien à cette « initiative pacifique et solidaire ».

 

Amaury Brelet

 


 
 
posté le 03-09-2011 à 05:12:06

L'homme de la providence...

Sarkozy Ubu-roi virtuel de la planète 

 

Or donc, Sarkozy, dans le contexte de la tragi-comique Conférence Internationale pour la Libye, de hier, à l'Elysée, Conférence qu'il avait organisé, pour conforter, son titre virtuel d'Ubu-roi de la planète, Sarkozy donc, a allégué plusieurs inepties.

 

 

Sarkozy a notamment allégué que le refus d'Israël (face à la création d'un Etat palestinien par l'AG de l'ONU ce mois de septembre) serait un acte de pure folie.

 

 

Et Sarkozy a allégué que les négociations de paix menées sous la conduite des USA ont été un échec ;

et que cela a été une erreur, de la part des USA,

de ne pas mettre l'Europe (autrement dit La France et donc Sarkozy soi-même) au centre de ces négociations.

 

 

Sarkozy voudrait, en outre, que tous les pays de l'Union Européenne, adoptent, une position commune, sur la création d'un Etat palestinien.

Ce qui, en langage décodé, signifie que tous les pays de l'Union Européenne

 devraient - parce que Sarkozy le veut - voter la création d'un Etat palestinien, à l'Assemblée Générale de l'ONU, ce mois-ci.

 

 

Alors que ce même Sarkozy vient de faire déporter, d'un endroit à un autre, par train SNCF (remake...?), une poignée de Roms (y compris des enfants roms pris de panique lors de la rafle) du fait que ces Roms étaient installés, tenez-vous bien, dans le Califat de Seine-St-Denis, où ces Roms empêchaient, sans doute, les musulmans (majoritaires) de vivre en paix (islamique)

Si la géopolitique - interne à la France - de Sarkozy, est, à ce point abjecte et démagogique, l'on peut, légitimement, se demander, s'il est compétent, en matière de géopolitique nord-africaine, ainsi que proche et moyen orientale.

 

 

Du reste, il y a, chez notre Ubu-roi préféré, deux précédents, regrettables et fâcheux. Primo, à cause de l'impulsif Sarkozy, la crise en Géorgie n'a pas été résolue, puisqu'au final, la Poutinie, a, de facto, annexé deux régions appartenant à cette même Géorgie.

En attendant d'annexer, peut-être, un jour, le Belarus (Biélorussie) et une partie (« russophone » comme ils  disent...) de l'Ukraine.

 

 

Secundo, la crise en Côte d'ivoire n'a pas non plus été résolue, puisqu'au final, ce pays chrétien - ou ce qu'il en reste - est devenu le terrain de chasse d'un musulman aux mœurs claniques et tribales. Demandez aux pasteurs et aux prêtres ivoiriens ce qu'ils en pensent. Leur témoignage est édifiant.

 

 

D'autant que (j'allais presque oublier) Sarkozy (toujours très « déterminé » contre Israël), reste, en revanche, beaucoup plus timoré, à l'égard de l'abominable dictature syrienne. Sarkozy se contente de raconter, que le dictateur syrien Bachar El-Assad, a causé à son pays un tort irréparable ; que la France, ses partenaires, feraient, paraît-il, tout ce qui est dans leurs possibilités, pour que, soi-disant, la « crise » (le massacre) prenne fin.

 

 

Et sur l'effroyable théocratie intégriste iranienne (un « point de détail » de l'histoire depuis 1979...), Sarkozy, se contente de raconter, que la course de l'Iran vers l'arme nucléaire, risquait, de pousser, certains pays (?) à lancer une guerre préventive, et que ce scénario mènerait, à une crise, qu'il faudrait, toujours selon Sarkozy, éviter à tout prix.

 

 

 

En clair, ce n'est pas la France qui mènera - ou participera à - des frappes préventives, contre le nucléaire offensif iranien ; car, selon Sarkozy, cela mènerait à une crise...

 

En revanche, si l'Iran vitrifie Israël, cela ne mènera pas à une crise, toujours selon la dialectique de Sarkozy (même s'il ne dit pas cela de façon aussi explicite).

 

Concrètement, tout cela signifie que, selon Sarkozy, la création d'un Etat palestinien, soumis au Fatah, en Judée et en Samarie, serait une bonne chose. Que, selon Sarkozy, il faut aboyer, mais ne surtout pas mordre, en ce qui  concerne la Syrie. Et que, selon Sarkozy, il faut évoquer - de façon purement théorique - le danger létal du nucléaire iranien, mais ne surtout rien faire, afin « d'éviter une crise ».

 

Autrement dit, en résumé, si dans les mois qui viennent, le Fatah, la Syrie et l'Iran menaçaient - directement et intégralement - l'existence même d'Israël, ce ne serait pas grave, le seul objectif étant « d'éviter une crise ».

 

A propos de Proche et de Moyen Orient, ainsi que de « printemps arabe », je note, avec amusement, que depuis peu, dans certains débats télévisés, les « analystes », la bouche de travers et l'air enfariné, concèdent, du bout des lèvres, avec moult contorsions faciales, qu'au moins 30% des acteurs du « printemps » précité, sont des islamistes.

 

Et que, de ce fait, au minimum 30% des futurs élus en Tunisie, en Egypte et en Libye seront des islamistes...

 

Pour ne pas être accusés « d'islamophobie », ces mêmes analystes, s'empressent d'ajouter, avec des airs de chiens battus qui récitent une litanie sous la contrainte, que ces 30% minimum d'élus islamistes seront neutralisés, du fait qu'ils participent, au jeu démocratique.

 

Je laisse, aux lectrices et aux lecteurs, le plaisir d'en tirer les conclusions qui s'imposent.

 

Je précise, tout de même, que l'un des analystes susmentionnés, a réussi, le tour de magie, de classer les Frères Musulmans, dans la catégorie des « islamistes modérés » qui, paraît-il, « respecteront le processus démocratique ».

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Je suppose qu'il est interdit d'en rire, sous peine d'être taxé « d'islamophobe ».

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Copyright 2011 Michel Garroté - http://drzz.info/ - http://drzz.fr/

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Commentaires

 

1. uggs Australia  le 21-09-2011 à 06:34:16  (site)

Keep your blog posts coming. I really like reading your site. Thank you for your insight.

 
 
 
posté le 02-09-2011 à 04:34:02

Comportements immoraux.

 

 Omar Djellil, ancien de SOS Racisme

avait quitté l’association par dégoût de ses magouilles.

 

 
 


 
 
posté le 01-09-2011 à 07:31:11

Que de lucidité !

 

Trois questions à Guy Millière

 par Jean-Patrick Grumberg

 

Drzz.fr :

 L'islam conquérant préoccupe beaucoup de français. Pensez vous que le Front National, s'il arrivait au pouvoir, traiterait le problème, et si oui, que ferait-il ? Pourrait-il, légalement, politiquement, socialement faire quelque chose ? Comment réagiraient les huit ou dix millions de musulmans ? 

 

Guy Millière :

 Je ne pense pas que le Front National arrivera un jour au pouvoir. Les partis de réaction nationaliste, dont le Front National fait partie, peuvent attirer vingt pour cent de l'électorat, rarement davantage. Ils peuvent parfois, quand ils rompent clairement avec l'antisémitisme (ce qui n'est pas le cas, à ce jour, du Front National), trouver les moyens de faire partie d'un gouvernement de coalition, ce qui a été le cas en Italie, mais ils ne peuvent gouverner par eux-mêmes.

Donc la question ne se pose pas. L'alternance en France continuera à se faire entre le Parti socialiste et l'UMP.

 L'UMP peut faire des gestes symboliques et sans portée réelle comme la loi sur la burqa. Le Parti Socialiste, lui, sera dans l'apaisement et la compromission.    

 

Dans l'absolu, ce ne sont pas des mesures concernant spécifiquement l'islam qui devraient être prises, mais des mesures plus vastes :

rétablir l'Etat de droit, ce qui impliquerait de mettre fin à l'existence de zones de non droit, réaffecter la police à ses tâches fondamentales, abaisser radicalement impôts et taxes de façon à redynamiser l'esprit d'entreprise, démanteler graduellement tous les dispositifs d'assistance sociale, privatiser les HLM, enseigner à nouveau, dans les écoles, non pas la fierté d'être français, mais les valeurs essentielles de la civilisation occidentale.   

 

Tout ce que je viens d'écrire semblera insensé ou impossible à nombre de lecteurs.   

Ce n'est pas du tout insensé.

 C'est, par contre, impossible, parce que l'Europe est dans une crise très profonde, qui est une crise économique, politique, culturelle, morale.

 Les dirigeants politiques ne feront rien. Ceux qui sont aux commandes dans l'éducation nationale, les médias, les institutions culturelles, ont été modelés dans la direction du « politiquement correct » à l'européenne, qui exclut le libéralisme classique et le conservatisme à l'américaine.

A mes yeux, la France et l'Europe sont malades, et la maladie arrive en phase terminale. Cela pourra encore durer quelques décennies.    

 

Drzz :

En 2012 il faudra choisir un président. Vous dites vouloir vous abstenir. S'abstenir favorise/défavorise quel parti/candidat ? Cela répond à quelle stratégie de votre part ?  

 

GM : 

Il y aura sept ou huit candidats au premier tour de l'élection présidentielle.

Quatre ou cinq de ces candidats auront un discours si imprégné de socialisme qu'ils incarnent différentes variantes de l'accentuation de la maladie.

 Je ne peux voter pour eux.   

 Marine Le Pen a un discours économiquement socialiste, mais d'un socialisme réservé aux français, et le reste de son discours est assez nettement anti-américain et très ambigu en politique étrangère :

elle représente une France crispée, xénophobe, et se reléguant elle-même dans le révolu. Je ne peux voter pour elle.   

Bayrou ou Borloo représentent une forme de travaillisme, et au Royaume-Uni, ils seraient dans le parti de Gordon Brown. Je ne peux voter travailliste. Le travaillisme au Royaume-Uni a érodé graduellement les acquis des années Thatcher et on a vu les résultats récemment à Londres.   

Si j'élimine les groupuscules marginaux, qui n'auront de toute façon pas voix au chapitre, il reste Nicolas Sarkozy. Ce sera, dans les conditions actuelles, le moins pire, mais il y a chez lui un bonapartisme désordonné qui m'inquiète :

 l'aventure libyenne est une illustration de ce vers quoi ce type de tendance peut conduire.

Il y a des dimensions autoritaires du personnage qui m'insupportent. Et économiquement, ce qu'il fait, tout en étant plus raisonnable que ce que ferait un socialiste, me semble sans ligne directrice, et très étatiste.   

Je ne veux pas voter pour le moins pire.

S'abstenir, dans ma position, ne favorise personne.

Des tendances lourdes existent. Cela dit, si l'abstention atteignait des proportions très élevées, cela montrerait qu'il y a une crise de légitimité pour la représentation politique en France.    S'abstenir, pour moi, est un geste personnel. Je considère que la France est dans une situation de totalitarisme doux.

Tout un ensemble d'idées qui ont un poids important sur la planète est totalement exclu de tout débat en France. Cet ensemble d'idées ne trouve plus sa place dans la presse et les médias audio-visuels, dans l'enseignement, dans la culture et les maisons d'édition. Dès lors que ces idées ne trouvent plus leur place, la population ignore qu'elles existent, et il n'y a aucune demande pour ces idées. Ni offre ni demande :

la boucle est bouclée. Les conséquences sont extrêmement graves, mais, comme je l'ai écrit, les civilisations sont mortelles, elles meurent souvent assassinées, mais les assassins savent injecter des venins qui font que la mort vient lentement, et que quasiment personne ne réagit.   

 

 Ce qui est accompli en France est ce qu'Obama voudrait accomplir aux Etats-Unis, et c'est pour cela qu'Obama reste si populaire en Europe. Mais aux Etats-Unis, des anticorps existent encore.

 Le discours des tea parties et de gens comme Rick Perry ou Michelle Bachmann est incompréhensible en France : les instruments logiques permettant de comprendre ont disparu, d'où les articles souvent grotesques qu'on peut lire.   

Un dirigeant politique tel que Stephen Harper au Canada, ou Binyamin Netanyahu en Israël serait impensable pour les mêmes raisons.

 J'ai renoncé à l'écriture de plusieurs livres, car je pense que ceux qui sont susceptibles de les lire appartiennent à une espèce en voie de disparition. Au sein de la population française, ce que je dis rencontre un écho particulier au sein des populations juives, car de nombreux Juifs discernent que, quand une société est malade, comme l'est la société française, les Juifs sont souvent parmi les premières victimes.

 

Et ce que discernent les Juifs en France est exact, je pense. Il y a, en France, une banalisation de la haine envers Israël qui me semble très significative, et très inquiétante.     

Drzz : 

 La France, vous le démontrez brillamment, est sur le déclin. Que peut faire le français éveillé à cette triste réalité  ?   

 

 GM : 

Que faire en ce contexte ? 

 Ma réponse la plus immédiate consisterait à dire : partir vers des cieux plus sereins. Israël a un avenir prometteur, malgré la haine anti-israélienne qui monte en Europe.

Je pense que ce que George Gilder a écrit dans The Israel Test est exact : ceux qui détestent Israël sont imprégnés de ressentiment, et le ressentiment est essentiellement stérile. L'Europe est sur la voie de la stérilité, tout comme le monde arabe.

Israël est un pays fécond, et le restera.

 Les Etats-Unis, au delà d'Obama, ont aussi un avenir prometteur : certains Etats vont assez mal, ainsi la Californie, d'autres vont très bien, le Texas en particulier. Le Canada a lui-même un avenir prometteur.  

 Je comprends, cela dit, que tout le monde n'ait pas l'envie ou les moyens de partir.   

Que faire en ces conditions ? Anticiper.   

 Savoir que le niveau de vie en France va baisser, que la sécurité va se détériorer encore, que des mesures de confiscation de l'épargne peuvent prendre forme et s'accentuer. Je conseillerais donc d'épargner en ne laissant pas son épargne en France ou en Europe.    Par ailleurs, je pense que la résignation serait mauvaise conseillère. J'ai dit que je m'abstenais dans le cadre des élections, mais j'écris, j'interviens où je peux, dès que je peux. Je pense que si des gens qui en ont assez du conformisme omniprésent se mobilisaient, cela pourrait avoir des effets positifs.   

 

 Il faudrait que des actions de lobbying s'organisent plus largement et plus efficacement.    L'action menée par l'association Europe-Israel contre le révisionnisme qui imprègne désormais les manuels d'histoire est une action à soutenir. Tout comme l'action de l'association France-Israël que dirige mon ami Gilles-William Goldnadel.   

 

 Le développement d'internet permet l'existence de médias en ligne comme drzz, qui peuvent faire un travail indispensable pour contrer la désinformation et la mésinformation : ces médias ne peuvent se développer sans soutiens financiers.

Ce qui explique la situation d'un pays comme la France est l'existence d'une économie mixte, d'un étatisme puissant et de réflexes socialistes. L'économie mixte fait que nombre d'entrepreneurs travaillent avec l'Etat et ne sont pas prêts à financer des médias réellement indépendants.

L'étatisme fait que le réflexe de nombre d'associations est de chercher à obtenir des subsides d'Etat et que nombre de médias cherchent eux-mêmes des subventions, ce qui les conduit à l'asservissement, les réflexes socialistes font que nombre de gens considèrent que le travail intellectuel et le travail d'information sont gratuits et n'ont pas à être payés.  

 Il est difficile, en ces conditions, d'avancer. Il faut essayer quand même. Je le dis en tout cas à ceux qui lisent drzz : drzz pourrait avoir dix fois plus d'impact, donner bien davantage d'informations, mais drzz n'en a pas les moyens aujourd'hui. Sur une ligne de défense des valeurs de la civilisation occidentale, d'affirmation des principes de l'économie de marché, de défense d'Israël et du monde libre, drzz est à peu près seul.

 

Si chaque lecteur faisait un don mensuel, même minime, cela pourrait faire une différence.

Si nul ne contribue à faire la différence, toutes les batailles seront perdues. Et ceux qui n'ont ni l'envie ni les moyens de partir auront un avenir très compromis.  

Jean-Patrick Grumberg : Cher Guy, merci d'avoir accepté de répondre à nos questions.  

 Propos recueillis par Jean-Patrick Grumberg pour http://www.drzz.fr/ © 

 


 
 
posté le 01-09-2011 à 04:34:12

Sarko continue de se" branler "la tête...

"L'enjeu des printemps arabes est de montrer que les valeurs démocratiques ne s'opposent pas à l'islam" (Sarkozy) 

(Guysen.International.News)


Nicolas Sarkozy a affirmé en ouvrant à l'Elysée la conférence annuelle des ambassadeurs en évoquant les printemps arabes.

 Les jeunes manifestants des pays arabes "ont montré qu'il n'y avait pas d'exception arabe comme il n'y avait pas d'exception de l'Europe de l'est qui condamnait les peuples à la dictature", a affirmé Nicolas Sarkozy.

"Tout l'enjeu des printemps arabes" était de "montrer par l'exemple que l'affirmation des valeurs démocratiques ne s'opposent pas à l'islam".

 

 

  L'avis d'un spécialiste...

La victoire des insurgés libyens suscite plusieurs interrogations. Notamment le rôle joué par les divers courants islamistes, la tenue des élections, et l'influence de cet événement sur l'Algérie voisine. 

 Le politologue Hasni Abidi, spécialiste de la Libye et auteur du «Manifeste des arabes», répond aux questions de SlateAfrique.

Les islamistes libyens vont-ils accepter l'autorité du Conseil national de transition (CNT)?

« C'est un problème épineux pour la transition libyenne.

 Nous avons des mouvements djihadistes, des mouvements salafistes et des Frères musulmans très influents.

D'anciens chefs militaires de Kadhafi ont rejoint l'opposition et ont joué un rôle très important.

Mais la force la plus déterminée ce sont les islamistes », estime le politologue.

Il est toutefois difficile de le mesurer le poids politique des islamistes, précise  Hasni Abidi. Avant d'ajouter :

 « Cette mouvance islamiste est importante. Elle est à l'avant-garde des combats. Quel est son poids politique? Quel est son poids électoral? Personne ne pourra vous répondre. Les élections doivent définir leur importance.

Les valeurs sûres aujourd'hui, ce sont les valeurs familiales et tribales qui sont mesurables. Le reste à mon avis ce ne sont que des calculs et des pronostics qui risquent d'être démentis par l'actualité ».

L'auteur rappelle que la Libye est  une société foncièrement tribale.

Les tribus ne sont pas limitées géographiquement.

Elles ont des liens entre elles.

« Les islamistes ne peuvent que se greffer sur cette réalité sociale.

En attendant que les appartenances tribales deviennent des appartenances idéologiques. C'est là que les islamistes auront leur mot à dire dans cette

nouvelle configuration politique.

Il est trop tôt pour parler d'une catégorisation de la société libyenne: pour dire quel serait le poids des différentes composantes des laïcs, des monarchistes et des islamistes', poursuit le politologue.

 


Commentaires

 

1. Henri Golan  le 01-09-2011 à 05:07:03

Msio sidi Sarko expliquez nous…
Qui sont les islamistes qui ont pris part à la révolution libyenne ?
Doit-on craindre, dans les mois à venir, une menace islamiste en Libye ?
De nombreux combattants islamistes ont participé à la chute du régime de Kadhafi. Qui sont-ils ? Quel est leur poids ? Quel rôle peuvent-ils jouer dans la Libye de demain ?
La bataille de Tripoli qui s'est déroulée il y a une semaine a mis en lumière le rôle des combattants islamistes au sein des forces anti-Kadhafi à travers la figure d'Abdelhakim Belhadj. Cet ex-djihadiste, qui a dirigé l'insurrection armée dans la capitale libyenne, dirige maintenant le Conseil militaire de Tripoli.
Qui sont les islamistes présents dans les rangs des anti-Kadhafi ? Quel rôle peuvent-ils jouer dans la reconstruction de la Libye ?
Qui sont les islamistes présents dans les rangs des anti-Kadhafi ?

2. Henri Golan  le 01-09-2011 à 05:07:17

Msio sidi Sarko expliquez nous…
Qui sont les islamistes qui ont pris part à la révolution libyenne ?
Doit-on craindre, dans les mois à venir, une menace islamiste en Libye ?
De nombreux combattants islamistes ont participé à la chute du régime de Kadhafi. Qui sont-ils ? Quel est leur poids ? Quel rôle peuvent-ils jouer dans la Libye de demain ?
La bataille de Tripoli qui s'est déroulée il y a une semaine a mis en lumière le rôle des combattants islamistes au sein des forces anti-Kadhafi à travers la figure d'Abdelhakim Belhadj. Cet ex-djihadiste, qui a dirigé l'insurrection armée dans la capitale libyenne, dirige maintenant le Conseil militaire de Tripoli.
Qui sont les islamistes présents dans les rangs des anti-Kadhafi ? Quel rôle peuvent-ils jouer dans la reconstruction de la Libye ?
Qui sont les islamistes présents dans les rangs des anti-Kadhafi ?

3. SHANGAI  le 14-10-2011 à 03:10:16

Qu'ils soient mahométans, souratans, islamistes, qu'est ce que cela peut bien nous faire, puisque ils sont chez eux et qu'ils y restent, rien a ajouté.

 
 
 
posté le 31-08-2011 à 15:45:49

La République irréprochable !

 

 

Sarko touche-t-il du pognon chez la mère Bettencourt  ?

 

L'allégation - vraie ou fausse - de la juge Isabelle Prévost-Deprez

n'est donc pas à prendre à la légère.

 

Il ne fait aucun doute que l'on va de plus en plus aller fouiller dans les poubelles.

 

« Sarko m'a tuer » :

des « victimes » de l'Elysée parlent

 

 "Sarko m'a tuer" est le livre-enquête qui fait la une de « Libération » ce 31 août

et fera  scandale d'ici  quelques semaines en réveillant de vieilles colères et d'authentiques rancoeurs et d'innombrables polémiques.

 

  27 personnalités affirment toutes avoir été victimes de la colère présidentielle.

 

Le témoignage le plus embarrassant pour Nicolas Sarkozy est celui de la juge Isabelle Prévost-Desprez,chargée d'un volet du dossier Bettencourt avant d'en être dessaisie,

qui fait part aux deux journalistes de la peur de plusieurs témoins "de parler sur procès-verbal de Nicolas Sarkozy", avant d'ajouter, peut-on lire sur le site de TF1 :

 "l'un d'eux m'a dit qu'il avait vu des remises d'espèces à Nicolas Sarkozy".

(Témoignage jamais consigné dans le moindre procès-verbal, serait celui de l'infirmière de la milliardaire.)

 

Prendre de l'argent en liquide devant des témoins lorsque l'on fait campagne?

...Suicidaire ???

 

Pendant que l'on en étale le contenu dans la presse

on ne parle pas des vrais problèmes et l'on "enfume" le chaland.

 

Est-ce que parceque l'affaire Guérini va enfin voir son épilogue le 8 septembre prochain conduisant à sa mise en examen que "la gôôche" cherche à en minimiser l'impact en jetant un pavé dans la marre présidentielle.

 

Les huit prochains mois promettent d'être sanglants. 

 

 

 

 

 


 
 
posté le 30-08-2011 à 04:57:16

Hypocrisie, platitude, flou, désarroi...le socialisme de demain.

Ce que dévoile l'Université du PS 

 Ivan Rioufol

L'Université d'été de la Rochelle ne mérite pas son nom :

les socialistes s'y sont comportés, ce week-end, comme dans une cours de récréation, ressortant les crocs en jambes et les coups bas avant de poser ensemble, hypocritement, pour la photo de classe.

 Cette pratique serait somme toute anecdotique si les débats eux-mêmes avaient été à la hauteur des enjeux imposés par les crises, et singulièrement celle de l'endettement des Etats.

Or rien n'est ressorti de ces simulacres de réflexions, sinon les habituels mots creux et formules vagues qui sont répétés en boucle depuis des décennies.

 La démonstration de cette platitude a été apportée par Harlem Désir, secrétaire général intérimaire du PS, qui a replongé dans la facilité de l'antisarkozysme, cette ficelle pour ne rien proposer, et par Manuel Valls, qui paye, lui, son authentique réformisme par une marginalité qui le rend inaudible.

Ce manque de sérieux de la plupart des candidats augure mal de l'intérêt et donc du succès des primaires.  

Ce qui saute aux yeux est le peu d'envergure des prétendants, comparé aux défis qui forcent à repenser totalement la place de l'Etat, de la nation, du peuple, du citoyen, afin de corriger en urgence la faillite de l'Etat providence et l'affaiblissement de l'Etat nation.

 

Ni le clientélisme "socialo" de Martine Aubry, ni l'art de l'esquive de François Hollande,

ni la pugnacité brouillonne de Ségolène Royal ne peuvent être des réponses pour

 sortir la France des Trente calamiteuses, ce bilan laissé par la pensée progressiste qui n'a toujours pas entamé son autocritique.

 

 Le désarroi que l'on devine chez ces candidats, qui se réfugient dans le conservatisme et le flou, est un désarroi qui risque d'envahir plus généralement l'opinion.

Cette faiblesse reste une chance pour la droite, qui devient (au royaume des aveugles, les borgnes sont rois) le parti des réformes et de la modernité.

Mais saura-t-elle, elle-même, être à la hauteur des attentes des Français ?  

 

  ©Ivan Rioufol  

 


 
 
posté le 28-08-2011 à 17:42:03

Abandon des poursuites contre DSK : le document en français. Traduction Rue89.

 

 

Abandon des poursuites contre DSK : le document en français

 

Rue89 a traduit l'acte du bureau duprocureur de Manhattan demandant l'abandon des poursuites pénales contre DSK.

 

 

Inculpation No.

02526/2011.

 

Au nom dupeuple, l'Etat deNew York demande l'abandon de l'inculpation de l'accusé, telle qu'elle est désignée ci-dessus, pour agression sexuelle sur la plaignante dans un hôtel du centre de Manhattan, le 14 mai 2011.

La nature des accusations exige que l'on soit en mesure de prouver avec certitude que l'accusé a engagé un acte sexuel avec la plaignante sous la contrainte, et sans son consentement. Après enquête approfondie, il apparaît que la preuve de deux éléments essentiels - l'usage de la force et l'absence de consentement - ne peut reposer que sur le témoignage de la plaignante lors d'un procès.

 

Lire la suite sur...

 

http://www.rue89.com/2011/08/23/abandon-des-poursuites-contre-dsk-le-document-en-francais-218883

Traduction : Maryne Cervero, Aurélie Champagne,

Blandine Grosjean, Valentine Pasquesoone, Pascal

Riché, Lucile Sourdès, Sara Taleb.

 


 
 
posté le 27-08-2011 à 18:23:16

Dates à ne pas retenir si vous voulez vous abstenir...

 

 
Quelles sont les dates des prochaines élections ?

Mis à jour le 11.05.2011 par Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) et Ministère de l'intérieur

<thead></thead>

 

Tableau 1 relatif à la fiche F1939

Date

Élections

Précisions

22 avril et 6 mai 2012

Élection présidentielle

les avantages: les mêmes que Louis XIV.

Durée du mandat : 5 ans (dernière élection : 22 avril et 6 mai 2007)

10 et 17 juin 2012

Élections législatives

Parlementaire : 6.952,91 € (Indemnité représentative de frais de mandat : 6.278 € brut par mois + Crédit affecté à la rémunération de collaborateurs: 8.949 € par mois + Avantages : carte nominative qui permet l'accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF en 1ère classe. Taxis gratuits à Paris. Prêt immobilier avantageux.) 
 

Durée du mandat : 5 ans (dernière élection : 10 et 17 juin 2007)

2014

Élections municipales

Maire (ville de plus de 100 000 habitants ) : 5354,99 €
- Maire (ville de 50 000 à 99 000 habitants) : 4.062,41 €
- Maire (ville de 20 000 à 49 999 habitants) :

3 244,48

Durée du mandat : 6 ans (dernière élection : 9 mars et 16 mars 2008)

2014

Élections européennes

Député Européen : 6.952,91 € (avantages : Remboursements de frais de voyage : calculés sur une base kilométrique aérienne forfaitaire. En fonction du lieu d'élection.) 
 

Durée du mandat : 5 ans (dernière élection : 7 juin 2009).


A noter :

les prochaines élections sénatoriales du 25 septembre 2011 ne concernent pas directement les électeurs. En effet, les sénateurs sont élus par un collège distinct formé de députés et d'élus locaux.

Salaires de nos  Sénateur : 6.952,91 €

(Crédit affecté à la rémunération de collaborateurs:

8.949 € par mois.

Avantages :

carte nominative qui permet l'accès gratuit à l'ensemble du réseau SNCF. en 1ère classe. Taxis gratuit à Paris.

 Prêt immobilier avantageux.)

 

 

 


 
 
posté le 26-08-2011 à 18:08:50

une « coalition de petits partis d'extrême droite présentera un candidat à la présidentielle de 2012

 

la candidature qui pourrait gêner Marine Le Pen

Un espace pour 2 à 3 % des voix, selon Lang

RENVOYEZ LES AUX VESTIAIRES OU EN DEUXIÈME DIVISION !

ILS NE VALENT PAS MIEUX PUISQUE, TOUS AUTANT QU'ILS SONT, À DOMICILE OU À L'EXTÉRIEUR,

ILS NE CONNAISSENT QUE DES DÉFAITES, CE DEPUIS BIEN TROP LONGTEMPS. 
 

 

 

"La candidature de Marine Le Pen est une imposture et l'objectif de cette union

est de refonder la droite nationale", a expliqué Carl Lang.

 

 Le futur candidat bénéficiera du soutien du Parti de la France, de la Nouvelle Droite populaire (NDP) de Roland Hélie et de Robert Spieler et du MNR, autrefois dirigé par Bruno Mégret. 

 

 

 


 
 
posté le 25-08-2011 à 16:57:03

Au nom de quel droit, de quelle morale, de quelle éthique avez-vous sacrifié ces garçons ?

 

Assez !

 

 

470 millions d'euros en 2010,

 c'est le coût de l'intervention française en Afghanistan.

74 soldats français sont morts en Afghanistan  

et la liste s'allonge régulièrement.

 500 autres,

 affreusement mutilés, amputés, handicapés à vie, souffrent quotidiennement

dans leur chair et dans leur âme, cela dans l'indifférence des médias...

 

Par ailleurs,

L'Elysée, qui a fait part de

« la très grande tristesse du président de la République »,

a « exprimé, à nouveau, la détermination de la France à continuer d'œuvrer

 au sein de la Force internationale d'assistance à la sécurité pour rétablir paix et stabilité dans ce pays »...

 

Puis, à l'annonce du 74ème décès :

 

« Cette disparition n'entame pas la résolution de la France ».

 

Monsieur le Président, combien faudra-il encore de « disparitions » pour entamer votre résolution ?

 

Au nom de quel droit, de quelle morale, de quelle éthique

avez-vous sacrifié ces garçons ?

 

Combien d'autres comptez-vous encore immoler sur l'autel de vos chimères

et de vos ambitions car « rétablir la paix et la stabilité » dans cette partie féodale du monde dominée par les « seigneurs de la guerre »

et les extrémistes religieux, relève d'une utopie surréaliste...

 

Cependant, en vous alignant sur la politique américaine, vous avez décidé de « Retirer d'ici la fin de l'été 2012 un premier contingent. (...)

Le processus de transition des responsabilités de sécurité au profit des autorités

afghanes se poursuivra jusqu'en 2014 ».  

 

En clair, sur un contingent de 4000 soldats français, un millier rentrera en France d'ici la fin de l'été 2012... et le reste en 2014.

 

D'ici là, bon nombre de nos garçons tomberont encore sous les coups des Talibans :

 

Combien ?

 

Est la question qui se posera alors avec plus d'acuité sera :

Pourquoi et pour qui seront-ils morts ?...

 Car, contrairement à vos allégations,

ils seront morts pour RIEN !

 

Source/José Castano

 


Commentaires

 

1. SHANGAI  le 14-10-2011 à 03:00:50

Salut; les soldats que je sache sont engagés volontaires, alors où est le « blem » ? occuper un pays qui par devant ne c'est pas montré menaçant envers la France et appelé ces habitants que nous occupons, des insurgés : il faut le vivre, moi je ne pleure pas ces soldats et toute cette mascarade, quand tu t'engages soi disant pour défendre ta patrie pour de l'argent, tu es un mercenaire, rien ajouté.

 
 
 
posté le 25-08-2011 à 16:48:01

Victime surtout de sa propre imprudenc...

 

  

«Nous ne saurons donc jamais toute la vérité. »

 

va-t-il pouvoir revenir sur la scène politique?

 

« l'abandon des charges contre Dominique Strauss-Kahn confirme (surtout) une vérité indéniable: aux Etats-Unis, la logique d'un procureur est d'abord politique.

 

Dans cette affaire, il poursuivait sans pitié tant qu'il comptait gagner gros; dès lors qu'il estime n'avoir qu'à y perdre, il renonce sans états d'âme».

 

«si Nafissatou Diallo a perdu la bataille judiciaire, son adversaire ne l'a pas gagnée... (puisque) planera toujours (désormais) un soupçon sur les réels agissements de Dominique Strauss-Kahn».

 

«si Mme Diallo avait commencé sa carrière de menteuse, avec cette dénonciation au lieu de la finir ainsi, il est fort possible que Dominique Strauss-Kahn ait pu être condamné à 74 années de prison».

 

 

 


 
 
posté le 25-08-2011 à 16:39:16

C'est tout simplement de la corruption intellectuelle...

Un conseiller de Sarkozy éjecté pour tentative de sauvetage de la démocratie

 par Jean-Patrick Grumberg

Immig.jpg

Maxime Tandonnet était conseiller du Président Sarkozy pour les questions d'immigration. 

Il a trop bien fait son boulot, c'est à dire qu'il n'avait pas la langue de bois.

Il s'est fait dégager. 

A lire Lefigaro.fr (1) entre les lignes, Xavier Musca, le secrétaire général de la présidence, n'y serait pas pour rien, et est allé jusqu'à censurer Tandonnet, en lui demandant de ne plus écrire sur son blog.

 

 Bonjour la liberté d'expression.  

 

 Maxime Tandonnet  point du doigt, sur son blog, un certain nombre de règlementations qui portent atteintes à la souveraineté de l'état en matière d'immigration.  

 Maxime Tandonnet : « S'appuyant directement sur « la directive retour de 2008 », le Conseil d'Etat vient de rendre un avis le 21 mars 2011 qui de facto, bloque en grande partie les reconduites à la frontière des migrants en situation illégale, jusqu'à la promulgation d'une future loi en débat au Parlement. »  

 Maxime Tandonnet : « Un avis de la Cour de Justice de l'Union européenne du 22 juin 2010 limite fortement, en vertu du système Schengen et de la libre cirdulation, la possibilité d'opérer des contrôles frontaliers dans une bande de 20 kilomètres pour lutter contre l'immigration illégale »  

 Maxime Tandonnet : « La Cour européenne des droits de l'homme, par un arrêt du 23 septembre 2010 (Boussara), interdit à l'administration d'expulser un étranger condamné à 5 ans de prison pour trafic de stupéfiants, l'oblige à le régulariser au nom du droit au respect de la vie privée et familiale. »  

 Maxime Tandonnet : « L'article 32 du code communautaire des visas (règlement du 13 juillet 2009) force l'administration à compter du 5 avril 2011, à motiver, justifier tout refus d'accorder des visas de court séjour (2 millions par an) ce qui ouvre la voie à une explosion du contentieux. »  

Maxime Tandonnet : « Le Conseil d'Etat, par un arrêt du 7 avril 2010 (Jabnoun) oblige l'administration à régulariser un étranger malade, en situation irrégulière, s'il n'a pas personnellement les moyens d'être soigné dans son pays d'origine par exemple une couverture sociale. »  

Maxime Tandonnet : « La Cour européenne des droits de l'homme s'apprête sans doute à remettre en cause la « procédure prioritaire » qui permet de traiter en quelques jours, les demandes d'asiles abusives rendant alors notre système d'asile ingérable. »   

 Maxime Tandonnet : « On pourrait aussi parler de la réforme de la garde à vue, imposée par la cour européenne des droits de l'homme et par le Conseil constitutionnel, rendant obligatoire la présence de l'avocat dès le début, et qui préoccupe beaucoup les policiers quant à l'efficacité des enquêtes. »  

 Et les antisémites qui s'époumonent à soutenir que les juifs de gauche sont responsables de l'immigration...

 Doivent pas connaître la musique.  

 Puis Maxime Tandonnet défend la seule chose qui puisse encore ressembler à la démocratie : le référendum.

Un peu comme en Suisse, un pays peu taxé (contrairement à la France), sans déficit public (contrairement à la France), et ou la population est heureuse (contrairement à la France).

Tandonnet menace que si les pouvoir public ne veulent pas de référendum, c'est parce qu'il faudrait soit s'y soumettre, soit avouer ouvertement  l'abolition de la démocratie.

 

   Sarkozy, déjà mal entouré, mal conseillé par des cerveaux lobotomisés, est de plus en plus isolé des réalités pour aborder les prochaines présidentielles.

S'il est élu, et il a de grandes chances d'être réélu, ce sera à cause des tronches qui se présentent en face de lui.  

 

 Une fois de plus, les français se retrouveront en 2012 devant un non choix, devant un vote de dépit auxquels ils ne sont que trop habitués.  

 Le méritent-ils ?

 De là à penser que oui, puisqu'ils ne semblent pas prêts à la désobéissance civile, au vote blanc ou à l'abstention,

 il n'y a qu'un pas.  

 

 © Jean-Patrick Grumberg 

 http://www.drzz.fr/   (1)

 http://www.lefigaro.fr/politique/2011/08/24/01002-20110824ARTFIG00553-le-coauteur-du-discours-de-grenoble-quitte-l-elysee.php (2) http://maximetandonnet.wordpress.com/2011/04/01/le-garrot/

 


 
 
posté le 22-08-2011 à 16:51:59

Tout...sauf Obama!

Vers une campagne électorale américaine au couteau 

Romney-Bachmann-Perry-276x155.jpeg

Voici quelques semaines, il semblait qu'il n'y avait pas de candidat républicain susceptible de l'emporter face à Barack Obama.

 Aucun, disait-on, n'avait la stature, le charisme, la crédibilité.

Et puis, comme c'est souvent le cas dans les campagnes électorales américaines, une décantation s'est opérée.

 A un peu moins d'un an et demi de l'élection, le paysage se clarifie. Trois candidats se détachent.    Le premier est une femme, Michelle Bachmann.

 Elle est l'incarnation de l'esprit d'un courant politique qui est né de la radicalité des mesures prises par l'administration Obama, et qui est devenu le vecteur de l'esprit de l'Amérique du temps des Pères fondateurs, celle de Thomas Jefferson et George Washington, James Madison et Thomas Hamilton :

le tea party movement.

 

 C'est un mouvement que je connais bien : j'ai donné des conférences pour les tea parties dans plusieurs Etats.

 C'est un mouvement que les journalistes français dépeignent d'une manière absolument grotesque, et malheureusement, nombre de Français croient ce qu'écrivent les journalistes. Dans les tea parties, on est chrétien souvent, mais on est juif aussi et on sait que les Etats-Unis sont un pays judéo-chrétien, le seul pays judéo-chrétien.

 

 On défend l'idée d'état de droit lockéen et d'Etat minimum. On défend la liberté d'entreprendre, ce qui fait des Etats-Unis un pays unique, « la lumière qui luit au loin sur la colline » dont parlait John Winthrop en 1630, en une formule reprise souvent par Ronald Reagan.

On sait que la paix vient de la force et de la détermination des défenseurs de la liberté. On est favorable à la démocratie et hostile au totalitarisme.

 On est résolument du côté d'Israël, et on est conscient du danger islamiste.

 On aime les Etats-Unis et leurs valeurs comme les Républicains depuis toujours, comme les Démocrates encore dans les années 1960.

 Michelle Bachmann  porte tout cela dans son discours.

 C'est une femme intelligente, remarquable, courageuse.   

 

 

 Le second candidat à se détacher est Mitt Romney, ancien gouverneur du

 Massachusetts, Etat de Nouvelle Angleterre qui vote plutôt à gauche, donc démocrate.

 

C'est un homme d'affaires qui a montré qu'il savait gérer des entreprises et les faire fructifier, ce qui le distingue profondément d'Obama qui n'a jamais géré ou fait fructifier quoi que ce soit.

C'est quelqu'un qui comprend l'économie et ses enjeux.

 C'est un conservateur traditionnel.

 On peut le considérer comme un Républicain modéré : il a fait mettre en place dans l'Etat dont il a été le gouverneur, le Massachusetts, un système de santé socialisant qui présente des ressemblances avec celui qu'Obama veut mettre en place à l'échelle fédérale.

 Il a repris quelques thèses écologistes qui ont semblé en faire un parent d'Al Gore.

C'est un homme solide, tout à fait susceptible d'occuper le fauteuil présidentiel.   

 

 Le troisième vient de déclarer sa candidature et fait déjà figure de favori, sans que rien ne soit joué.

C'est Rick Perry, gouverneur du Texas.

 Et Rick Perry a beaucoup d'atouts dans son jeu : dix ans d'expérience en tant que gouverneur d'un des principaux Etats du pays, une gestion du Texas qui a maintenu une absence d'impôts d'Etat sur le revenu, des conditions propices à la création d'entreprise qui ont elles-mêmes fait que quarante pour cent des emplois créés aux Etats-Unis au cours des trois années écoulées l'ont été au Texas, un budget de l'Etat en équilibre, une loi permettant de lutter efficacement contre les recours abusifs à la justice contre les médecins, une expérience dans l'armée de l'air (il est officier de réserve).

Rick Perry est, de surcroît, un Chrétien évangélique très pratiquant, un ami déclaré d'Israël, et un homme qui, tout en ayant une vision lucide des dangers de l'islam radical, comprend qu'il existe une bataille pour l'âme de l'islam.

C'est lui aussi un homme solide, pleinement susceptible d'occuper le fauteuil présidentiel.   

Lequel des trois sera le finaliste ? Il est trop tôt pour le dire.

 Ce qui semble avéré est que Michelle Bachmann, quelles que soient ses qualités, ne sera pas à même d'être dans cette position.

Elle est membre de la Chambre des représentants.

Jamais quiconque n'est passé de la Chambre des représentants à la présidence, et il est très vraisemblable que son manque d'expérience à un plus haut niveau pèsera dans la balance.   

 Le passé du parti Républicain inciterait à dire que Mitt Romney est bien placé :

 il a déjà mené une campagne présidentielle.

Il apparaît à même d'attirer les voix des indépendants.

 Il a tout pour rassurer l'appareil républicain. Il risque néanmoins, en raison de sa modération, du système de santé qu'il a mis en place au Massachusetts, et de ses positions écologistes, de déplaire aux tea parties, qui ont désormais un poids avec lequel il faut compter.  

 

  La dynamique présente incite à pencher en direction de Rick Perry :

il est le plus ancien gouverneur républicain, ce qui en fait aussi un homme à même de rassurer l'appareil du parti.

 Ses positions, sur de nombreux sujets, sont très proches de celles des tea parties. Etant Chrétien évangélique, ami d'Israël et ouvert à l'islam modéré lui permet aussi d'espérer fédérer de manière assez large.

 Le fait qu'il soit officier de réserve de l'US Air Force joue aussi en sa faveur. Il a su, au Texas, attirer les voix des hispaniques.   

 Ce qui devrait jouer sur la campagne au cours des mois à venir devrait être non pas l'aptitude des divers candidats à faire campagne (tous trois ont cette aptitude), mais la propagande négative venant du camp adverse et des grands médias qui, en 2008, ont basculé clairement dans le camp démocrate.   

 

 Sarah Palin a fait l'objet d'une démolition en règle qui, malgré son immense popularité au sein des tea parties, l'a rendu quasiment inéligible, même si elle finit par se présenter le 3 septembre prochain.

 Et on a pu voir, en observant ce qui lui est arrivé, que la propagande peut fonctionner. Une femme remarquable et intelligente, qui a été gouverneur de l'Alaska et a dirigé une entreprise, a été travestie en abrutie par des gens qui ne seraient pas même dignes de cirer ses chaussures.  

 La démolition de Michelle Bachmann a commencé.

Celle de Mitt Romney est en veilleuse pour le moment, mais peut déferler à chaque instant : le fait qu'il soit mormon sera sans aucun doute utilisé contre lui, le fait qu'il soit devenu très riche aussi.

 La démolition de Rick Perry est celle qui devrait se faire la plus intense au cours des semaines et des mois à venir.

 Chaque élément de son passé et de sa vie sera passé au crible, examiné au microscope et étalé ensuite de la façon la plus malveillante et la plus odieuse.

 Cela a d'ailleurs déjà commencé. Rick Perry, dira l'un, n'a pas géré le Texas d'une manière aussi bonne qu'il le dit, et il aurait des liens troubles avec l'industrie pharmaceutique ou avec des entrepreneurs chinois. Il a laissé exécuter un innocent injustement condamné à mort, dira un autre.

 Un troisième ajoutera qu'il est « stupide », et tentera d'accumuler des preuves plus ou moins frelatées. Les ennemis déclarés de toute forme d'islam prêts à faire la guerre à tous les musulmans de la terre sans exception le dépeindront comme un agent de l'islam, et souligneront ses liens avec le mouvement ismailien nizarite, sans chercher à savoir plus précisément ce qu'incarne le mouvement ismailien nizarite au sein de l'islam (une force de modération prônant la séparation stricte du religieux et du politique).

 

Comme l'a dit en une formule un peu leste un commentateur voici quelques jours : Rick Perry doit s'attendre à un examen de proctologie sans anesthésie comme il n'en a pas subi depuis sa naissance.  

  De toute façon, la campagne électorale à venir sera sale, violente. Ce sera une campagne au couteau.

 Selon la formule consacrée, il y aura du sang.   

 La raison à cela est simple.

Elle ne tient pas une seule seconde, comme on le dira en France, à l' « extrémisme » des tea parties.

Il faut être imprégné de marxisme et de stupidité crasse jusqu'au dernier neurone pour voir le moindre extrémisme dans la défense des principes fondateurs de la liberté individuelle et des droits de l'être humain.

 

Les tea parties sont constituées de braves gens qui font partie de toutes les couches du peuple américain : des gens sans violence, et qui, lorsqu'ils se sont assemblés en un lieu, de façon toujours paisible, le laissent dans l'état d'ordre et de propreté où ils l'ont trouvé en arrivant.

Les seuls slogans haineux entendus à proximité des tea parties émanaient de gens d'extrême gauche venus faire de la provocation, et rapidement évincés.   

 

 Non. La raison à cela est l'extrémisme des démocrates et de la gauche, et de l'extrême gauche américaines aujourd'hui.

 

Au temps de la présidence de George Walker Bush, ces gens se sont imprégnés d'une véritable haine et d'une rage parfois frénétique, n'hésitant pas à comparer Bush à Hitler ou à le décrire comme plus terroriste que Ben Laden.

 

Et lorsque des manifestations anti-Bush ont été organisées, elles ont été accompagnées de dégradations et de saccages qu'on serait en peine de trouver là où passent les tea parties.   

 Pour ces gens, l'élection de Barack Obama a été un aboutissement.

Ils allaient enfin pouvoir révolutionner l'Amérique, la changer en un pays socialiste à l'européenne, détruire l' « impérialisme » de l'intérieur, abolir à jamais aux Etats-Unis toute parole qui ne correspondrait pas à la ligne qu'ils entendaient imposer.

 

 La simple persistance de voix conservatrices, pourtant très polies et très factuelles, leur était insupportable : Fox news où aucun commentateur n'use de la moindre insulte devait être supprimée, a-t-on entendu dire ici ou là. Des chaînes où officient des insulteurs professionnels, mais de gauche, elles, comme MSNBC, n'ont pas de problèmes.  

 

 Non seulement Fox News continue (avec une victime néanmoins des campagnes hostiles, Glenn Beck, qui a dû quitter la chaîne fin juin), mais la révolution en Amérique ne se passe pas comme prévu : le pays est en récession, les files de chômeurs s'allongent, les investissements ne se font pas, la bourse s'effondre, et surtout, nombre de gens ne veulent pas manger en demandant la mendicité mais en ayant un vrai travail, et se révoltent contre la servitude qu'on leur promet.  

 

 La révolution à l'extérieur de l'Amérique ne se passe pas non plus comme prévu : et le regard favorable porté par Obama sur les dictateurs anti-occidentaux devient trop visible et trop flagrant, tout comme sa faiblesse et son inexpérience.   

 Pour les démocrates, les membres de la gauche et de l'extrême gauche américaine, la présidence d'Obama risque de s'achever en désastre qui ruinera leurs espoirs pour longtemps.

Après avoir touché le but ou presque, l'échec serait insupportable pour eux.   

 

Ils feront tout pour qu'Obama soit réélu, absolument tout, sauf engager des hommes de main pour des assassinats ciblés.

 Des fraudes sont très envisageables.   

Leur hantise serait de voir arriver au pouvoir un Président à même de redresser les Etats-Unis et de défaire ce qu'ils ont fait depuis janvier 2009.

 

 Certes, comme je l'ai dit, la révolution ne se passe pas comme prévu :

les plus extrémistes se réjouissent du chômage et de la pauvreté, arguant que la fin du capitalisme ainsi se rapproche, mais ils ne s'attendaient à aucun sursaut de la population.

 

Les mêmes se réjouissent des avancées de l'islam radical dans le monde musulman, mais ils ne s'attendaient pas à ce qu'Obama se montre aussi maladroit.   

Si Rick Perry (ou Mitt Romney) est élu en novembre 2012, et jusqu'au dernier moment, rien ne sera acquis, car tous les mauvais coups et tous les sales coups des démocrates, de la gauche et de l'extrême gauche, seront utilisés, ce ne sera que le début du redressement.  

 

Il faudra s'attendre à une guerre de guérilla menée par les médias et les organisations de gauche et d'extrême gauche.

 

Ce qu'a subi George Walker Bush pendant sa présidence donne un avant goût de ce à quoi il faudra alors s'attendre.  

  © Guy Millière pour http://www.drzz.fr/

 


 
 
posté le 21-08-2011 à 10:06:07

Selon que vous serez puissant ou misérable....

 

DSK se prétend innocent ,vu son sourire.....

il a peut-être sauvé sa liberté, mais pas ses dollars.

 

 

Bien sûr préparons l'opinion publique à la réception de notre héros.

 

 

 

 

 


 
 
posté le 20-08-2011 à 05:09:19

Une statue de De gaulle à Alger ! ça devait arriver un jour !

 

 

 

POISSON D'AVRIL OU PAS ? 

 

 

Cela devait bien arriver un jour, ce n'est pas un hoax,

 je l'ai reçu directement d'un ami à Alger, évidemment aucun commentaire sinon le silence complice de la Presse, de la radio et de la télévision, pour nous mettre devant le fait accompli le jour j.

Je pense quand même que certains élus de droite ne doivent pas être dans leurs petits souliers, quand à ceux de gauche, ils doivent râler de ne pas y avoir pensé plus tôt.

 Maintenant côté FN attendons leur réaction.

 

 

 

 استمرّ ال [كونسل وف مينيسترس] عمله بالفحص من هذا اقتراح وموافقة المشروع.

قتطفات من ال [كونسل وف مينيسترس] أغسطس - آب 3, 2011.

إلى الطلب مستعجلة من رئيسه سيد [أبدلزيز] [بووتفليكا] يأتي المجلس نواب [ألجرين] أن يفحص الإمكانية من [ستّينغ-وب] على المكان من الشهيدات في جزائر, تمثال من الجنرال [غولّ] في تمييز من مساهمته إلى الاستقلال من بل

من التمثال من الدوقة [أرلنس] الذي قاعدة باطنيّة يكون دائما [إين بلس]. هو كنت سيفتتح [أت ث تيم وف] المراسم من العيد ميلاد خمسون استقلال في يوليو-تمّوز 5, 2012. سيقترع الميزانية كنت وفرنسا عن طريق وزارته للتعاون سيتطلّب أن يساهم هذا عمل من ال

يكون العشرة شهور متبقّي فقط ضروريّة إلى التحقيق من هذا نصب, النحاتة يبقى أن يكون اخترت وسيكون يستطيع كنت أوروبيّة, وزيرات مؤكّدة تطلّب أنّ العامّة يمثّل عموديّا ال [أرمس] في الشكل ال [ف], مثل هذا يوم بقي في ذاكرة يونيو - حزيران 4, 1958, هذا توصية لا [ب] مع ذلك [فينل].

في ما بعد يتلقّى يتناقش

Traduction :

A la demande expresse de son Président Monsieur Abdélaziz Bouteflika le parlement Algérien vient d'examiner la possibilité d'ériger sur la Place des Martyrs à Alger,

une statue du général De Gaule en reconnaissance de sa contribution

à l'Indépendance de notre pays.

 

 Cette statue occupera l'emplacement de la statue du Duc d'Orléans dont le socle souterrain est toujours en place.

 Elle sera inaugurée lors des cérémonies du cinquantième anniversaire de l'Indépendance le 5 juillet 2012.

 

 Une enveloppe budgétaire sera votée et la France par l'intermédiaire de son Ministère de la Coopération a demandé à participer  cette œuvre du souvenir.

 

Les dix mois restants seront justes nécessaires à la réalisation de ce monument, le sculpteur reste à choisir et sera peut être européen, certains ministres ont demandé que le Général soit représenté debout les bras en forme de V,

 comme ce jour resté en mémoire du 4 juin 1958, cette recommandation n'étant pas encore définitive.

Après  avoir débattu, le Conseil des Ministres a poursuivi ses travaux par l'examen de cette proposition et approuvé le projet.

Extraits du conseil des ministres du 3 aout 2011.

 

 


 
 
posté le 19-08-2011 à 08:12:46

Est ce pour cela que nous avons voté Sarko ?

 
Pendant que Delanoé organise des soirées "Ramadan" à l'Hotel de Ville de Paris,
Marine lepen ose dire tout haut ce qu'une majorité de franchouillards pense tout bas ... 
Quoi qu'il en soit, la France décline et se lepénise de plus en plus...

 


 
 
posté le 17-08-2011 à 06:40:28

Un sondage passé sous silence...

Nouveau sondage IPSOS

 TOUS les européens sont inquiets de l'islam

(et pas seulement les populistes) 

 par Jean-Patrick Grumberg

 

L'insitut IPSOS a publié le 4 août un sondage qui dérange.  

 

Donc vous n'entendrez pas trop parler de lui dans les médias, ou alors très brièvement, et les idéologues vont travailler dur pour censurer sa publication.

 Pourtant, il s'agit d'un raz de marée social à l'échelle européenne.  

 « Vision globale sur l'immigration »,

c'est son titre, a été mené entre le 15 et 28 juin auprès d'un échantillon représentatifs de citoyens de neufs pays européens : Belgique, Grande Bretagne, France, Allemagne, Hongrie, Italie, Pologne, Espagne et Suède.   

 Des sondages de ce type existent déjà, mais localement.

 C'est une des premières fois, à ma connaissance, que les pays européens sont sondés en même temps sur le même sujet, et que les réponses sont mises en perspective, pays par pays.   Je publie ci dessous le sondage complet afin que chacun puisse prendre connaissance en toute transparence des questions posées, et puisse juger de sa pertinence (1).

 

 Autant dire que les résultats bouleversent tous les clichés et s'inscrivent à l'envers de la rengaine habituelle du mieux vivre ensemble et de la diversité multiculturelle.

Ce n'est guère surprenant, car nous avons tous le sentiment que les médias manipulent et diabolisent ce sujet tabou.  

Grande première, il est maintenant prouvé que les sentiments négatifs vis à vis de l'immigration ne sont pas du tout le fait des extrémistes de droite et des populistes, comme aiment à le répéter les tenants du politiquement correct et les censeurs.   

Cela n'empêchera pas nos élites de service de continuer à le soutenir, ou de contester les résultats, mais au moins, vous êtes maintenant informé que vous n'êtes ni un pestiféré, ni un xénophobe honteux.  

Si vous êtes d'extrême droite ou identitaire, sachez que la majorité de la population, qui n'a pas d'attirance pour le Front National, pense comme vous :

 « il y a trop d'immigrants en Europe ».

 

Toute la question revient alors à ne pas franchir la ligne rouge du racisme. Trop d'immigrants ne veut pas dire qu'ils doivent être traités comme une sous-race, mais absolument pas comme des privilégiés sociaux.   

 

Question :

« Pensez-vous qu'il y a trop d'immigrants dans votre pays ? »

 

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu.

Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)  

 72% de la population belge affirment fortement que oui, ainsi que,

71% des anglais

67% des italiens

67% des espagnols

53% des allemands 52% des français

 50% des hongrois

46% des suédois

 

Et, en confirmation de ce qui précède, seulement 29% des polonais, qui n'ont que 0.1% d'immigrés.  

 

 Premier constat :

 

l

Les immigrés sont majoritairement vécus comme une mauvaise nouvelle, la moyenne européenne étant 56%.  

 

Second constat :

 Ce n'est pas tant leur nombre que leur niveau d'intégration qui dérange.

En France, il y a deux fois plus de musulmans que partout ailleurs en Europe.

 Pourtant c'est en Belgique et en Grande Bretagne, là où ils refusent le plus vigoureusement l'intégration, qu'ils sont le moins bien perçus.   

 

Question :

 

« Pensez-vous que le nombre d'immigrants à augmenté ces cinq dernières années ? »  

 

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu.

 Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)  

 

Hélas, la réponse est un OUI écrasant.

94% en Belgique. Près de 80% des citoyens, en Italie, en Grande Bretagne, en Espagne, en Hongrie, et en France pensent que le nombre d'immigrés a énormément augmenté, tandis que 3% des européens pensent qu'il a baissé.  

 

 Question :

« Pensez-vous que l'immigration a eu un impact positif ou négatif sur votre pays ? »  

 

 

( Bleu = très positif. Gris = ni positif ni négatif.

Vert = très négatif. Noir = ne sait pas)  

 

 C'est la question qui tue.

Les politiques ne demandent jamais l'avis des citoyens, ou alors pour les traiter de populistes et les désigner à la vindicte (populaire).  

 72% des belges pensent que l'impact est TRES négatif !

 64% des anglais, 56% des italiens,

55% des espagnols,

 54% des allemands,

54% des français en pensent autant, ce qui, sans surprise, ressemble au 57% de non du référendum suisse sur les minarets.  

 

Question :

 

« Pensez-vous que l'immigration impose trop de pressions sur les services publics de votre pays (par exemple la santé, les transports, l'éducation)  

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu.

 Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)  

 

Ce sont les anglais, pour 76% d'entre eux, qui se sentent le plus sous pression, suivis de 70% des espagnols, 68% des belges, 58% des allemands, et 56% des français.  

 

 Question :

« Les immigrants font-ils de votre pays un lieu plus intéressant à vivre ? »

 

 

( Bleu = très certainement. Gris = ni plus ni moins.

 Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)  

 

 Ils ne sont pas nombreux, les européens qui pensent que l'immigration a un apport positif... 18% des espagnols et des italiens, 19% des belges, 28% des français, 33% des anglais et 35% des allemands. Un désastre pour ceux qui défendent, comme des lobotomisés, que l'immigration est une chance.  

 

 Question :

 « Pensez-vous que l'immigration est bonne pour l'économie ? »  

 

( Bleu = très. Gris = ni bonne ni mauvaise.

 Vert = pas bonne du tout. Noir = ne sait pas)  

 

 Là encore, les citoyens européens sont loin d'être convaincus !

Les journalistes auraient donc totalement échoué dans leur travail de lavage de cerveau ? Rohhhh...

18% des belges,

23% des allemands,

 24% des français, et moins d'un anglais, d'un suédois, d'un espagnol et d'un italien

sur trois pensent que oui.  

 Détail intéressant, il n'y a pas que les gauchistes et droit de l'hommistes qui ravaleront leur salive, en lisant ce sondage.

Le Front National aussi.

Son discours sur l'immigré qui prend le travail des français ne semble pas convaincre : 34% des français pensent que ce n'est pas vrai, 22% ne sont ni convaincus dans un sens ou dans l'autre, et une minorité de 41% pensent que c'est exact.

 

 Coincés entre incompétence et panique, entre idéologie et police de la pensée, aucun homme politique, aucun parti politique, en France, ne tentera d'intégrer les immigrés et leurs enfants. Pas même le FN. Et comme il n'est pas question de les jeter dehors comme le font les pays musulmans avec les chrétiens et les juifs....    

  © Jean-Patrick Grumberg pour http://www.drzz.fr/  

(1) http://www.ipsos-na.com/download/pr.aspx?id=10883 Par Jean-Patrick Grumberg

 


 
 
posté le 15-08-2011 à 18:48:39

Ces salauds d'Israéliens...

Bilan de l'aide d'Israël à Gaza en juillet
Par Zeev Adin

 

Le public non-israélien ignore souvent qu'Israël transfère des tonnes de biens et denrées tous les mois dans la Bande de Gaza. Tsahal présente son bilan pour juillet 2011.

 

Au mois de juillet, 4 983 camions ont été transférés vers la Bande de Gaza par le point de passage frontalier de Kerem Shalom, dans le Sud d'Israël.


Les convois transportent des vêtements, des chaussures, des appareils électriques, des denrées alimentaires, des matériaux de construction pour dix usines du secteur privé, et des engrais pour l'agriculture.

Tous ces passages sont coordonnés par l'Unité de coordination des activités gouvernementales dans les territoires (CAGT).
 3372 tonnes de gaz domestique ont été livrés.
En outre, à l'occasion de la fête du Ramadan qui a débuté le 1er août, Israël a approuvé la mise en place de mesures spéciales.
 

Trois millions de mètres cube d'eau supplémentaires ont été fournis, pour répondre aux besoins  en eau potable de la population en augmentant sa quantité et en améliorant sa qualité.
 

Des textiles et des meubles sont exportés et la gamme des exportations agricoles vers la Jordanie élargie. Un plus grand nombre de commerçants peuvent entrer en Israël et en Judée-Samarie.
 

3 662 Palestiniens ont quitté la bande de Gaza par le point de passage d'Erez.

3 843 permis ont été délivrés à des Palestiniens afin qu'ils puissent sortir de la bande de Gaza et entrer en Israël.

 Sur l'ensemble de ces permis, 1752 ont été délivrés à des Palestiniens pour qu'ils puissent aller se faire soigner en Israël, en Judée-Samarie et à l'étranger.

120 membres des organisations internationales et 1 300 hommes d'affaires ont reçu l'autorisation de quitter la bande de Gaza.
 

A ce jour, 163 projets initiés par la communauté internationale ont été approuvés :

35 ont déjà vu le jour et 57 sont en cours d'exécution.

Il s'agit de la construction d'infrastructures en matière de logement, d'éducation, d'agriculture, de santé et de routes.
 

Source : Tsahal en français http://www.idf.il/fr

 


 
 
posté le 15-08-2011 à 05:49:58

Nos politiciens actuels trouvent tout à fait normal de mentir, de tricher et de voler...

Emeutes en Angleterre

 

 Point de vue d'un lecteur britannique

Je crois que la criminalité dans nos rues ne peut pas être dissociée de la perte de toute moralité dans les échelons les plus élevés de la société britannique moderne.

 

 Ces deux dernières décennies ont vu une baisse terrifiante des normes de moralité traditionnelle des élites britanniques.

Nos politiciens actuels trouvent tout à fait normal de mentir, de tricher et de voler (Les politiciens français aussi !).

Rappelons que Tony Blair a entraîné le pays dans une guerre en Irak sur le fondement de mensonges et que des soldats britanniques sont morts sur le fondement de ces mensonges.

 

Au cours des deux dernières décennies est apparue une culture quasi-universelle de l'égoïsme et de la cupidité. Comment s'étonner alors que les enfants de Tottenham aient oublié, en grandissant, qu'ils avaient des droits et des devoirs ?

 

dcameron1.jpg

Nos politiciens sont mauvais.

Durant des années ils se sont voilés la face et ont essentiellement cherché à s'enrichir. Dois-je rappeler que David Cameron, l'actuel Premier ministre britannique, a des voyous dans sa propre équipe, mais ne semble pas en être gêné ?

Quelle différence y a t-il entre un jeune délinquant qui vole des ordinateurs et un député qui détourne de l'argent public pour accaparer des ordinateurs portables pour des amis ?

Certes, il y a une différence entre la tricherie par évasion fiscale et des vols de délinquants, mais il est choquant d'entendre des politiciens tricheurs réclamer une action draconienne contre des délinquants qui volent.

 

Le Premier ministre parle de restaurer la morale pour les délinquants sans s'exprimer d'une manière générale, sans dire que cette morale s'applique aussi aux riches et aux puissants, que lui-même fréquentent. 

La vérité tragique est que D. Cameron, en dissociant la morale entre le sommet du pouvoir et les pauvres, devient vulnérable et perd toute crédibilité.

 

Gardons en mémoire que beaucoup de nos jeunes ne connaissent rien aux règles élémentaires de la civilité.

La culture de la cupidité telle qu'on nous la sert à la télévision depuis des années explique les tristes scènes que nous vivons en Angleterre.

 Cette culture de la cupidité sévit aussi dans les conseils d'administration de nos sociétés, dans la police, dans les structures de notre monde politique.

 Ce n'est pas seulement à la jeunesse qu'il faut inculquer la morale, mais c'est l'Angleterre qui a besoin d'une réforme morale.

(Source : The Telegraph)

 


 
 
posté le 14-08-2011 à 12:55:14

La valise ou le cercueil...

 

 

 

 

 

Ce film retrace l'histoire de l'Algérie française de 1830 à 1962.

Il a été réalisé avec des témoignages, le soutien denombreux pieds noirs et harkis et le concours d'historiens, pour retracer durant deux heures émouvantes etpalpitantes, la vie de ce peuple, injustement méconnu et humilié qui demande, depuis un demi-siècle, que la chape deplomb du silence et du non-dit soit levée et qu' éclate enfin la vérité sur les événements qui ont abouti à cet exodesans précédent dans l'histoire de France.

Le film débute en 1830 par le débarquement à Sidi Ferruch etpar la prise de la

Régence d'Alger, occupée par les Turcs.

Ces derniers se servaient des pirates barbaresques pour écumer la Méditerranée et imposer l'esclavage, la dictature et le pillage de ce territoire infesté de moustiques.

 Un territoire qui allait devenir un pays, l'Algérie, par la présence de Français et d'Européens.

Si le film rappelle que l'armée d'Afrique a été de tous lescombats, en Crimée dès 1853

 et au cours des deux dernièresguerres mondiales, il évoque avec précision

les massacres du 8Mai 1945 à Sétif et les répressions qui en découlent.

Malgré ces évènements, s'ensuit une période prospère, avec de réelles années lumineuses que ces « Bâtisseurs » racontent encore aujourd'hui, avec beaucoup d'émotion.

En novembre 1954, éclate la rébellion arabo-islamique nationaliste, commandée du Caire. Ce sont huit années deguerre.

Il n'est pas oublié le coup de force des français d'Algérie et de l'armée qui entraîne en 1958 le retour de Charles De Gaulle au pouvoir.

Sont évoqués la fameuse bataille d'Alger, la semaine des barricades et enfin le

 putsch des généraux.

LA VALISE ou LE CERCUEIL

 

Le film le plusémouvant del'histoire de l'Algérie

UN FILM DE CHARLY CASSAN

Réalisateur

Marie HAVENEL

Coréalisatrice

 

Le film rapporte également les engagements de premières intentions de Charles De

Gaulle au travers de ses célèbres citations :

« Moi vivant, jamais le drapeau du FLN ne flottera sur Alger », le «Je vous ai

compris » et « Vive l'Algérie française ».

Pour autant et finalement, l'Algérie française sera livrée au FLN par les "accords

d'Evian" signés à la hâte le 18 mars 1962.

Dernier sursaut d'un peuple trompé, un terrorisme de désespoir voit le jour par le

combat de l'OAS contre le FLN.

Pour achever ces épisodes dramatiques et douloureux, les images insoutenables de

toutes ces victimes, cruellement et sauvagement assassinées, ainsi que le massacre de

la rue d'Isly et de la grande poste d'Alger, après le blocus du quartier populaire de

Bab-el-Oued en mars 1962.

Sans oublier non plus le massacre du 5 juillet 1962 à Oran, puis le génocide des

harkis et de leurs familles.

Face à ces terribles évènements, une seule alternative s'impose,

 LA VALISE OU LE CERCUEIL,

provoquant l'exode massif et l'exil de tout un peuple, quasi apatride, dans divers pays et dans cet hexagone désinformé et forcément hostile aux français d'Algérie.

50 ans après, le droit à la vérité et à la reconnaissance n'est qu'une simple justice,

que rappelle la Cour Européenne des Droits de l'Homme en son article 6 :

« Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement,

publiquement et dans un délai raisonnable... »

En complément, le témoignage de pieds noirs de retour en Algérie pour la 1ère fois depuis l'exode, est une pure émotion mais des images fortes interpellent et interrogent...

D'aucuns diront de ce film, qu'une part belle est faite aux piedsnoirs et dans une

 moindre mesure aux harkis mais pas un mot dédié aux combattants et partisans du FLN.

Le titre du film se suffit à lui-même, le dilemme,

LA VALISE OU LE CERCUEIL

ne concerne que les pieds noirs et les harkis.

C'est leur histoire que retrace ce film.

LA VALISE OU LE CERCUEIL est un devoir de mémoire

pour nos disparus, nos enfants et pour l'histoire de France.

 


 
 
posté le 12-08-2011 à 17:00:29

Réchauffement islamo-narcotique de la planète par Michel Garroté.

 

 

 Il fallait s'y attendre :

l'on vandalise, l'on détruit, l'on incendie et l'on pille au Royaume-Uni. Alors, forcément, naturellement, en réaction à tous ces délits, les « idées » de Mai 68, sont non seulement pointées du doigt.

 Mais, aussi, massacrées.

A la tronçonneuse. Ce n'est pas trop tôt.

 

Depuis quarante trois ans que Mai 68 pourrit la société, il était temps que les chroniqueurs signalent le lien évident entre, d'une part, l'énorme crétinisme des idées soi-disant pacifistes de Mai 68. Et d'autre part, la violence inouïe à laquelle certains se livrent dans le sillage de l'esprit mai soixante-huitard.

Et pour ce qui me concerne, j'irais plus loin : il serait vraiment temps de siffler la fin de la récréation ; et de mettre en prison toutes celles et tous ceux qui commettent des délits relevant du pénal.

 Délits que quelques ineffables journaleux de gôche s'obstinent - lamentablement - à légitimer au nom de leurs valeurs inversées, de leurs pseudos-valeurs.

 

De leurs pseudo-valeurs qui datent du millénaire passé.

Mai 68 qui, en réalité, avec commencé, en mai 1967, aux universités, américaine de Berkeley, et, allemande de Berlin-Ouest, avec notamment Rudi Dutschke.

 Mai 68 qui fut précédé de « L'école de Francfort » et ses intellectuels allemands ultra-gauchistes. Mai 68 qui, avec le recul, devrait nous sembler misérable honteux, puisque,

à la même époque, les chenilles de la guerre froide réduisaient en bouillie les manifestants du printemps de Prague.

 

A quand la fin de la récré ?

 

A propos du récent vandalisme qui a secoué le Royaume-Uni, Melanie Phillips, dans le journal britannique Daily Mail (cf. lien vers la source en bas de page),

analyse les causes réelles des récents vandalismes, actes violents et autres délits perpétrés au Royaume-Uni (extraits adaptés) :

 L'anarchie violente qui s'est emparée des villes britanniques est le résultat bien trop prévisible de trois décennies d'expérimentation de gauche, qui a réduit en miettes presque toutes les valeurs sociales fondamentales.

-

La famille mariée bi-parentale, la méritocratie éducative, le châtiment des criminels, l'identité nationale, l'application de la loi sur les stupéfiants et de nombreuses autres conventions fondamentales ont été jetées aux orties par une intelligentsia de gauche déterminée à mener une transformation révolutionnaire de la société.

Ceux d'entre nous qui au cours des années avons averti que c'était jouer avec le feu ont été traités de cinglés de droite, qui voulaient revenir en arrière à un certain âge d'or mythique. Nous voyons maintenant le résultat de cette politique dans les scènes horribles et sans précédent de la violence des émeutiers, des maisons et des commerces en flammes, et une épidémie de pillages.

 

Ce qui a conduit à tout cela n'est pas la pauvreté, comme cela a été affirmé de façon prévisible, mais un effondrement moral. Les causes de cette maladie sont nombreuses et complexes.

 Mais chacune d'entre elles a été créée ou exacerbée par les gouvernements travaillistes ; et au cœur de tous ces problèmes réside l'éclatement de la famille.

 Lorsque le Parti travailliste est arrivé au pouvoir en 1997, il s'est attelé à détruire systématiquement, non seulement la famille traditionnelle, mais l'idée même, que des parents mariés, sont mieux, pour les enfants, que tout autre arrangement.

 

Et cette rupture de la famille était encore tolérée, récompensée et encouragée par l'Etat providence, qui conçoit les besoins uniquement en termes financiers,

et qui subventionne en conséquence la monoparentalité et les comportements destructeurs qu'entraîne l'absence de père.

Tout cela a été aggravé encore par la catastrophe du multiculturalisme - la doctrine qui soutenait qu'aucune culture ne pouvait être considérée comme supérieure à une autre, parce que ce serait ‘raciste'.

Au lieu de renforcer les liens sociaux, le multiculturalisme les dissout - et introduit en leur place une guerre primitive de tous contre tous, où les groupes les plus forts détruisent les faibles.

 

Réparer ces dégâts terribles requiert aussi, oserai-je le dire, un retour à la transmission énergique de la morale biblique.

Lorsque les responsables religieux cesseront de babiller comme des travailleurs sociaux aux idées molles et recommenceront à défendre les concepts moraux qui sous-tendent notre civilisation, et quand nos dirigeants politiques décideront de s'opposer à la guerre culturelle qui a été menée contre cette civilisation, plutôt que d'acquiescer passivement à sa destruction, alors - et alors seulement - nous pourrons commencer à affronter cette crise terrible, conclut Melanie Phillips dans le Daily Mail.

 

   En finir avec l'allahïcité ? 

 

En 2005 déjà, dans l'hebdomadaire progressiste ‘Marianne',

la femme de gauche Catherine Kintzler

 (cf. lien vers la source en bas de page) écrivait (extraits adaptés) :

 Masqués, nocturnes, masculins, armés, ravageurs, homicides, aphasiques.

 Non, ce n'est pas une troupe de l'ombre sortie des enfers dans un film catastrophe qui répond à cette liste de qualificatifs, mais un déplorable réel.

 Décrire ainsi les casseurs qui sévissent depuis maintes nuits n'est sans doute pas politiquement correct, mais même si on peut allonger la liste, comme on allonge un amer avec de l'eau, aucune accumulation de diluants (adolescents, égarés, désœuvrés, désespérés, assoiffés et privés de consommation)

 ne peut atténuer ni invalider l'horreur qu'elle véhicule.

 

Confondre cette horreur avec ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à une population n'est pas seulement une sottise, c'est une faute morale et politique.

C'est pourtant ce que font, avec des mots infâmes, quelques irresponsables : au lieu de traiter cette barbarie comme une excroissance, ils l'érigent en noyau et en normalité, ils en font une sinistre avant-garde autour de laquelle ils tissent un peuple fantasmatique qui exaspère la population réelle.

 

Tout ce qui solidarise les casseurs avec la population qui les entoure est inique et dangereux.

Cette coalisation s'effectue par des opérateurs d'identification :

 les mots infâmes, les « gros mots »1. Ils émanent de deux sources.

Ainsi, émanant de la source répressive, le mot « racaille » stigmatise et cimente tout le monde : gros mot de droite. Mais le mot « jeunes », émanant de la source bien pensante compassionnelle, blanchit tout le monde - qu'on ajoute « défavorisés » et voici les casseurs promus en héros : gros mots bien-pensants.

 

Il importe au contraire de souligner la division entre le peuple et les casseurs, de refuser le processus d'identification.

C'est pourquoi le vocabulaire juridique est encore le meilleur : il qualifie sans créer de substances, il émiette, isole et ne construit pas de conglomérats.

 Il faut donc parler de délinquants, de tentatives de meurtre, d'atteintes graves à l'ordre public et à la sécurité, de mise en danger de la vie d'autrui, de destruction systématique de biens et d'équipements publics et privés.

 Il faut diviser, et pour diviser les mots discriminants doivent l'emporter sur la glu des gros mots. Il faut que les casseurs ne se sentent nulle part « comme des poissons dans l'eau ».

 

Aussi toute comparaison, même rhétorique, avec un mouvement populaire ou même une révolte, est elle-même inique.

Un mouvement populaire peut être violent, mais personne dans le peuple n'en craint la violence car elle s'exprime toujours dans un cadre, dans un « service d'ordre ».

Un mouvement populaire s'attache à créer des solidarités qui ne reposent ni sur des lieux ni sur des identifications substantielles (d'ethnie, de religion, de sexe, d'âge) mais sur des analyses et des revendications claires, exprimées dans la langue commune à tous.

 

Il s'adresse à des interlocuteurs désignés ;

il s'expose et s'affiche en plein jour, à visage découvert, dans le centre des villes. Il se déplace pour témoigner, il se « dépayse ».

 Il réunit hommes et femmes, jeunes et vieux.

Or ici nous avons l'aphasie, le repli sur des territoires considérés comme des chasses gardées, l'obscurité, l'exclusivité masculine. Le terme « émeute » n'est même pas approprié, ce sont des explosions muettes qui prennent la forme de la barbarie et qui s'avancent masquées.

 

Tout a été dit sur les causes sociales de ces explosions :

toutes choses justes auxquelles on ne peut que souscrire.

 Il faut cependant ajouter que la forme barbare suppose aussi des causes de type culturel, surtout lorsqu'elle s'empare de pré-adolescents (on en a eu un avant-goût avec les incidents qui ont émaillé les manifestations lycéennes l'hiver dernier). La forme barbare, c'est l'aphasie, c'est l'habileté à utiliser les technologies disponibles, c'est l'absence de tout interdit, c'est l'état de nature plus la profusion des moyens (téléphones mobiles, cocktails Molotov, armes), c'est l'usage des techniques sans la civilisation.

 

Une civilisation suppose non pas une culture uniforme, mais s'articule en régimes culturels à l'intérieur desquels peuvent se développer des contre-cultures de façon pas nécessairement licite mais toujours organisée et réflexive.

 Or nous avons assisté durant les 30 dernières années, avec l'effondrement des partis ouvriers et la régression des syndicats de revendication, à la disparition de la culture populaire.

 

Les adolescents n'ont aucun modèle populaire qui peut les nourrir, qu'ils peuvent discuter.

En dehors des clips télévisés où se déploie le culte de l'argent et de la vie faciles, en dehors de la « glisse », des fringues et des incantations islamistes, rien qui puisse se présenter comme digne d'imitation - et surtout pas l'école où une politique constante depuis 30 ans s'acharne à dépouiller les enseignants de toute autorité, de tout prestige.

 

Le poignant appel des femmes qui circule ces jours-ci, au-delà de son aspect pathétique, l'avoue naïvement :

 « nous exigeons que nos enfants rentrent à la maison ! », disent-elles.

Mais comment ceux de qui on n'a jamais rien exigé lorsqu'ils avaient l'âge d'intérioriser un interdit, comment ceux qui n'ont appris qu'à se conduire en caïds vis à vis de leurs « vieux » et de leurs sœurs pourraient-ils obtempérer à une exigence aussi tardive et dérisoire ?

 

Ce n'est pas le modèle républicain d'intégration qui est ici en panne mais tout simplement la volonté et le simple courage d'éduquer.

 On ne voit pas du reste que cette fureur s'étende à tous ceux qui dans les « quartiers » souffrent de discrimination, d'exclusion, de pauvreté.

On ne voit pas non plus qu'elle saisisse les filles, tout aussi - sinon plus - « défavorisées », pas plus que les « jeunes » issus de vagues migratoires pourtant plus récentes, venant notamment d'Asie.

 

Sans doute certaines zones urbaines sont-elles livrées au communautarisme intégriste, mais elles sont aussi le territoire de bandes maffieuses développant ce qu'on appelle par euphémisme des « économies parallèles », trafics et rackets en tous genres.

 Alors « à qui profite le crime ? » :

à un véritable modèle de terreur dont l'infrastructure est le trafic et dont la superstructure est tenue par l'intégrisme.

 

C'est l'alliance des ayatollahs et des dealers qui se déchiffre dans le seul message sans paroles, mais clair, envoyé par les casseurs : « la police, l'école, les pompiers, les bus, les médecins, les crèches, les hôpitaux, les magasins, les entreprises, nous n'en voulons pas ; nous voulons être chez nous, laissez-nous trafiquer, opprimer, terroriser comme bon nous semble et tenez-vous à l'écart, n'entrez pas

(ndmg - dixit les ayatollahs et les dealers) »,

concluait Catherine Kintzler, en 2005 déjà.

 

 

Qui se moque de qui pour finir ?

 

« Nous voulons être chez nous, laissez-nous trafiquer, opprimer, terroriser comme bon nous semble et tenez-vous à l'écart », osent donc déclarer les ayatollahs et les dealers.

 Chez nous, en Europe. Dans le sillage du vandalisme qui sévit au Royaume-Uni, quelques journaleux - aigris et frustrés - dénoncent la politique « ultra-sécuritaire » du Premier ministre britannique.

 

Tout ça parce que le Premier ministre britannique se limite à envisager l'usage salutaire de la matraque contre des délinquants morveux et l'usage efficace de canons à eau - l'eau, comme chacun sait, aidant à remettre les idées en place (sans compter que la matraque et l'eau, se n'est tout de même pas comparable aux avions libyens et aux chars syriens qui massacrent des civils, qui, eux, ne sont pas des délinquants).

 

Et ces mêmes journaleux - aigris et frustrés - dénoncent la « dérive fasciste »

des « milices » d'autodéfense récemment constituées dans les villes du Royaume-Uni.

Comme je l'ai écrit dans mon introduction :

 il serait vraiment temps de siffler la fin de la récréation.

 

Michel Garroté

 

 ©  Michel Garroté 2011 http://drzz.fr/

-

 


 
 
posté le 10-08-2011 à 17:17:22

GUERRE CIVILE... Appelons ces évènements par leur nom.

 

 Leur laxisme de ces 20-30 dernières années leur pète à la gueule.

 Ils n'ont que ce qu'ils méritent. 

Également un avertissement sans frais pour Mr Sarkozy. 

 

Immigration 

ça craque et ça flambe

 

Emeutes multiethniques à Londres 

 

 Heurts violents avec la police,  érections de barricades,  véhicules et bâtiments incendiés distributeurs de billets pillés, magasins saccagés,...

Jeanne Smits nous raconte ces scènes de guerre civile :

 « Il ne reste plus rien, c'est de la folie (...)

On dirait que c'est la seconde Guerre mondiale, qu'il y a eu un bombardement... »

 

 

Si la planète financière craque un peu partout (elle craque même en Israël),

en Grande-Bretagne ,  outre les craquements de la finance mondialisée ça flambe aussi !

 En même temps que « la mondialisation heureuse », c'est le multiculturalisme béat 

 qui est en train de tourner au cauchemar.  

Cette semaine, l'hebdomadaire VSD affirmait  que le norvégien fou,  Anders Behring Breivik, auteur de l'horrible tuerie du 22 juillet dernier

 « s'était nourri du climat de xénophobie entretenue par l'extrême droite ».

Ce terme recouvrant, dans les médias français, toute les droites nationales, 

sur lesquelles il est censé jeter l 'opprobre. L'hebdomadaire se réjouissait,

sans doute un peu vite  : 

« Ce choc va affaiblir l'extrême droite. L'immigration sera certainement absente du débat aux prochaines élections. »

 

Quelle aubaine cet Anders Behring Breivik pour le lobby immigrationniste !

 Mais patatras ! 

A Londres, c'est un autre choc en retour : celui des civilisations !

L'immigration sera peut-être absente du prochain  débat électoral en Norvège

 ( il aura lieu en octobre prochain et cela reste encore à vérifier)

 mais il sera en revanche très présent dans les prochains débats politiques en Grande-Bretagne .

On en est navré pour les rédacteurs de VSD...

 

JEAN COCHET

 

Ce qui se passe a Londres, n'est que le premice du grand bazard qui va avoir lieu en Europe.

C'est inevitable.

 

Le triomphe du multiculturel sanglant

 Emeutes-Londres-2

 

Par Michel Garroté

 

Hier soir, le JT de Canal+ a diffusé des images de blacks londoniens

appelant leurs « frères » à « tirer sur les policiers ».

 Le JT de Canal+ a également diffusé des images de blacks londoniens qui, sur Internet, s'affichaient avec les centaines de produits volés dans les magasins, au préalable, vandalisés. Le JT de Canal+ a aussi diffusé des images de blacks londoniens appelant à la « guerre raciale » contre la police britannique.

 Il est exact que des milieux islamistes tentent de manipuler les violences qui secouent actuellement le Royaume-Uni.

-

Cela dit, il est également exact que nombre de ces violences sont perpétrées par des gangs blacks non-musulmans.

Il y a, pour être précis, des violences perpétrées par des islamistes qui veulent imposer la charia dans les quartiers qu'ils contrôlent. Et il y a des gangs blacks non-musulmans qui veulent lancer une guerre raciale contre les blancs.

C'est tout cela à la fois, l'actuel climat britannique.

 C'est tout cela, dans un moment particulièrement fragile et instable, aux plans boursier et financier. Et dans un moment particulièrement fragile et instable, de manifestations d'indignés, contre l'augmentation du coût de la vie.

 

L'on aurait tort d'analyser ces diverses réalités séparément. Et l'on aurait tord de sous-estimer le risque de contagion à l'échelle de toute l'Europe. Si les diverses réalités précitées s'amplifient et se propagent, je ne peux pas exclure que l'Europe vivra bientôt une situation comparable à l'année 1929 (krach boursier et crise économique mondiale), à l'année 1933 (élection d'Hitler) et même aux années 1939-1945 (le candidat socialiste Montebourg aux présidentielles de 2012 a déjà annoncé qu'il faudra détruire l'Allemagne avant que celle-ci ne « détruise la France » ; le ton est donné).

Je n'ai pas écrit que tout cela va arriver. J'ai écrit que je ne peux pas exclure que l'Europe vivra bientôt une situation comparable à 1929, 1933 ou 1939-1945.

A propos de gangs blacks au Royaume-Uni,

je lis, ce matin, entre autre dans la revue de presse LSB (extraits adaptés),

que Mark Duggan, le voyou tué par un policier à l'issue d'une course-poursuite,

 n'était pas une simple petite frappe, dans le genre « pauvre immigré réduit à vendre un peu de drogue pour nourrir sa famille ».

D'après la brigade Trident, chargée du crime dans la communauté noire, il faisait partie des Tottenham Man Dem, un puissant groupe criminel londonien, lié à un méga-gang jamaïcain de Kingston.

Ces « méga-gangs » constituent l'une des formes criminelles les plus meurtrières du monde, avec en moyenne, 1'500 assassinats par an sur une île (ndmg - la Jamaïque) comptant moins de 2,8 millions d'habitants.

Nés dans les années 1980, forts de plusieurs milliers d'hommes de mains,

ces groupes crypto-mafieux, dont les soldats s'appellent « Yardies »,

sont spécialisés dans le proxénétisme, le trafic d'armes, d'héroïne,

et surtout de cocaïne - qui transite,

par leur île, depuis l'Amérique latine jusqu'aux Etats-Unis et l'Europe.

Servant initialement de services d'ordre musclés aux partis politiques jamaïcains, ils ont rapidement gangrené les structures du gouvernement jamaïcain.

De successives vagues migratoires ont permis aux criminels jamaïcains d'implanter leurs activités à l'étranger, principalement en Angleterre, par le biais d'une diaspora sous contrôle.

Dans les communautés émigrées, le « posse » - le parrain - impose sa loi comme en Jamaïque et se doit de punir violemment toute « offense », même venant de la police  aussi bien par les meurtres isolés que par l'émeute de masse.

-

Au passage, ce genre de déflagration permet aux criminels de faire marcher

le « bizness » en paralysant durablement le travail d'une police, qui, sous la pression médiatique et politique, retient ses coups pour éviter des représailles se traduisant

par la mise à feu et à sang de quartiers entiers.

Selon le « Daily Mirror », les Tottenham Man Dem avaient déjà piloté les émeutes raciales de 1985 qui, loin d'une simple jacquerie populaire, ont notamment eu pour but de décourager la police d'intervenir sur le territoire du gang, peut-on lire dans la revue de presse LSB.

-

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Emeutes-Londres-3

 

 

La police britannique a interpellé 770 personnes au cours des quatre nuits d'émeutes qui ont touché d'abord Londres, puis plusieurs grandes villes d'Angleterre.

 Des centaines d'habitants de Londres se sont organisés  pendant la nuit de mardi à mercredi en groupes d'autodéfense dans les rues de la capitale du Royaume-Uni.

Ils ont organisé des patrouilles à moto et surveillaient la gare locale pour guetter l'arrivée d'éventuels fauteurs de troubles.

A Enfield, arrondissement du Nord de Londres lourdement touché par des

troubles les nuits précédentes, quelque 200 habitants arpentaient le quartier

pour surveiller les rues. Les émeutes ont repris mardi en fin d'après-midi

dans la grande banlieue de Birmingham. 200 personnes derrière des barricades ont lancé des projectiles sur les forces de l'ordre, brûlé des véhicules et des magasins.

 Des violences ont éclaté à Manchester, troisième ville du pays.

Des centaines de voyous encagoulés ont affronté et lancé des projectiles sur les policiers anti-émeutes, brisant des vitrines, pillant, mettant le feu à des magasins et à des voitures.

 Un magasin de vêtements a notamment été incendié. Un cameraman de la BBC a également été attaqué. À Liverpool, 200 voyous ont bombardé la police de projectiles et causé des dégâts. À Nottingham, un commissariat a été incendié à coups de cocktails Molotov, relate la revue de presse LSB.

De son côté, De Massimo Introvigne écrit à propos de ces émeutes

(extraits adaptés) :

« Si la crise économique a produit et produit en Grande-Bretagne des phénomènes aussi graves, une cause doit être recherchée dans l'échec - désormais admis, même par une partie de la classe politique britannique - du modèle multiculturaliste, dont, jusqu'à il y a quelques années, Londres était fière, et, même, nous le proposait comme une solution à tous les problèmes de l'immigration ».

Massimo Introvigne :

 « En Grande-Bretagne, le multiculturalisme est devenu le mot d'ordre de la gauche et des "professionnels de l'anti-racisme",

 après 1968, et, a signifié, subventions et large autonomie pour les divers groupes ethniques du Nigeria, des Caraïbes, Indiens, Pakistanais.

Mais la méfiance de cette gauche pour le patriotisme a empêché de transmettre aux immigrants un ‘récit commun' comme au Canada. Le premier problème est né quand une revendication d'autonomie a été avancée par les musulmans qui, contrairement aux Italiens, aux Chinois, ne sont pas un groupe ethnique mais religieux, dont les demandes vont bien au-delà de la préservation d'une langue, d'une musique ou d'une cuisine ».

Massimo Introvigne :

 « Ce malentendu qui confond ethnicité et religion a, pour ainsi dire, abâtardi le multiculturalisme, transformant, le respect des différentes traditions culturelles qui peuvent coexister - à l'intérieur, justement, d'une ‘histoire commune' - en concessions périlleuses aux demandes d'abord des musulmans et puis aussi à d'autres, leur permettant de s'organiser séparément en ce qui concerne le droit de la famille, des pratiques comme l'utilisation de certaines drogues ‘ethniques' et la gestion des districts où ils sont majoritaires. Le multiculturalisme britannique a donc échoué ».

Massimo Introvigne :

 « L'alternative, cependant, n'est pas l'uniculturalisme français, qui remplace le modèle multiculturel par une laïcité qui combat toute identité religieuse et culturelle autre que l'idéologie officielle de l'Etat laïc et des ‘Lumières' (Note de Michel Garroté -

 Cette fois ce n'est pas moi qui l'écrit, mais bien le sociologue et historien italien Massimo Introvigne...).

La véritable alternative est le difficile équilibre entre l'affirmation forte d'une identité et de l'histoire de la majorité - qui en Europe est chrétienne - et une liberté religieuse et culturelle offerte aux minorités, une identité qui rejette sans ambiguïté toute violence et accepte les valeurs fondamentales de la société qu'elles rejoignent. C'est cela la véritable porte d'entrée à une histoire commune », conclut Massimo Introvigne.

Pour ce qui me concerne, l'histoire de la majorité en Europe était, certes, chrétienne. Cela dit, je ne pense pas que l'on puisse aujourd'hui parler d'Europe chrétienne.

Et je préfère donc défendre et valoriser la société libre et laïque de culture judéo-chrétienne qui, par définition, est anti-totalitaire, et, de  ce même fait, incompatible avec le communisme, le national-socialisme, le fascisme et l'islamisme.

Ce point de vue judéo-chrétien est très bien perçu au Canada et aux USA.

Il est vrai qu'en France, en revanche, il est plutôt mal vu...

Michel Garroté

©  Michel Garroté 2011 http://drzz.fr/

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http://www.tv-replay.fr/jt/canalplus/nc/date/1.html

-http://www.lesalonbeige.blogs.com/

-http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f3d067fc02.html

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posté le 09-08-2011 à 05:14:12

Sarkozy exclut toute indemnisation pour les harkis et dévoile enfin son vrai visage.

Elysée :

Sarkozy exclut toute indemnisation pour les harkis

 

 Une réunion secrète sur le thème des harkis s'est tenue le 2 août dernier

 sous la houllette de Christian FREMONT, directeur de cabinet de Nicolas SARKOZY,

 dans un bâtiment annexe de l'Elysée.

 Seuls quelques membres de la communauté harkie très proches de l'UMP ont été conviés à cette réunion pour débattre d'une charte résumant les attentes de la communauté harkie.

 

Il ressort du compte rendu de cette réunion qu'aucune des attentes de la communauté harkie ne sera satisfaite par le candidat Sarkozy devenu Président de la République.

 

 

En ce qui concerne la question de la reconnaissance de la responsabilité des gouvernants de 1962 dans l'abandon, les massacres de harkis et les conditions d'accueil des familles de harkis en France, l'Elysée répond qu'il y a trop obstacles pour que Nicolas SARKOZY reconnaisse cette responsabilité.

 

Ensuite, plus consternant encore,

 

 Christian FREMONT a fini par lâché que Nicolas SARKOZY exclut toute indemnisation des familles dans un proche avenir :

 

 « L'état actuel des finances publiques françaises accentué par la conjoncture économique et financière internationale interdit aujourd'hui de mettre

 cette question à l'ordre du jour ».

 

Ces prises de positions gouvernementales ont rapidment suscité la colère des principaux acteurs de la communauté harkis.

 Pour Fatima BESNACI-LANCOU de l'association Harkis et Droit de l'Homme,

« La montagne a accouché d'une souris. Ainsi, rien de nouveau sous le soleil.

Comment croire une deuxième fois ce qui a déjà été promis une première fois ?

C'est Nadia El Okki, fille d'ancien harki, militante et élue UMP, qui est à l'origine de la dernière rédaction d'une charte prétendant reprendre les revendications des anciens harkis et de leurs familles.

 Mais cette charte a le gout amer de la manipulation ».

 

Contacté par l'ACH-IDF, le président du Comité « Harkis et Vérité »

 

Charles TAMAZOUNT nous a déclaré :

« Nicolas SARKOZY dévoile enfin son vrai visage.

Il ne veut pas reconnaître la responsabilité de la France dans le drame de harkis parce qu'après cette reconnaissance, l'Etat serait contraint d'indemniser.

Et cela, Nicolas SARKOZY ne veut pas en entendre parler.

 La prise de position de Christian Frémont est claire sur ce point.

Toutefois, lorsque ce dernier dit que la question de l'indemnisation des familles de harkis est interdit aujourd'hui, je suis choqué et blessé.

Pourquoi ? Parce que lorqu'il s'est agi d'indemniser les victimes du médiator, le gouvernement ne s'est pas posé de question pour créer un fonds d'indemnisation et trouver les milliards d'euros nécessaires.

Par contre, quand il s'agit de traiter enfin la question de la réparation des préjudices endurés par les familles de harkis, le Gouvernement oppose à ceux qui se présentent comme nos représentants l'état des finances publiques.

Tout cela n'est pas sérieux.

 Dans l'immédiat, la seule chose que je constate, c'est qu'en dehors de avancées obtenues par le Comité « Harkis et Vérité » ces dernières années auprès des juges, la résolution du drame de nos parents n'a guère progressé sous le quinquennat de Nicolas SARKOZY.

Pour finir, je voudrai à dire aux harkis et à leurs enfants :

Ne soyez pas désespérés, on y arrivera même sans Sarkozy ».

 

Il ressort des différentes réactions du tissu associatif de la communauté que suite à cette réunion du 2 août dernier, il est impératif que toutes celles et tous ceux qui souhaitent faire avancer notre cause dialoguent, échangent, débattent et prennent des initiatives dans le bon sens.

 C'est pourquoi les harkis d'Ile-de-France appelle tous les acteurs de la communauteé harkie à se mobiliser autour de la Grande table ronde qui est convoquée le 10 septembre prochain à Paris.

Par ACH-Ile de France

 


 
 
 

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