Le blog d'un français non pratiquant

Les cocus de l'histoire

posté le 22-07-2011 à 00:01:48

Que d’argent dépensé en fumée, cout de l’opération 90.000 euros !!!!

  

Site officiel de la ville de Carcassonne -

 Embrasement 2011 sur le thème de la 'Cité Volcanique'

Que d'argent dépensé en fumée, cout de l'opération 90.000 euros !!

Le final à  duré  6 minutes,

Retour en images sur le feu exceptionnel et gratuit de l'année 2011 sur le thème de la Cité Volcanique.

Ce spectacle était décomposé en quinze séquences qui suivaient les phases d'une irruption volcanique.

Le final, grandiose, dura 6 minutes !

http://www.youtube.com/watch?v=kI2FAV8j-r8&feature=player_detailpage#t=0s

 


 
 
posté le 20-07-2011 à 19:13:25

A ce train de sottises, la campagne 2012 s'annonce désespérante !

 

 

Derrière les ragots, les crises oubliées 

Après Dominique Strauss-Kahn, Martine Aubry serait donc victime, elle aussi, d'un complot fomenté du côté de l'Élysée.

 C'est, du moins, le roman de gare que le PS aimerait faire lire sur les plages, à défaut de pouvoir alimenter les conversations sur son programme qui reste à écrire.

 Pour les socialistes, les rumeurs assurant que la première secrétaire serait alcoolique et son mari proche des islamistes proviendraient forcément de la droite.

Voilà donc la France au parfum de ragots distillés sur Internet et amplifiés par la gauche elle-même, tandis que celle-ci en rajoute dans l'accusation sans preuve.

 À ce train de sottises, la campagne pour 2012 s'annonce désespérante.

 Ces digressions ne sont pas dignes des mutations de la société qui attendent des réponses politiques. 

 

 

Cela se passe à Marseille : fin juin, un camion de lait de la banque alimentaire des Bouches-du-Rhône a été arrêté à l'entrée d'une cité des quartiers est et fouillé par des "jeunes sensibles" pour en vérifier le chargement.

Vendredi, un train de marchandises a été attaqué et dévalisé, dans les quartiers nord, par une vingtaine d'encagoulés qui avaient posé des chariots et des poutres sur la voie. "C'est presque le retour au temps des diligences attaquées", a commenté un policier. Lundi, un bus a été bloqué par des voyous au prétexte que le conducteur refusait l'accès à une femme en tchador.

Ces faits révèlent le nouvel état d'insécurité et un processus de libanisation observable dans des cités.

Ces sujets ne mériteraient-ils pas toutes les attentions ?

 

 

Et ceci, plus pressant encore : la chute des marchés financiers s'accélère dans l'Union européenne.

 

 © Ivan Rioufol

 

 

 


 
 
posté le 20-07-2011 à 19:02:00

INCROYABLE N'EST PAS FRANCAIS...

 

Incroyable !

 

Celui qui ferme nos églises en Algérie, vient en France inaugurer une mosquée 

...SAONE-ET-LOIRE

 

 

Ministre du Culte algérien et député de la communauté algérienne, Bouabdallah Ghlamallah est venu inaugurer la nouvelle mosquée de Torcy, en Bourgogne. Une présence qui montre l'importance grandissante de la communauté algérienne dans cette commune « de France ».
 

C'est vendredi en milieu d"après-midi que Bouabdallah Goulamallah a été accueilli par le premier magistrat de Torcy en la personne de Roland Fuchet (PS).

 Accompagné notamment par le consul général venu de Lyon, Abdelkader Kacimi El Hassani, et le président de la fédération régionale Sud-Ouest de la Grande Mosquée de Paris, Abdallah Zekri, le haut représentant de la communauté algérienne a pu constater d'entrée « l'importance et la considération accordée à celle-ci au niveau local ».


La présence de ce ministre algérien en France, venant prendre acte d'une nouvelle étape de l'islamisation du pays, est particulièrement choquante :

 c'est ce même Bouabdallah Ghlamallah qui avait, l'année dernière, fait fermer 10 églises, et s'était justifié au journal L'Expression par cette phrase :

« J'assimile l'évangélisation au terrorisme. »

 La « réciprocité » de la « tolérance » ne semble pas encore d'actualité.

Rendormez -vous mes frères, ça pénètre en douce.
 NDLR: à noter que l'église de Torcy s'appelle Saint-Barthélémy. 

 

 

 

 


 
 
posté le 20-07-2011 à 06:11:01

Faire un choix, c'est facile. L'assumer, c'est autre chose !

 

 

 

Cette guerre en Afghanistan est complexe nous ne comprenons pas le bien fondé de ce conflit, les mentalités des occidentaux et des afghans sont totalement différentes, et les enjeux nous dépassent. Mais en tous états de cause cela ne nous dispense pas de soutenir nos soldats dont j'admire le courage et le dévouement.

 

Bonne initiative que de rappeler à tous la mémoire des braves tombés pour la France!

qu'ils ne soient jamais oubliés par la nation et par le peuple français.

 

 Depuis 2001, 70 militaires français sont morts en Afghanistan.

Mort pour la France

 

Qu'ils ne soient jamais oubliés par la nation et par le peuple français.

La communauté  pieds noirs/harkis associe ses condoléances aux familles endeuillées et ses vœux de prompt rétablissement aux blessés.

 

 

 

 


Commentaires

 

1. Léo  le 20-07-2011 à 04:31:29  (site)

• Il est regrettable que notre Président n'adopte une posture Gaullienne de défenseur et Père de la Patrie qu'à l'approche des élections et alors que sa côte de popularité est au plus bas. Cela pue la récupération politique!
Pourquoi alors Sarkozy n'a pas réagit plus tôt, alors que nous en sommes à 70 soldats victimes d'une guerre qui ne met pas directement en cause la sécurité de la France et que de nouveaux soldats tombent chaque semaine?
s'il pouvait en faire autant pour la France ce serait le paradis

2. Largo  le 20-07-2011 à 04:37:02  (site)

De nombreux clowns, fossoyeurs de la République, de gauche et de droite sont venus encombrer , voir souiller les bancs de l'église des invalides. Qu'ils en profitent car d'ici peu ce genre de cérémonie, qui peut blesser certaines communautés, disparaîtra.

 
 
 
posté le 18-07-2011 à 10:19:47

Ouf! On l'a échappé belle.

 

Avant de blanchir Strauss Kahn et de noircir la femme de chambre,

je souhaite présenter ici et publiquement mes remerciements profonds à Dominique Strauss Kahn pour avoir si bien réussi son suicide politique, ce qui a évité à la France l'humiliation d'un Président dérangé sexuel.

Je ne suis pas étonné que la gauche ne l'ait pas compris, car l'habitude de réfléchir s'est perdue, à gauche, à force de se crisper sur des réflexes du passé.

 

Suicide politique :

 En l'espace de dix jours, rappelons-nous que DSK avait réussi à se faire prendre en photo dans une Porsche Panamera à 171.000 euros options comprises, que d'habitude les bobos ne montrent pas (les parents de Laurent Fabius laissaient leur Rolls à la campagne, eux), puis, quand il a vu que le résultat était mitigé, il nous a sorti le coup du Sofitel. Chapeau DSK !


Dérangé sexuel : 

le 9 juillet 2007, Jean Quatremer, un de ses collaborateurs, écrivait sur son blog (1) : « Le seul vrai problème de Strauss-Kahn est son rapport aux femmes.

 Trop pressant, il frôle souvent le harcèlement (...)

Or le FMI est une institution internationale où les mœurs sont anglo-saxonnes.

Un geste déplacé, une allusion trop précise, et c'est la curée médiatique ». Ces propos sont connus, mais ils ont été analysés à l'envers.

Jean Quatremer n'est pas un devin, et son blog de 2007 ne doit surtout pas servir à expliquer le scandale de New York.

 Il doit, au contraire, aider à voir plus loin, et à se projeter le film de la France présidée par un oiseau pareil : on est loin de Mitterrand et sa double vie, ou de Giscard et Chirac qui font le paon.

 


Un autre proche exprimait, trois mois avant "l'affaire", ses craintes, publiées par France Soir (2) : 

« Depuis plusieurs mois, j'ai demandé que Dominique ne se déplace plus sans être accompagné par deux ou trois gardes du corps.

 Il ne faut jamais le laisser seul.

Non pas pour le défendre contre une quelconque agression, mais je choisis les mots justes, non diffamatoires, pour empêcher mon ami disons... de céder à la complexité de sa vie sexuelle. Cela, bien sûr, dans l'éventualité de sa candidature

à l'élection présidentielle de 2012. »


Je lit ça, et je me dit :

"ouf, on l'a échappé belle, merci Mr Strauss Kahn !".


Intérêt supérieur de la France : 

dans la lettre que Piroska M. Nagy, l'employée du FMI victime du harcèlement sexuel de DSK (3), envoya au conseil d'administration du FMI en 2008, elle disait :

 " DSK est un charmeur qui peut devenir agressif (...) et je pense que cet homme a un problème qui peut le rendre incapable de diriger une organisation ou des femmes travaillent à son service".


Lorsqu'un homme est à ce point dominé par sa quéquette, qu'une simple femme de ménage, guinéenne et sans éducation, peut briser un homme d'expérience, possédant intelligence, pouvoir, richesse et influence, il est une proie trop facile pour les belles espionnes au service des puissances étrangères.

Il est le maillon faible pour tirer de la France ce que d'autres convoitent.

Plus on lui confie du pouvoir, plus il devient une cible, et plus il y a danger.


Puisque le procès DSK ne présente plus, au regard des intérêts supérieurs de la France,

la moindre importance, car il nous a copieusement humilié et pour longtemps,

et puisque telle a été décrite la femme de ménage, prenons un peu de hauteur

 et posons-nous la question : est-ce qu'une prostituée peut être violée ? 
 

 Jean-Patrick Grumberg 

PS : Les journalistes de la grande presse ont abandonné depuis longtemps les faits au profit de leur opinion propre, habilement glissée dans leurs reportages. Les lecteurs de Drzz le savent, mais certains se laissent prendre au piège. Lorsque j'ai publié les aspects factuels de l'affaire tels qu'ils étaient dévoilés par les médias américains - et censurés en France, ces mêmes lecteurs ont pensé que j'exprimais là mon opinion personnelle. Ils sont tout excusable, car il n'est pas facile d'échapper en permanence à la pression de la pensée unique.
 Grumberg pour 
Drzz.fr

(1) http://bruxelles.blogs.liberation.fr/coulisses/2011/05/les-médias-français-et-le-tabou-de-la-vie-privée-des-politiques-.html

 


 
 
posté le 18-07-2011 à 05:39:10

Lettre aux pollueurs.

 

 Eva JOLY ou le "Droit du sol "

 

Libres Propos du Colonel de Badts de Cugnac, avec son autorisation .

Magnifique mise au point .

 

 

Bravo Mon Colonel.

 

Eva JOLY aimerait remplacer le" Défilé du 14 Juillet" par un" Défilé citoyen"  , de mème que certains de ses amis  proposent de supprimer les" Monuments aux morts"au pretexte que tout cela ne correspond plus aux valeurs de la République ...valeurs sensées être incarnées par une population nouvelle qui ne se reconnait pas dans nos symboles .

 

On observe que la population de référence est composée d' émigrés africains et arabo musulmans et que les instigateurs de ces changements sont issus soit de cette mème population soit d' une minorité agissante d'émigrés de première génération .

 

Ils sont soutenus par des lobbies politico sociaux ,que nous connaissons bien : nostalgiques du marxisme léninisme , mondialistes apatrides qui exploitent les habituels idiots utiles et qui retournent contre nous une certaine interprétation de nos références traditionnelles.

 

La  question que vous posez est celle du "droit du sol " par opposition au "droit du sang "

Vos partisans relèvent du droit du sol .Ils veulent non point devenir Français c' est à dire  adopter nos us et coutumes mais nous supplanter en nous imposant leur point de vue ,alors que le principe mème de l'immigration, qui a relativement bien fonctionné avec les apports européens du XIX° siècle, repose sur la volonté de devenir Français en adoptant notre manière d' être .

 

Les Français par le droit du sang n' ont que faire des théories que leur imposent depuis trop longtemps des ressortissants d' ethnies allogènes et apatrides .

Ceux qui ne se reconnaissent pas dans notre FRANCE n'ont qu' aller voir ailleurs ou retourner chez eux .

"Les valeurs de la République " nous qui sommes les descendants de la Révolution ,

nous les connaissons mieux que vous  !!!

"Le symbole du 14 Juillet" nous le connaissons mieux que vous  !!!

 

 Nous ne vous avons pas attendue pour nous réunir autour de la devise nationale" LIBERTE EGALITE FRATERNITE "

et nous savons le prix qu'il a fallu payer ..

 

 Cette devise c' est les armes à la main que nous l' avons maintes fois défendue.

Les bobards des pacifistes nous savons quoi en penser , ils nous ont coûté assez chers .

Vous ne voulez plus d'un "défilé militaire" ?

 Pourquoi cette opposition soldat / citoyen ?

Les soldats ne sont ils pas des citoyens ?

Vous parlez du" bonheur d' être ensemble ? "

Vous n' ètes pas bien avec nous ?

 Alors retournez donc chez vous y semer vos graines d' anarchie .

 

Il parait évident , que comme bien d' autres envahisseurs qui polluent notre Patrie ,vous ne soyez pas bien chez vous non plus ....

En fait vous n' étes bien nulle part , vous ne savez que recriminer , critiquer , détruire par la corruption des esprits .

Comme une plante parasite vous vous épanouissez sur les ruines que vous avez causées .

Il fut un temps ou un prince Georgien disait:

 "Nous étrangers n' avons qu'une manière de prouver notre gratitude pour la FRANCE : mourir pour elle "

Un fils de Bachaga disait à ses Harkis

"Il n' y a qu'une façon d' aller au Paradis : mourir pour la FRANCE "

 

Vous qui avez bénéficié de notre hospitalité , à qui nous avons accordé  l'opportunité d'un déroulement de carrière enviable, votre seule reconnaissance consiste à comploter pour  nous détruire !!!!

 

Comme quoi ces militaires que vous n' aimez guère  ont plus d'honneur que vous .

Madame Eva JOLY comme je me sens injurié par vos propos  

je vous dis mon profond mépris

Gérard de BADTS

 


 
 
posté le 17-07-2011 à 10:23:05

L’histoire de la guerre de Libération nest qu'un festin au cours duquel les gros poissons bouffent les petits.

 

Amirouche Aït Hamouda

 

Né le 31 octobre 1926 à Tassaft Ouguemoun

 mort au combat au sud de Boussada, le 29 mars 1959,

surnommé le « loup del'Akfadou » 

 un colonel de l'Armée de libération nationale (ALN) et chef de la wilaya III pendant la guerred'indépendance de l'Algérie.

 

D'une intelligence vive et d'un caractère décidé, encore âgé de moins de trente ans, il avait pris de sa propre initiative le commandement de la Wilaya III ;

 Issu d'une famille aisée, intellectuelle, son père, un notable de Tassaft Ouguemoun (région des Ouacifs), la petite localité du Djurdjura où il est né le 31 octobre 1926, lui a donné une certaine éducation en arabe.

 

Amirouche s'est marié, à Oued Fodda, avec sa cousine germaine, et l'oncle-beau-père, plus riche que le reste de la famille, l'a aidé à monter un petit commerce de bijouterie à Relizane. C'est dans cette bourgade de l'Oranie qu'il retravaille et vend, entre autres pièces, les colliers, les bracelets et les bagues des Aït Yenni  dont la renommée artistique s'étend bien au-delà de la Kabylie.

Cet artisan bien établi, père d'un jeune garçon, Amrane Ait Hamouda, l'actuel députe du RCD. Amirouche est bientôt saisi par le démon de la politique.

 

Il approuve le leader nationaliste de la ville, le Dr Ahmed Francis, qui dénonce - c'est l'époque du proconsulat de - Marcel-Edmond Naegelen - les élections truquées. Les options qu'il prend sont cependant plus radicales que celles du responsable de l'UDMA. Non content d'adhérer au MTLD et de quitter Relizane pour aller s'employer, à Alger, comme permanent au siège de ce mouvement, place de Chartres, il entre à l'O..

Lorsque la répression s'abat sur l'Organisation spéciale du MTLD, en 1950 - 1951, Amirouche est incarcéré. Libéré, mais interdit de séjour à Alger, il retourne, à sa sortie de prison, à Relizane, mais il va clandestinement passer les dimanches dans la capitale. Bien qu'il soit fort anticommuniste, il va souvent rendre visite à des amis du journal du PCA. Alger républicain, et notamment au fraternel et astucieux Isaac Nahori, dit « Coco ».

 

De la bijouterie à la montagne.

 

Comme il est surveillé de près par les polices d'Alger et de Relizane, il décide de se rendre en France. Il milite, à Paris, · au MTLD, dans la kasma du 3e arrondissement (qui, après, le er novembre 1954, sera l'une des premières a adhérer à la fédération de France du FLN lorsque celle-ci sera constituée par Terbouche).

 

Rentré en Algérie, Amirouche apprend, à Alger, en décembre 1954, que son père, tout comme d'autres notables de la région, a été imposé pour un million de francs - « au hasard et injustement », proteste-t-il - par un leader local trop zélé du FLN « Je vais aller à la montagne, en Kabylie, explique-t-il à ses amis, pour y faire rapporter cette décision ridicule. Après quoi, j'entrerai dans un maquis ».

 

Il fera comme il a dit. Il entre en contact avec le FLN de la région des Ouacifs, règle à l'amiable l'affaire de la taxe - la mesure qui avait frappé son père est annulée puis il rejoint le groupe armé FLN le plus proche

 

Amirouche y arrive à un moment crucial, puisque le chef du maquis de la zone de Michelet, Amar Ait Chikh, vient d'être tué dans un accrochage avec une unité française. Les combattants sont démoralisés, hésitants. Amirouche leur donne des conseils pour se réorganiser. II le fait avec une telle autorité et un tel ascendant que les maquisards lui demandent de prendre la place d'Amar Ait Chikh. II accepte.

 

 L'initiative est hardie, car jamais encore un responsable FLN n'a occupé un commandement militaire sans avoir été préalablement désigné par l'échelon supérieur de la hiérarchie de l'organisation. Amirouche prend cependant ce risque. Il se dit qu'il ne peut pas laisser passer l'occasion d'entrer dans la résistance par la grande porte, et il a assez confiance en son étoile et en son éloquence persuasive pour penser qu'il réussira à faire entériner cette entorse à un règlement sur lequel le FLN ne badine pas.

 

Rencontre avec Krim Belkacem.

 

Au début de l'année 1955, on avait signalé au chef de la wilaya III, Krim Belkacem qu'un certain Amirouche avait pris de sa propre initiative le commandement de la région de Michelet, après la mort de son chef Amar Ait Chikh. Krim n'en avait jamais entendu parler.

 

Il décide de juger lui-même, par un contact direct, s'il doit s'attacher ou éliminer ce personnage hors série. Il s'installe, avec son escorte, à Illiten sur les hauteurs du Djurdjura, et il envoie à Ouacif un émissaire chargé de dire à Amirouche qu'il doit se présenter, seul, dès le lendemain, à ce P.C. bien camouflé. Krim Belkacem calcule que, compte tenu de la distance Ouacif-Illiten, le voyageur devrait atteindre le P.C. au coucher du soleil. Amirouche arrive, en fait, avec quatre heures d'avance sur l'horaire prévu. Ce grand gaillard, moustachu et barbu, montre ainsi ses qualités de « coureur de djebels », un marcheur infatigable, capable d'abattre soixante-dix kilomètres dans sa journée et passe un premier test favorable.

 

Il se présenta à Krim et les deux hommes se regardèrent fixement. Krim Belkacem, qui avait une grande habitude des hommes de la montagne, le jugea très rapidement. Un dur, décidé, réceptif, tranchant, impitoyable. Il fallait se l'attacher ou le supprimer.

L'entretien Krim Belkacem-Amirouche est d'abord assez tendu, car le chef de la wilaya III rappelle fermement à son hôte que personne n'a le droit d'exercer un commandement dans le FLN, de collecter de l'argent et de récupérer des armes sans avoir été, au préalable, dûment mandaté. La défense d'Amirouche est habile. Il explique que s'il n'était pas intervenu, les combattants, désorientés par la mort d'Amar Ait Chikh, se seraient dispersés en petits groupes anarchiques ou seraient rentrés chez eux.

 

Il donna à Krim Belkacem ébahi des comptes rendus d'activité très bien rédigés d'une petite écriture fine, avec le nom des hommes, les comptes financiers au centime près. II n'y avait pas d'équivoque. Krim le jugea ferme, décidé mais obéissant et remarquablement organisé. Il avait fait preuve de qualités de chef extraordinaires. C'est bien, conclut Krim secrètement enchanté des qualités de la nouvelle recrue, « reposons-nous. Tu as fait une longue marche. Tu auras mes instructions après ..»

 

Amirouche numéro 2 de la wilaya III.

 

Krim

 

Krim Belkacem saisit le jeune chef d'une proposition précise, et qui est acceptée d'enthousiasme : Amirouche quittera sa « région d'origine » des Ouacifs, où il ne serait pas prudent de séjourner plus longtemps, et il deviendra le responsable FLN de toute la vallée de la Soummam, de Sidi-Aïch à Bouira.

 Son rôle sera d'implanter de nouveaux maquis dans cette zone difficile, travaillée par la propagande messaliste, et d'établir, via Bouira, une liaison avec la wilaya II (Constantinois) dont la wilaya III (Kabylie) est coupée. La mission est accomplie. Un mois plus tard, des groupes de choc FLN bien organisés opèrent dans la vallée de la Soummam et Amirouche a noué, par courriers spéciaux, un contact avec les chefs des wilayas voisines. La direction du FLN constate qu'elle peut avoir, pour la première fois, une vision globale de l'action de l'ALN dans toute l'Algérie.

 

En mai-juin 1955, les opérations de l'armée française prennent, cependant, une telle ampleur que toutes les communications des wilayas sont à nouveau interrompues, y compris celle d'Amirouche avec la wilaya II, mais Krim Belkacem ne peut pas en tenir rigueur à son lieutenant : celui-ci remporte en effet une grande victoire en écrasant, après un combat bien mené, le maquis MNA de Bellounis, qui était la plus grosse épine plantée au cœur de l'organisation FLN de Kabylie.

 

Amirouche, qui établit son quartier général à l'est du Djurdjura, dans la région des Bibans, s'est hissé au rang de principal adjoint de Krim Belkacem, ce dernier le chargea d'assurer la sécurité de la tenue du Congrès de La Soummam le 20 août 1956, concentrant dans la zone de l'endroit où devait avoir lieu la rencontre plusieurs centaines d'hommes tout en mettant au point une habile diversion pour attirer les forces d'occupation dans une autre partie de la Kabylie.

 

Des « maquis modèles »

 

Doté d'une résistance physique extraordinaire, surnommé le « loup de l'Akfadou

 » et « Amirouche le terrible » (il lui arrive souvent de faire à pied, dans sa journée, des randonnées de 50 à 70 kilomètres), il se déplace sans arrêt. II marche de jour et de nuit, par monts et par vaux, toujours « sur le tas », payant de sa personne pour animer personnellement le combat fugitif, auréolé de légende, de « l'armée des ombres ».


À son P.C., en revanche, cet organisateur qui aime la hiérarchie des postes et des responsabilités, se transforme en fonctionnaire pointilleux. II rédige lui-même, d'une petite écriture serrée, rapport sur rapport, dresse des organigrammes etfait fonctionner toute une bureaucratie.

 avec ses papiers à en-tête, ses notes en triple exemplaire, ses cachets et ses tampons.

Il est particulièrement connu pour son tempérament brutal, psychorigide et intraitable, fait régner, parmi ses troupes, une discipline très stricte et souvent même féroce, mais sa loi de fer est acceptée sans murmure parce que le chef est aussi dur pour lui-même que pour les autres. II partage entièrement la vie des combattants, prend sa part de leurs corvées (transport du ravitaillement, travaux de terrassement pour la construction des abris, etc.) et chante les poèmes dans lesquels le barde kabyle Si Muhand exaltait, il y a bien longtemps déjà, la résistance aux étrangers : « J'ai juré que de Tizi-Ouzou Jusqu'à l'Akfadou, Ils ne me commanderaient pas ... »

 

La réputation d'Amirouche est telle que les volontaires affluent dans ses groupes armés, dans ses maquis qu'Abane appellera un jour, au cours d'une réunion de direction du FLN, les « maquis modèles ». En juin 1955, le chef kabyle se trouve à la tête de 800 soldats constitués en unités homogènes dont la plus petite est le détachement de onze hommes. Bien armés, tous ces combattants sont aussi bien habillés grâce aux collectes d'argent que les percepteurs d'Amirouche effectuent dans différentes localités de Kabylie, surtout entre le 20 et le 30 de chaque mois, lorsque les travailleurs partis pour la France « l'exil au front », selon la formule de Si Muhand U M'hand, envoient leur mandat postal au pays natal. Les malades et les blessés sont soignés dans un service de santé qui fonctionne avec la collaboration secrète des médecins d'Alger.

 

La « guerre psychologique » est menée par Amirouche avec le même dynamisme que la « guerre des fusils. » Quand les autres zones de la wilaya III tirent leurs tracts à 150 exemplaires, celle d'Amirouche tire les siens à 1 500 exemplaires. Krim Belkacem a raison de dire que l'inquiétant jeune homme qu'il a recruté, six mois plus tôt, à lliten est devenu le meilleur de ses lieutenants. C'est en grande partie grâce aux combattants d'Amirouche que le chef de la wilaya III pourra soutenir honorablement, en juillet, le choc de la « division de fer » du général Beaufre, beaucoup plus offensive que les unités françaises précédemment engagées sur le terrain.

 

Et quand, un mois plus tard, à Alger, Soustelle déclarera qu'en Kabylie « l'action des cadres français a permis une reprise en main spectaculaire des populations », ce diagnostic erroné du gouverneur qui prend ses désirs pour des réalités fera sourire les officiers de renseignements mieux informés.

 

Lors du départ de Mohammedi Said, le conseil de la Wilaya, le désigne comme successeur, qu'il refusera pour appliquer la règle établie par l'ALN qui exige que le poste revienne à l'officier le plus ancien dans le grade, en l'occurrence, Saïd Yazouren dit Vrirouche. Ce dernier, envoyé à Tunis, sera maintenu à son poste pour permettre la désignation d'Amirouche au grade de colonel.

Durant l'été 1957, il fut nommé au grade de colonel de la wilaya III

 après que Krim Belkacem et Mohammedi Saïd eurent rejoint le Comité de coordination et d'exécution (CCE) 

 

 

Capitaine Paul Leger.

.

L'épisode de la « bleuite »

Complot « contre-révolutionnaire »

 

1958-1959 qu'apparait le terrible fléau de « bleuite », des appréhensions de trahisons ou de prétendus trahisons utilisées avec une extrême habilité par les services d renseignements français pour démoraliser le maquis.

Amirouche et son entourage appelèrent l'infiltration dont ils se croyaient victimes la « bleuite » par allusion au bleus de chauffe, des auxiliaires musulmans retournés et recrutés par les Français dans la Casbah d'Alger durant la bataille d'Alger. En lui donnant ce nom qui a la consonance d'une maladie, ils ne croyaient pas si bien dire : ils étaient, en effet, les victimes d'une gigantesque intoxication née d'une ruse de guerre « contre-révolutionnaire » planifiée par le GRE (Groupe de renseignements et d'exploitation) du capitaine parachutiste Paul-Alain Léger aux ordres de Godard commandant du secteur Alger Sahel.

 

Ils mettent œuvre un système de rumeurs et de faux indices, notamment en relâchant des membres du FLN après leur avoir laissé entendre que certains de leurs chefs travaillaient pour l'armée française. Une fois remis en liberté ils reprennent le chemin de leur wilaya pour dénoncer les prétendus traitres. Cette machination voit se développer la suspicion dans l'entourage du colonel Amirouche, attisée par des animosités et l'instauration d'un processus infernal : arrestations, interrogations « poussés », aveux forcés, dénonciations, liquidations, nouvelles arrestations.

 

Cette opération d'intoxication fut à l'origine d'une campagne de purges dévastatrices dans la wilaya, qui causa plus de pertes à l'ALN que les combats eux-mêmes, et provoqua le ralliement de nombreux combattants affolés. Le principe du cloisonnement dans l'ALN et le devoir de réserve des principaux concernés aggravent la situation.

 

Le colonel Amirouche adresse un circulaire

aux autres chefs des wilayas :

 

« J'ai découvert des complots dans ma zone, mais il y a des ramifications dans toutes les wilayas, Il faut prendre des mesures et vous amputer de tous ces membres gangrenés, sans quoi, nous crèverons! J'ai le devoir de vous informer en priant Dieu pour que ce message vous parvienne à temps, de la découverte en notre wilaya d'un vaste complot ourdi depuis des longs mois par les services français (Godard et Léger) contre la révolution algérienne. Grâce à Dieu, tout danger est maintenant écarté, car nous avons agi très rapidement et énergiquement. Des les premiers indices, des mesures draconiennes étaient prises en même temps : arrêt du recrutement et contrôle des personnes déjà recrutés, arrestation des goumiers et soldats « ayant déserté », arrestation de tous les djounoud (soldats) originaire d'Alger, arrestation de tous les suspects, de toutes les personnes dénoncées de quelque grade qu'elles soient et interrogatoire énergique de ceux dont la situation ne paraissait pas très régulière, le réseau tissé dans notre wilaya vient d'être pratiquement hors d'état de nuire après une enquête d'autant plus ardue que ses chefs étaient en apparence au-dessus de tout soupçons. »

 

Les arrestations, les dénonciations se multiplient en quelques semaines. À ce régime, les suspects racontent n'importe quoi et Amirouche se sent renforcé dans son espionnite. Cette vague d'épuration coûtera la vie à environ de deux à six mille cadres et militants FLN. Amirouche précise que les traitres sont surtout des personnes instruites, intellectuels, étudiants, collégiens, médecins et enseignants. La wilaya crispée par la méfiance se replie sur elle-même.

 

Lettre ouverte au colonel Godard

 

Par une lettre ouverte au colonel Godard, le colonel Amirouche s'adresse à lui pour lui faire savoir qu'il a découvert le prétendu complot... ce qui revient à lui annoncer triomphalement qu'il est tombé dans le piège.

 

 Cette lettre, intéressante à plus d'un titre, témoigne inopinément du respect que les officiers de l'ALN. ressentent pour un officier français. Leurs notions de l'honneur d'un officier français est telle qu'Amirouche est scandalisé que Godard, qu'il croit l'artisan du prétendu complot contre-révolutionnaire, et qui est, en fait, l'auteur d'une entreprise encore plus subtile, recoure à des moyens aussi tortueux.

 

« Au lieu d'aller combattre loyalement les vrais Moudjahidines, vous, Godard, qui prétendez être officier ... vous avez préféré travailler dans l'ombre ... vous avez renié votre métier de combattant pour embrasser la profession de flic ... oui, colonel Godard, vous étiez né, élevé et grandi dans l'amour patriotique d'une nation civilisée et même civilisatrice, vous étiez destiné à jouer un rôle toujours grandissant dans l'armée en exposant votre vie, vos poitrines aux balles des Allemands, ou de toute autre nation, égale tout au moins à la vôtre, qui vous déclarerait là guerre. Jusqu'au jour où vous avez rejoint l'armée colonialiste, je n'ai rien à vous reprocher étant donné votre zèle et votre amour pour votre pays en le servant dans l'honneur et la gloire, et par tous les moyens appropriés ... Vous venez de ravaler votre honneur à celui d'un simple mouchard au service d'une poignée de colonialistes. Ce travail serait à l'honneur si c'était en France. Dans votre propre pays que vous ayez accepté de nettoyer votre nation d'éléments tels que la Ve Colonne, avant la guerre de 1940. Les dirigeants de la D.S.P. et de ses subdivisions en France peuvent être demain des grands chefs respectés, honorés et glorifiés, car ils collaborent à la grandeur de leur nation. Mais vous, colonel Godard, que venez-vous faire dans cette galerie « d'ultras rebelles» à votre patrie même, vous Qui êtes né et élevé dans les principes de la révolution de 1789, vous souillez l'honneur d'une carrière déjà belle. »


Amirouche lui-même aurait déclaré que 20 % des exécutés étaient innocents, mais il se serait défendu en ces termes : « En tuant les deux tiers des Algériens, ce serait un beau résultat si l'on savait que l'autre tiers vivrait libre ».

Amirouche contre ceux de « l'extérieur »[

 

Réunion inter-wilayas

 

À la fin de l'année 1958, la situation des wilayas était désastreuse. La révolte grondait à cause du manque d'approvisionnement en armes, munitions et argent pour la continuation du combat dans les maquis, Amirouche veut établir avec les chefs de wilaya une unité d'action à l'égard de l'extérieur. Une grande réunion se tint en wilaya II en pleine montagne au centre d'un triangle Taher-Mila-El Milia, du 6 au 13 décembre 1958. Elle marquait le premier désaccord violent entre les maquis de l'intérieur et la direction de la révolution qui est à l'extérieur. Son âme en était Amirouche qui comptait sur cette assemblée extraordinaire - la première depuis le congrès de la Soummam à se tenir en Algérie pour rétablir les vieux principes de primauté de l'intérieur sur l'extérieur.

 

 Il était temps de prouver à ces « révolutionnaires de palace », « les responsables embourgeoisés de Tunis et du Caire » que ceux qui se battaient dans les maquis devaient avoir une place prépondérante dans la direction de la révolution.

Après avoir rencontré Si M'hamed et l'avoir convaincu de l'importance d'une telle conférence, Amirouche, qui se révélait le plus décidé des chefs de wilaya, se livra à un véritable travail de propagande anti-GPRA.

Exploitant un sentiment d'amertume très général, il démontra aux autres chefs à quel point le GPRA, qui devait être le « prolongement » de l'intérieur à l'extérieur, les abandonnait.

 

« Nous devons dès aujourd'hui taper du poing sur la table et demander des comptes au GPRA pour son attentisme, son incurie, son incapacité à résoudre le problème du franchissement du barrage français à la frontière algéro-tunisienne, ses actions répressives contre nos frères de l'ALN qui ont voulu récemment dénoncer ses méthodes dictatoriales et bureaucratiques et qui se retrouvent aujourd'hui en prison. Nous devons enfin lancer un appel public à l'opinion algérienne pour lui faire connaître nos positions. Ils font de la politique sans faire la guerre, nous devons reconsidérer toute notre stratégie de la conduite des affaires. L'intérieur se trouve délaissé, livré à ses propres moyens. Le GPRA pas plus que l'état-major général - qu'il soit de l'Est ou de l'Ouest - ne nous envoie d'armes ni de munitions. Le barrage devient pour nous infranchissable. Et eux, avec leur armée des frontières, ne font rien pour le franchir et nous ravitailler. »

 

Sentant que son sentiment était partagé par les chefs de wilaya présents, Amirouche poussa son avantage. II était impossible que le GPRA soit le leader de la révolution puisque à la Soummam on avait défini la primauté de l'intérieur sur l'extérieur. Le GPRA n'était donc constitué que par des « émissaires » des maquis. « Les véritables chefs de la révolution sont à l'intérieur, s'écria Amirouche, on ne saurait accepter un état-major qui ne soit pas au combat à nos côtés ! »

 

Autour d'Amirouche, Si M'hamed (wilaya IV, Si El Haouès (wilaya VI), Hadj Lakhdar (wilaya I). Manquaient à l'appel les chefs des wilayas II et V, (le Constantinois et l'Oranais). Avec eux, Amirouche, qui tentait de regrouper autour de son nom le mécontentement des chefs de l'intérieur, avait essuyé deux échecs. Ali Kafi, le chef de la II, l'avait néanmoins reçu, entouré de Lamine Khene, nouveau secrétaire d'État du GPRA., et de Çaout EI·Arab qui allait devenir son successeur.

Ben Tobbal, au sein du GPRA, avait gardé une telle autorité sur ses hommes restés à l'intérieur que ceux-ci malgré leur amertume et leurs difficultés ne pouvaient imaginer que leur ex-patron les laissât tomber.

 

Si le GPRA. ne les aidait pas plus c'est qu'il y avait des difficultés qui les dépassaient. Ali Kafi avait refusé de participer à la réunion. De même, à l'ouest, Boussoufle bras droit de Boumediene et patron du redoutable service de renseignement de l'ALN le MALG, gardait la haute main sur ses hommes. En outre, Boumediene, qui était l'homme fort de la wilaya V et de l'état-major général de l'ouest, donnait beaucoup plus d'importance à l'avenir qu'aux « querelles » d'Amirouche et n'entendait pas s'élever contre le GPRA sous la bannière d'Amirouche. · Lorsqu'il le jugera utile, un an plus tard, il sera chef d'état-major général et c'est lui seul, Houari Boumediene, qui décidera d'ouvrir les hostilités entre l'état-major et le GPRA.

 

Mais Amirouche, montagnard farouche et décidé, ne s'était pas embarrassé de ces deux « abstentions ». Les WIlayas I, III, IV, VI, représentant les deux tiers de l'Algérie combattante, décidèrent donc de taper du poing sur la table et d'adresser au GPRA une véritable mise en demeure : l'extérieur devait se soumettre à l'intérieur. Grisé par son succès, Amirouche voulut même adresser ce coup de semonce face à l'opinion publique. Ses compagnons le retinrent à temps sur cette pente dangereuse.

 

« Réglons notre affaire discrètement, dévoiler publiquement nos dissensions internes risquerait de povoquer une scission dont profiteraient les Français. »

C'était une véritable déclaration de guerre' contre le GPRA. Amirouche menait la tête d'un mouvement de révolte contre l'autorité centrale.

 

Amirouche ne sera pas général

 

Après la réunion inter-wilayas les ambitions d'Amirouche sont immenses. Il espère faire comprendre à « l'extérieur » que sa tutelle est nécessaire aux autres régions où personne n'est en état de faire face à l'extension de la « subversion ». Ce qu'il ambitionne, c'est un poste que nul n'a occupé : celui de général en chef commandant tout « l'intérieur » - titre qui n'a jamais existé et dont on comprend que « l'extérieur » s'opposât à ce qu'il existât jamais. Car celui qui l'aurait atteint aurait tenu « l'extérieur » à sa merci.

 

L'épuration commencée en Kabylie devait s'étendre non seulement à la totalité des maquis mais encore à tous les services extérieurs du FLN., à commencer par le GPRA, l'Armée des frontières l'État-Major Général (EMG) et le MALG. Amirouche se sentait l'homme de la situation. Son ambition était sans limite. L'ascétique ouvrier bijoutier de Tassafth Ouguemoun avait l'âme d'un « réformateur » puritain. Il brûlait de rendre sa pureté originelle à une révolution qui s'en écartait singulièrement. Mais le sort allait en décider autrement.

 

Dernier voyage du colonel Amirouche

Sa Mort

 

Amirouche veut se présenter à Tunis pour rencontrer le GPRA, le 6 mars 1959, se met en route, entraînant avec lui Si El Haouès, escortés par le commandant Amor Driss, accompagnés par 40 djounouds. Le parcours de son P.C. de l'Akfadou à Tunis est une expédition d'une durée non limitée et d'un danger permanent. Ils sortent de Kabylie et passent vers le sud, entre Djelfa et Boussada avant de rejoindre la frontière tunisienne. Mais malheureusement pour lui, son itinéraire fut communiqué au commandement français par un opérateur radio du MLAG aux ordres de Boussouf, qui désirait se débarrasser de ces deux « contestataires » trop encombrants!


Le colonel Ducasse du 6e RPlMA, informé de l'itinéraire et des horaires, décide de leur tendre une embuscade entre le djebel Tsameur et le djebel Djininibia, à 75 kilomètres au sud de Boussada. Les quarante hommes de l'escorte résistent avec courage aux attaques de nombreux soldats français qui les encerclent. Amirouche et ses hommes se cachent dans des grottes des falaises et il est impossible de s'approcher. Il faut faire venir la Légion le 2e escadron du 1er régiment de spahis, et un régiment d'infanterie en renfort.
L'
aviation et les canons des EBR Panhard pilonnent les grottes et, le 29 mars, les troupes qui s'avancent vers les centres de résistance ne découvrent que des cadavres dont ceux d'Arnirouche et de Si El Haouès.

 

La fouille des documents trouvés confirment que c'est bien Amirouche.
L'inventaire des musettes révèle l'état moral de la Wilaya. Mademba Sy et Bole du Chaumont trouvent même un million et demi en billets, somme qui trouvera place dans la caisse noire du régiment. Ducasse, ne veut croire que ce qu'il voit, avant de transmettre la nouvelle à Alger.

Un hélicoptère Sikorsky H-34 se pose en fin d'après-midi, pour ramasser les corps « importants » d'Amirouche et de Si El Haouès, ils seront présentés à la presse. Les survivants suivront. Ould Hammouda, cousin d'Amirouche, ramené de Tassaft, identifiera avec certitude le corps du colonel Amirouche, devant les journalistes.

L'examen des documents trouvés dans les musettes, révéla un certain état d'esprit régnant dans les Wilayas, fortement éprouvées par les opérations successives, sans avoir d'aide, ni soutien de la part des états-majors de l'ALN. Amirouche se permettait d'inciter le GPRA, à Tunis, à lancer des séries d'opérations en France, avec le soutien, la complicité, des « porteurs de valises 

».

Enfin dans une poche d'Amirouche, Bole du Chaumont avait trouvé liées ensemble comme des lettres d'amour les lettres remises par le colonel Godard et le capitaine Léger aux messagers qu'ils envoyaient sur les sentiers de la wilaya III à de prétendus correspondants. Ces lettres constituaient pour Amirouche la justification de ses purges . Pour ceux qui les compulsèrent, elles prouvèrent qu'il s'était lui-même enfermé dans le piège dans lequel il était tombé et que la « bleuite » affligerait désormais sans répit les wilayas.

 

À Tunis, le GPRA déclara qu'il n'avait pas confirmation de la mort d'Amirouche et de Si Haouès, ajoutant que « cela ferait deux morts glorieux de plus que compterait notre cause, mais n'entamerait pas la ferme résolution de nos combattants pour qui l'idéal reste le même. »

 

Dépouille du Colonel Amirouche

 

En 1965 les dépouilles d'Amirouche et de Si El Haouès ont été déterrées et cachées.
Cette ``synergie du mal`` comme décrite dans l'introduction du livre de
Said Sadi  , a été orchestrée par le colonel Boukharouba aussi connu sous le nom de Boumediene.


Boumediene fit déterrer clandestinement les restes du colonel Amirouche et

Si El Houes et les fit séquestrer dans un autre endroit.

Ils y restèrent 17 années dans les caves, c-à-d, jusqu'à la disparition de Boumediene et furent ensuite transférés au cimetière d'El-Alia

Le pays commémorera, 25 ans après, leur disparition, et donnera le nom d'Amirouche à un boulevard d'Alger.

 

 

 


Commentaires

 

1. SI BRAHAM  le 28-06-2013 à 13:33:48

Un bon article.

2. Djoudi  le 18-12-2014 à 20:39:41  (site)


J'ai écrit deux livres sur le colonel Amirouche: 1-Le colonel Amirouche, Entre Légende et Histoire,
2-Le colonel Amirouche, A la Croisée des chemins.

J'ai retrouvé des passages de mes livres sur cet article.

3. Djoudi  le 18-12-2014 à 20:39:44  (site)


J'ai écrit deux livres sur le colonel Amirouche: 1-Le colonel Amirouche, Entre Légende et Histoire,
2-Le colonel Amirouche, A la Croisée des chemins.

J'ai retrouvé des passages de mes livres sur cet article.

 
 
 
posté le 17-07-2011 à 05:29:38

Ces salauds d'Israéliens...

 

 

 

Le transfert quotidien vers la bande de Gaza

de marchandises telles que du lait en poudre, de la nourriture pour bébé,

du fer, du ciment, du verre et des médicaments

se poursuit grâce au travail de

 l'Unité de Coordination des Activités Gouvernementales dans les Territoires. 


Durant la dernière semaine du mois de juin, 

 l'Unité de Coordination des Activités Gouvernementales dans les Territoires (CAGT) 

a organisé le passage de 1100 camions vers la bande de Gaza,

ce qui représente au total 27 933 tonnes de marchandises.


La même semaine, 

on a observé une augmentation de 5% du nombre de personnes qui ont traversé

la frontière par le point de passage terrestre d'Erez selon le rapport de la CAGT.

Parmi elles, 361 patients qui habitent dans la bande de Gaza 

et qui étaient accompagnés de leurs proches ont pu se rendre en Israël

 pour recevoir des soins médicaux adaptés.


Des biens divers ont été transférés tels que du lait en poudre, de la nourriture

 pour bébé,du riz,  des légumes, de la viande et du poisson, des produits laitiers, 

du ciment, du fer, du verre, des appareils électriques, des médicaments,

 et de l'équipement médical.


L'Unité de Coordination des Activités Gouvernementales dans les Territoires oeuvre

à l'amélioration des conditions de vie des Palestiniens dans la bande de Gaza

 et en Judée-Samarie en favorisant les questions humanitaires,

les projets d'infrastructure, et les projets économiques.

Cette unité de l'Armée Israélienne participe à l'élaboration de la politique

du gouvernement

 israélien vis-à-vis de la population palestinienne et aide à sa mise en application,

en tenant compte d'une réalité en constante évolution. 

Source :http://www.idf.il/fr


            le monde occidental ignore que de telles livraisons vers Gaza existent.

La seule manière de les porter à sa connaissance 

 consiste à les suspendre durant quelque temps.

 Les medias occidentaux ne pourront qu'en révéler l'existence pour en dénoncer la suspension.
 Il en est de même pour l'électricité dont je persisite à dire que sa

 suspension conduira inévitablement  à une révolte de la population contre le Hamas responsable de cette situation.
Aujourd'hui , les gazaouis ont tous les avantages :

 Israel leur fournit tous les biens essentiels et même superflus et le monde n'a de compassion que pour eux.
Le blocus est contreproductif et l'a toujours été . de plus la frontière ouverte avec l'egypte permet au Hamas de se faire livrer toutes les armes qu'il souhaite.

 


 
 
posté le 15-07-2011 à 19:12:34

Nous n'exagérons pas!

Ne pas confondre homosexualité et homosexualisme  

 Massimo Viglione

Gay-pride-1

 

C'est le totalitarisme d'une idéologie qui ne veut pas seulement réclamer de prétendus "droits" inexistants, qui ne veut pas seulement réclamer ce qui jamais, en aucun temps ni aucun lieu n'a existé (en effet, il faut faire la distinction entre l'homosexualité, plus ou moins répandue partout et en tout temps, et l'homosexualisme, c'est-à-dire la requête de droits civils et sociaux simplement parce qu'on est homosexuel :

ce qui se passe seulement en nos jours devenus fous), mais qui veut imposer à la société son propre "style de vie" comme le meilleur, et qui sait, peut-être un jour, comme le seul. Nous exagérons ? C'est la réponse habituelle des apeurés soumis, qui nient la réalité devant leurs yeux afin d'éviter de l'affronter pour ce qu'elle est.

 

Si on avait dit - je ne dis pas à un homme du Moyen Age, ou à un homme du XVIe siècle, je ne dis pas à un homme du XIXe siècle - à nos grands-parents qu'un jour, nous aurions des défilés de la "gay pride" dans le monde entier, y compris à Rome, qu'on y aurait d'abord profané le Colisée, puis occupé le Circus Maximus, et que cela se passerait avec le consentement des politiciens, y compris ceux de "droite", y compris ceux qui se disent "catholiques", et dans le silence de la hiérarchie de l'Eglise, et peut-être avec le consentement de certains "prêtre de frontière"...pensez-vous qu'ils l'auraient cru ? Ou ils auraient dit : "Tu exagères,"..."cela n'arrivera jamais"..."Les homosexuels veulent juste faire leurs affaires, et rien d'autre, comme toujours". C'est certainement ce qu'auraient répondu nos grands-parents, et il était juste de penser ainsi à l'époque (càd encore dans les années soixante).

 

Mais aujourd'hui, comment peut-on continuer à fermer les yeux, sans culpabilité ni complicité ? Comment peut-on penser que le lobby homosexuel veut juste avoir plus de "droits" ? Mais quels "droits", au juste ? Ils voulaient le "mariage" ? Ils l'obtiennent presque partout. Ils voulaient adopter des enfants? Ils peuvent le faire presque partout. Vous croyez qu'ils s'arrêteront là ? Vous vous trompez. D'autres "Gay Pride" suivront, d'autres exigences, sans trêve. Et plus ils obtiendront, plus ils verront de politiques complices et disponibles, plus ils verront la hiérarchie de l'Eglise silencieuse et disposée, et nous, laïcs consternés mais inoffensif - au fil du temps, "habitués" à ce qui était impensable il y a 50 ans -, plus ils avanceront de revendications. Je le répète pour les sourds et les muets: plus ils avanceront des revendications.

 

Si le problème était seulement les homosexuels et leurs folles revendications, ce serait (et c'est déjà) une grande tragédie, le signe de la fin fangeuse de notre civilisation. Mais il y a pire, bien pire. Il y a des politiciens complices et sponsorisés, et pas seulement à gauche, mais d'abord à droite (ministres de combat, maires «catholique», laïques de toutes sortes). Il y a les mauvais maîtres de la tolérance à tout prix, répandus dans les écoles, les universités, la télévision, les journaux, les familles, partout. Il y a le silence de ceux qui sont plus préoccupés de donner des mosquées aux musulmans, de défendre les criminels et les anti-mondialistes, de dénoncer la dévaluation de la BOT (Banque centrale d'Italie, ndt) que de crier à tue-tête, jusqu'à la mort si nécessaire, "NON LICET" (ce n'est pas permis). Il y a le silence de ceux qui ne perdent jamais une occasion de s'indigner du Bunga Bunga de "certain", mais se taisent devant l'homosexualisation de toute la société, devant les enfants confiés à des couples de même sexe.

 

Massimo Viglione

http://www.rassegnastampa-totustuus.it/modules.php?name

=News&file=article&sid=4635

-

http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f220ceb91d.html

 


 
 
posté le 15-07-2011 à 18:54:00

Fourest persiste et signe.

 

Fourest enfonce Aubry-Brochen,

 Comme le souligne M.Garroté dans l'excellent site DRZZ,

les poursuites judiciaires entamées par Martine Aubry à l'encontre d'un certain nombre de sites Internet, nous donnent un avant-goût - amer - de ce que sera la France, si la gauche gagne les présidentielles et les législatives l'an prochain.

 

 Publié le 15 juillet 2011 par Roger Heurtebise - Article du nº 207

  « à propos des rumeurs sur le mari d'Aubry ».

 

Caroline Fourest dit : 

« Je n'ai jamais écrit que Jean-Louis Brochen était islamiste;

   Mais elle a bien écrit dans son livre que cette personne était 

« l'avocat des islamistes »,

 ce qu'elle confirme d'ailleurs dans sa mise au point.

 

Caroline Fourest confirme que Jean-Louis Brochen a été l'avocat de « Rencontre et dialogue », ce qui n'est pas pour elle « un choix anodin », et dit à propos de cette association que son « activité principale est de diffuser la propagande de prédicateurs sexistes, homophobes et négationnistes proches des Frères musulmans.

 

Avec la bénédiction de la section des Verts de Roubaix, où militent des adeptes de cette école de pensée. »

 

Caroline Fourest

 rappelle que Jean-Louis Brochen 

« a déjà été l'avocat d'islamistes dans d'autres dossiers : un jeune fanatique ayant participé au gang de Roubaix et une affaire de jeunes filles voilées menacées d'exclusion du Lycée Faidherbe de Lille en 1994. »

 

Caroline Fourest

 nous apprend qu'en septembre 2010, Jean-Louis Brochen lui a « envoyé une lettre pour demander de corriger le passage du livre le concernant. » Ce qu'elle a refusé de faire « puisque les faits rapportés sont malheureusement exacts ».

 

Caroline Fourest 

« reste persuadée que ces choix d'avocats n'auraient aucune signification s'ils ne soulignaient pas l'ambiguïté d'une certaine politique menée dans le Nord. »

 

Caroline Fourest

confirme les « créneaux de piscine non mixtes à la demande d'associations de femmes, juives et musulmanes ». Sauf que tous les reportages sur cette affaire n'ont jamais mis en évidence des demandes de femmes juives !

 

Caroline Fourest

 confirme les « rencontres » de Martine Aubry « avec Amar Lasfar, l'imam de Lille, qui représente l'UOIF dans le Nord ».

 

Caroline Fourest

confirme que Martine Aubry « a visiblement soutenu l'ouverture du Lycée Averroès, bien qu'il s'agisse d'un lycée intégriste tenu par l'UOIF et par Amar Lasfar. Ce dernier publie un communiqué dans lequel il écrit : « Sans le soutien de Madame Martine AUBRY Maire de LILLE, le lycée AVERROES n'aurait pas ouvert ses portes en septembre 2003. » »

 

Caroline Fourest

nous apprend en plus que « dans ce lycée, on reçoit Hassan Iquioussen, l'homme qui considère que « le Hamas, avec sa branche armée, fait du bon boulot ». (Cécilia Gabizon dans Le Figaro du 28 octobre 2004). Ou Hani Ramadan, qui explique que  l'islam est incompatible avec la démocratie telle que l'entendent les occidentaux et que la lapidation  est « une punition, mais aussi une forme de purification » (« La Charia incomprise », publié par Le Monde le 10 septembre 2002.) Ou encore Cheikh Mohamed Hassan, pour qui « la grippe porcine » ou « le sida » ne sont que les conséquences des choix des infidèles : «La communauté internationale n'est infectée que parce qu'elle s'est égarée de la voix d'Allah et du prophète. » »

 

Caroline Fourest

met en ligne une partie du reportage « Quand la république se voile la face » d'Arte et consacré aux « accommodements déraisonnables » des socialistes et des Verts du Nord.

 

Caroline Fourest

confirme, avec vidéo à l'appui, qu'« en mars 2008, durant les municipales, Martine Aubry inaugurait les rencontres annuelles des musulmans du Nord à la demande de la Ligue islamique du Nord, dont Amar Lasfar est le président. Devant un public intégriste, elle déclare : « Il y a la place en France pour un islam à la fois généreux tolérant et ouvert dont vous êtes les garants. (...) Je me réjouis  de votre présence à Lille ». »

 

Bravo ! Caroline Fourest !

Vous confirmez tout  sur Martine Aubry et sur son mari,

et vous nous apportez même des précisions supplémentaires, tout en reconnaissant que vous êtes la première à avoir désigné Jean-Louis Brochen comme « avocat des islamistes » dès 2005, ce qu'il vous a demandé de corriger et vous avez refusé de le faire.

 

 

 


 
 
posté le 15-07-2011 à 12:47:41

Des verts et des pas mûrs...

 Eva Joly  

                        

 

 A propos du 14 Juillet,

   la candidate Europe Ecologie Les Verts a radoté comme ceci : « J'ai rêvé que nous puissions remplacer ce défilé (militaire)   par un défilé citoyen où nous verrions les enfants des écoles, où nous verrions les étudiants, où nous verrions aussi les seniors défiler dans le bonheur d'être ensemble, de fêter les valeurs qui nous réunissent ». Si elle devenait présidente de la République française, elle serait - aussi -  cheffe des Armées...

 

Martine Aubry

 

 Iris Canderson sur http://resiliencetv.fr/informe :

 « Notre provider vient de nous notifier qu'une mise en demeure vient de lui être envoyé pour fermer l'article relatant les activités du mari de Martine Aubry. Ainsi le fait d'indiquer qu'il serait avocat d'islamistes est diffamatoire alors que le terme « islamiste » n'est pas une injure mais un fait.

De plus lorsque Aubry et consorts parlent de « blogs d'extrême droite » ils agissent de la même façon sachant pourtant que cette qualification peut être diffamante.

Il va de soi que nous n'allons rien enlever et que nous allons porter plainte à notre tour pour tentative d'intimidation, entrave à la liberté d'informer, le Conseil Constitutionnel sera bien sûr également saisi pour violation de l'article 4 sur la liberté d'opinion ».

Sarkozy pratique le contrôle.

Avec Aubry, ce sera - c'est déjà -  la censure...

 

Voitures incendiées et commissariat attaqué au mortier - Toujours à propos du 14 Juillet, la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 a été une nuit de violence dans le Val-de-Marne, comme chaque année autour du 14 juillet.

 Une cinquantaine de voitures ont été incendiées dans la nuit. Un chiffre en augmentation par rapport à l'an dernier et comparable à la nuit de la Saint-Sylvestre.

 Le commissariat de Choisy-le-Roi a été attaqué au mortier.

 Cela se déroule sous la présidence de Sarkozy. Imaginez la même chose sous Joly ou Aubry. Les délinquants passeraient du mortier au missile...

 

Michel Garroté

                                           Michel Garroté 2011 http://drzz.fr/ 

 

 


 
 
posté le 15-07-2011 à 06:21:49

Le queutard d'une gauche "vison-caviar libertine",l'intrigante crapuleuse et le procureur arriviste.

L'affaire Strauss-Kahn à la lumière des derniers rebondissements  

Guy Millière

Nafissatou-Diallo-menteuse.jpeg

 

Tout ou presque indique désormais que l'affaire Strauss Kahn se terminera, dans de brefs délais, par un non lieu pour le principal intéressé. Je ne dirai pas que je m'y attendais. Ce serait mentir. Je dirai, par contre, que, dès le commencement, j'ai douté.

 Fortement.

 

Que Dominique Strauss Kahn ait des mœurs légères est une chose, et j'en ai parlé dans un article précédent, qu'il se conduise comme un animal en rut est une autre chose, et j'ai toujours eu la plus extrême réticence à passer de la première chose à la seconde.  

 

J'ai douté aussi lorsque j'ai appris qu'il y avait en position de plaignante une jeune femme noire, musulmane pieuse et voilée : ces quatre adjectifs ne désignent en général pas, une fois mis ensemble, une personne animée d'un philosémitisme débordant.

De là à en déduire qu'une musulmane entendait faire tomber un Juif, il n'y avait qu'un pas que je n'ai pas franchi dans mes propos, mais qui a été présent dans mes pensées.  

 

Je n'ai pas voulu douter, par contre, du sérieux du travail du procureur de New York, et je n'ai pu imaginer qu'il s'avançait à ce point avec aussi peu d'éléments permettant de forger une certitude de culpabilité.

J'avais tort. J'ai voulu penser que la justice américaine incarnée par le procureur de New York était digne de confiance. J'avais tort aussi.

Je ne voulais pas non plus ajouter foi aux théories du complot et du traquenard qui circulaient. J'avais tort encore.  

 

Il s'avère donc que Nafissatou Diallo, derrière une façade de musulmane pratiquante et voilée se prostituait occasionnellement pour arrondir ses fins de mois au sein du Sofitel New York et n'était vraisemblablement pas la seule à procéder de la sorte.  

 

Il s'avère que la même Nafissatou Diallo possédait cinq comptes en banque ouverts dans quatre Etats différents des Etats-Unis (Georgie, Arizona, New Jersey, New York), approvisionnés les uns et les autres par de l'argent très suspect issu du trafic de drogue et des activités d'associations de « charité » musulmanes.

 Il s'avère qu'elle possédait aussi plusieurs téléphones portables vecteurs d'abonnements auprès de cinq compagnies différentes, et qu'elle avait épousé un revendeur de drogue emprisonné aujourd'hui en Arizona.  

 

Il s'avère que Nafissatou Diallo avait menti aux services d'immigration américains pour s'installer aux Etats-Unis et y jouir d'un statut de réfugiée lui donnant droit non seulement à la carte verte de résident permanent, mais à de multiples aides sociales payées par le contribuable.

Ses mensonges parlaient de viols, de sévices, de mutilations, de menaces, tous éléments qui semblent désormais faux ou fabriqués.  

 

Il s'avère que Nafissatou Diallo était séropositive, porteuse du virus HIV, qui ne s'attrape pas, à ma connaissance, en portant pudiquement le hijab.  

 

Il s'avère que Nafissatou Diallo avait menti aux services sociaux en se déclarant mère célibataire de deux enfants (l'un étant le sien, l'autre étant « prêté » occasionnellement, lors des visites d'inspecteurs, par une voisine). 

 

Si on ajoute qu'elle a menti à la police et à la justice depuis le déclenchement de l'affaire, et qu'elle a parlé au téléphone à son mari dealer au moment où la police était contactée, et le lendemain, pour tenir des propos disant que l'affaire était bien engagée, on peut penser que la coupe est pleine, et les autres détails perdent toute forme de crédibilité.   

 

Le procureur Cyrus Vance Jr. a agi de manière très précipitée, a pris pour des preuves accablantes ce qui n'était pas des preuves, n'a pas respecté la présomption d'innocence de Dominique Strauss Kahn (qui pourrait réclamer des dommages et intérêts conséquents à la justice américaine), et semble avoir été mû par le carrièrisme et l'idéologie davantage que par la justice à proprement parler.

Cyrus Vance Jr. a perdu dans deux dossiers importants depuis son élection et comptait, dit-on, sur l'affaire Strauss Kahn pour redorer son blason et redonner une impulsion positive à sa propre position. Il appartient à une gauche pour qui, entre un blanc riche et une noire musulmane réputée pauvre, le choix victimaire s'effectue très vite. Il a dévalué la justice américaine et lui a occasionné des dégâts considérables.  

 

Sans qu'on puisse un seul instant parler de complot, il y a, pour le moins, ce qui ressemble à un traquenard dont on ne connaîtra jamais vraisemblablement tous les ressorts.  

 

Il en restera sans doute un passage par la case prison pour une intrigante crapuleuse qui s'est rendue coupable de divers crimes et délits (encore que, sous Obama, une noire musulmane puisse faire l'objet de bien des mansuétudes), une carrière brisée pour Cyrus Vance Jr, qui aura bien du mal à se relever de ce très mauvais pas, même s'il est évident qu'il fera tout pour sauver  les apparences (le report de la prochaine audience au 1er août fait partie du plan de sauvetage, tout comme la proposition faite à Ben Brafman de réduire l'accusation à un seul motif, la séquestration), et même s'il pourra compter pour cela sur des appuis dans sa corporation.  

 

Il en restera une multitude d'interrogations à mener concernant la justice américaine (ce qui ne signifie aucunement que la justice française fonctionne mieux, je m'empresse de le souligner : les erreurs judiciaires en France se ramassent à la pelle).  

 

Il en restera une carrière doublement brisée pour Dominique Strauss Kahn lui-même, qui a dû quitter précipitamment le FMI et qui ne sera vraisemblablement pas candidat à l'élection présidentielle française. Et, malgré l'intrigante crapuleuse et le procureur Vance, cette carrière aura été doublement brisée par la légèreté de Dominique Strauss Kahn lui-même, car sans cette légèreté, rien ne se serait passé.

 

Il en restera une image plus ternie encore des grands médias américains et français, nombre de journalistes n'ayant, une fois de plus, pas fait leur travail d'informateur et ayant adopté pour la circonstance la posture de la presse à scandales.  

 

Il en restera l'ombre de multiples soupçons, et un paysage politique français durablement altéré. Le parti socialiste apparaît comme ayant été prêt à s'offrir à un candidat incarnant la gauche vison-caviar libertine et fort peu pratiquant des vertus prétendument inhérentes au discours socialiste : il se choisira un candidat plus à gauche que Strauss Kahn, porteurs d'idées désespérément stériles, et qui aura, malgré tout, toutes les chances de gagner au printemps prochain.

 

Nicolas Sarkozy pourra tenter d'endosser une forme de juste milieu et  tenter de faire oublier le vide cinglant de son bilan, espérant se faire réélire parce qu'il serait le moins pire. L'extrême gauche et l'extrême droite pourront faire campagne plus que jamais sur le thème de la corruption et de l'amoralisme des élites régnantes.

 

J'ai beau chercher, je ne vois, dans cette lamentable histoire, que des perdants.

 

Je n'ai rien dit ici des dirigeants communautaires noirs qui s'évertuent à récupérer l'affaire : ces gens n'ont aucune décence et ne cessent de souffler sur les braises de la haine raciale et du ressentiment anti-blanc dès qu'ils en ont l'occasion.

Nul doute que des imams islamistes seront eux-mêmes de la partie, mais aussi le CAIR, branche américaine des Frères musulmans. Je sens déjà monter, dans les bas quartiers de New York, les puanteurs de la haine raciale anti-blanche et du ressentiment islamique. L'antisémitisme jouera son rôle.

 

Je n'ai rien dit ici du dossier Tristane Banon. C'est, à mes yeux, la cerise avariée sur le gâteau indigeste. Si plainte avait dû être déposée, et s'il y avait matière à déposer plainte, la plainte aurait dû être déposée bien avant. La déposer maintenant ressemble a de l'opportunisme et à de l'acharnement, dont on peut légitimement se demander s'ils ne sont pas téléguidés. Mademoiselle Banon, fille du conseiller financier de Yasser Arafat et d'une femme qui soutient Martine Brochen Aubry dans les primaires socialistes, aura son moment de notoriété sur papier glacé. Elle ne se grandira pas. Elle contribuera à en ajouter à une atmosphère déjà fangeuse. Ce qu'elle pourra éventuellement gagner dans le court terme sera perdu dans le moyen terme, voire même sans doute avant le moyen terme, dès que le papier glacé sera déchiré et servira à emballer les salades du lendemain. Quand la notoriété d'un moment dégage un fumet nauséabond, la notoriété s'en va très vite, le fumet reste. Le fumet, certes, peut faire vendre des livres.  

 

J'ai beau chercher, je ne vois que des perdants, oui.  

© Guy Millière pour drzz.fr

 

PS : Une note d'humour dans ce contexte cloacal. Nafissatou Diallo est censée, selon Kenneth Johnson, son avocat, parler presque uniquement en dialecte peul. Ce qui expliquerait qu'on l'ait mal comprise. C'est en peul qu'elle est censée avoir parlé au téléphone avec son mari dealer. C'est en peul qu'elle a ouvert ses comptes en banque et contracté ses abonnements téléphoniques. C'est aussi en peul qu'elle parlait à ses clients et employeurs, ainsi qu'aux services sociaux. Le dialecte peul peut mener loin, si on le maîtrise bien...

Par Guy Millière

 

 

 

 


 
 
posté le 14-07-2011 à 17:31:29

De gaulle...un individu peu fréquentable ! 1 ère partie.

 

                       Un piètre militaire...

                             Le Capitaine de Gaulle pendant la guerre 14-18


         La légende.

 "Il se distingue pendant la Première Guerre mondiale au cours de laquelle, fait prisonnier à Douaumont, il effectue cinq tentatives d'évasion."

(Grand Larousse universel, ed. 1991)


 "Il fut de ces hommes acharnés, indomptables, qui marchèrent au feu avec, à la bouche, l'inoubliable ordre du jour de Pétain : "Ils ne passeront pas".
      Les hommes du 33ème s'étaient battus comme des démons tandis que le flot ennemi submergeait les défenses de Douaumont. Le capitaine de Gaulle tirait à bout portant.

Les Allemands s'engouffraient de tous côtés et réduisaient sa compagnie. C'était la fin.

 Un Allemand lui transperça la cuisse et l'abattit sur le sol commme un arbre immense frappé par la tempête.

 A ce moment même un obus éclata à quelques mètres seulement, arrosant le champ de bataille d'éclats acérés et brûlants. L'un d'eux pénétra dans le crâne du géant abattu, étendu inanimé dans la boue et le sang.

Charles de Gaulle demeura pendant des heures sur le champ de bataille, à demi enseveli, inconscient, à moitié mort. Quand il revint à lui, on le transportait dans l'obscurité. Il sut tout de suite qu'il ne reverrait pas les Français de sitôt car les voix qu'il percevait à travers la souffrance qui battait dans sa tête parlaient allemand".

(David Shoenbrun, Les trois vies de Charles de Gaulle, Julliard 1965)

 

    Citation à l'ordre l'armée, alors qu'on le croyait mort en combattant

(Cette citation, avec l'attribution de la légion d'honneur à titre posthume, ne fut jamais modifiée ni annulée) :
" Le capitaine de Gaulle, commandant de compagnie, réputé pour sa haute valeur intellectuelle et morale, alors que son bataillon, subissant un effroyable bombardement, était décimé et que les ennemis atteignaient la compagnie de tous côtés, a enlevé ses hommes dans un assaut furieux et un corps-à-corps farouche, seule solution qu'il jugeait compatible avec son sentiment de l'honneur militaire. Est tombé dans la mêlée.

Officier hors pair à tous égards"      

  Signé : Pétain

 

 

Le protégé de Pétain

"Chargé, en 1921, d'enseigner l'histoire militaire à Saint Cyr, il entre en 1925 au cabinet de Pétain, alors vice président du Conseil supérieur de la guerre.

(Grand Larousse universel, ed. 1991)

 

 

 

 "Au bout d'une demi-heure, j'ai vu apparaître à la sortie du trou un vague tissu blanc, probablement une chemise accrochée à une baïonnette au bout d'un fusil. J'ai donc ordonné le cessez-le-feu. Quelques hommes sont sortis et c'est alors que j'ai remarqué l'officier qui les commandait tellement il était grand. Je me suis avancé vers lui. Il paraissait un peu hagard et chancelant ."
(Témoignage du lieutenant Casimir Allbrecht, 19ème régiment de la Reichswehr, publié dans "Le Nouveau Candide", 21 avril 1966)

     "Nous avons été encerclés et sous les ordres de notre capitaine de Gaulle nous avons été obligés de nous rendre"
( Témoignage de Samson Delpech, publié dans "Sud-Ouest Dimanche" le 16 avril 1961 et le 29 mars 1966)

       "Un de mes amis qui fut prisonnier avec de Gaulle m'a rapporté ceci. Les Boches qui faisaient l'honneur aux officiers français qui s'étaient courageusement battus de leur rendre leur sabre pour certaines manifestations comme la messe par exemple, ne le rendirent pas au capitaine de Gaulle. Celui-ci, croyant en un oubli, le leur réclama sèchement.

Les Allemands s'étonnèrent de sa demande mais, à tout hasard, refirent une enquête sur les conditions de sa reddition. Renseignements pris, les Allemands ne rendirent pas son sabre au capitaine de Gaulle"


(Témoignage du général Perré le 11 juin 1966. repris par la presse internationale.

 En dépit des appels des gaullistes militants,  l'Elysée n'opposa aucun démenti.)

De Gaulle prisonnier en Allemagne
De Gaulle prisonnier en Allemagne

 

 Depuis son retour de captivité en 1919, de Gaulle fréquente assidûment Philippe Pétain, devenu maréchal. Celui-ci intervient en faveur de de Gaulle et le fait rentrer dans son cabinet.

Le premier fils de de Gaulle sera prénommé Philippe, pour honorer au maréchal.

       De Gaulle sera nommé commandant du 19ème bataillon de chasseurs à Trèves.

 Pétain intervient pour couvrir de Gaulle, compte-tenu des troubles occasionnées dans la ville et de la mortalité anormale dans son bataillon au cours de l'hiver 1928-1929, dues aux conditions d'hygiène et aux marches forcées.

 

  Dédicaces disparues dans les éditions postérieures à 1940 :

 

"Le fil de l'épée" (1932)

 

Le visionnaire de la guerre de mouvement

Il [de Gaulle] écrit plusieurs articles de réflexion politique et de stratégie militaire, d'où naitront Le fil de l'épée (1932), Vers l'armée de métier (1934), La France et son armée (1938), livres dans lesquels il développe sa conception d'une armée de spécialistes et préconise l'utilisation  des blindés, trop négligée par les responsables français."

(Grand Larousse universel, ed. 1991)

 

 

 En 1925, De Gaulle est un admirateur de la ligne Maginot et un défenseur de la stratégie statique de fortification :
      "La fortification de son territoire est pour la France une nécessité permanente...
      L'encouragement de l'esprit de résistance d'un peuple par l'existence de fortifications permanentes, la cristallisation, l'exaltation de ses énergies par la défense des places sont des faits que les politiques comme les militaires ont le devoir de reconnaître dans le passé et de préparer dans l'avenir".
(C. de Gaulle. Revue militaire française. 1er décembre 1925)

  

 

Un précurseur sur le rôle des chars

De Gaulle est considéré comme le premier théoricien français des engins de guerre motorisés dans son ouvrage "Vers l'armée de métier" (1934).

Un précurseur sur le rôle de l'aviation

"... Mais surtout en frappant elle-même à vue directe et profondément, l'aviation devient par excellence l'arme dont les effets foudroyants se combient le mieux avec les vertus de rupture et d'exploitation de grandes unités mécaniques"

(Charles de Gaulle, Vers l'armée de métier)


 

 L''utilisation des chars et la technique de percée motorisée  a été décrite dès 1920 Par le général Estienne (Conférence du 15 février 1920 au Conservatoire des Arts et métiers, et répétée plusieurs fois).
      Ces conceptions sont en oeuvre en Allemagne dans les années 1932-1933, et vulgarisées dans plusieurs études, traduites dans la Revue Militaire Française.

 

 

Un précurseur sur le rôle de l'aviation

"... Mais surtout en frappant elle-même à vue directe et profondément, l'aviation devient par excellence l'arme dont les effets foudroyants se combient le mieux avec les vertus de rupture et d'exploitation de grandes unités mécaniques"

(Charles de Gaulle, Vers l'armée de métier)

 

 

Cette phrase ne figure pas dans l'édition originale (Edition Berger-Levrault) en 1934.
Elle a été rajoutée pour la première fois dans l'édition de 1944 (Editions Jules Carbonel, Alger), après avoir constaté l'action des Stukas allemands en 1940.

 

 


La bataille de Montcornet

           "Nommé colonel en 1937, il commande un régiment de chars. Il s'illustre en mai 1940 (à Montcornet et devant Abbeville) dans la bataille de France à la tête d'une division cuirassée ; il est alors promu général de brigade à titre temporaire.
(Grand Larousse universel, ed. 1991)

 

 

   "Charles de Gaulle ne semble pas avoir montré sur le terrain les qualités de coup d'oeil et d'invention qui font qu'avec 1000 hommes ou 300 000 on est Masséna ou Rommel."
(Jean Lacouture. De Gaulle, Ed Le Seuil)

  "Le 15 mai, le corps blindé Guderian et le 1éème Panzer Corps atteignirent simultanément Montcornet à 70 km de Sedan. On pouvait supposer que le haut commandement allemand ne se contenterait pas d'une simple tête de pont sur la Meuse. Pourtant, le général Von Kleist donna l'ordre de s'arrêter".
(Gert Bucheit, Hitler der feldherr, traduit en français sous le titre "Hitler, chef de guerre", Ed Arthaud)

  "Ces contre-attaques ne nous mirent pas du tout en danger ... Guderian en fit son affaire sans me déranger et je n'en entendis parler que le lendemain."
(Interview du maréchal Von Kleist, dans l'ouvrage de Liddell Hart, Les généraux allemands parlent, ed Stock)

 

Le départ pour Londres

        "Il entre au gouvernement en juin comme sous-secrétaire d'Etat à la Défense nationale et à la guerre dans le cabinet Reynaud. Refusant l'armistice, il lance à la radio de Londres le célèbre appel du 18 juin invitant les Français à poursuivre le combat."
(Grand Larousse universel, ed. 1991)

Le cabinet Reynaud
Le cabinet Reynaud en 1940

 

 

Le 5 juin, Le président du Conseil Paul Reynaud a nommé de Gaulle sous-secrétaire d'Etat à la guerre. Reynaud projette de créer un gouvernement français en exil et charge de Gaulle de préparer le terrain à Londres.

        "De Gaulle débarque pour la première fois à Londres le 9 juin. Mission officielle : obtenir de Winston Churchill que celui-ci envoie en France les escadrilles de la R.A.F. basées en Angleterre qui font cruellement défaut sur le front. Churchill refuse. A sa grande surprise, il voit de Gaulle faire demi tour au moment de quitter son bureau, se retourner, et venir lui murmurer : "Je crois que vous avez tout à fait raison".
(Winston Churchill. Mémoires de guerre. Ed Plon)

         De retour d'une mission à Londres le 16 juin, de Gaulle apprend que Paul Reynaud a démissionné. Il est remplacé par le Maréchal Pétain. De Gaulle n'est pas dans le nouveau gouvernement ; il n'est plus sous-secrétaire d'Etat. 
"C'est bon, ils ne veulent pas de moi ! Dans ces conditions, je fous le camp à Londres"
(Cité par Alfred Fabre Luce, Le plus illustre des Français, Ed. Julliard).

          Le 17 juin, il repart à Londres avec Edward Louis Spears, envoyé spécial de Churchill, qui n'a pas réussi à convaincre Reynaud et Mandel de rejoindre Londres.

 

Du militaire au politique

Lettre de De Gaulle à Reynaud du 24 septembre 1938 :
"Mon régiment est prêt. Quant à moi, je vois venir sans nulle surprise les plus grands évènements de l'histoire de France, et je suis assuré que vous êtes marqué pour y jouer un rôle prépondérant. Laissez-moi vous dire qu'en tout cas je serai -à moins d'être mort- résolu à vous servir s'il vous plaît."
(Cité par Henri Amouroux, La grande Histoire des Français sous l'occupation, Ed. R. Laffont, 1997)

Le 17 juin 1940, à Londres, au député Henri de Kerillis :
"Je constituerai un Comité pour élargir l'idée de résistance, pour étendre l'idée de guerre à outrance à toute la population française... Mais jamais la politique qui divise ne sera admise à pénétrer là où la haine de l'Allemand doit unir. Je maudis la politique pour que continue la bataille."
(Henri de Kerillis, De Gaulle dictateur, Ed La défense républicaine, 1945)

"La force militaire que je constitue ne fait pas de politique. J'ai sous mes ordres des soldats, des techniciens, des industriels de la défense. Ils n'ont qu'une idée : la libération de la France".
(Charles de Gaulle. message du 24 juillet au Comité National Français d'Egypte)

Lettre du 7 août 1940 à Winston Churchill, où il reconnait que la restauration de l'indépendance française sera dûe aux armées alliées et assurée par le gouvernement britannique :

"Cher Premier Ministre,
Vous avez bien voulu m'envoyer un mémorandum relatif à l'organisation, à l'utilisation et aux conditions de service de la force de volontaires français, actuellement en cours de constitution sous mon commandement.
En ma qualité, reconnue par le Gouvernement de Sa Majesté dans le Royaume Uni, de chef de tous les Français libres où qu'ils soient, qui se rallient à moi pour défendre la cause alliée, je viens vous faire connaître que j'accepte ce memorandum.

Il sera considéré comme constituant un accord conclu entre nous, relativement à ces questions.
Je suis heureux qu'à cette occasion le Gouvernement britannique ait tenu à affirmer qu'il est résolu, lorsque les armées alliées auront remporté la victoire, à assurer la restauration intégrale de l'indépendance et de la grandeur de la France.


De mon côté, je vous confirme que la force française en voie de constitution est destinée à participer aux opérations contre les ennemis communs (Allemagne, Italie ou tout autre puissance étrangère hostile) y compris la défense des territoires français et des territoires sous mandat français, et la défense des territoires britanniques, des leurs communications, et des territoires sous mandat britannique.
Veuillez agréer, cher Premier Ministre, l'assurance de ma haute considération.
Signé : C. de Gaulle

                    En Juin 40, Reynaud renonce à l'aventure d'un gouvernement en exil à Londres. Mandel préfère tenter sa chance au Maroc (il a été ministre des Colonies).
                 De Gaulle est donc abandonné à lui-même.

 Parmi les politiques qui l'ont rejoint, plusieurs ont un passé d'extrême droite comme Philippe Barrès, fils de Maurice Barrès, ainsi que  le capitaine Dewavrin ("Passy"), le capitaine Fourcaud ("Barbès"), Maurice Duclos ("Saint-Jacques"), tous fortement soupçonnés d'être des "cagoulards".
(cf JC Valla, L'extrême-droite dans la Résistance, Les cahiers libres d'histoire, 2000 ; et H. de Kerillis, De Gaulle Dictateur, La défense républicaine, 1945)

                      Ils le persuadent que la IIIème république est morte et que ce n'est pas elle qu'il faut restaurer. Il est donc nécessaire que lui, général de Gaulle, assume un rôle plus large que celui d'un militaire ; celui de créateur d'un nouveau régime, plus autoritaire, dégagé de l'influence des partis et des parlementaires.

          En septembre 1940, de Gaulle demande aux Anglais de le reconnaître comme pouvoir politique en lieu et place du gouvernement de Vichy ; Ni Churchill, ni Eden, Minsitre des Affaires Etrangères, ne répondent à cette demande.

            Le 27 octobre 1940, le général lance à Brazzaville un manifeste où il se considère comme détenant le pouvoir politique légitime :
"Il n'existe plus de gouvernement français. L'organisme sis à Vichy et qui prétend porter ce nom est inconstitutionnel et soumis à l'envahisseur... Il faut donc qu'un pouvoir nouveau assume la charge de diriger l'effort français dans la guerre.... J'exercerai mes pouvoirs au nom de la France et uniquement pour la défendre".

            A partir de là, de Gaulle sera anti-vichyste par stratégie de conquête du pouvoir, bien avant d'être anti-allemand ou anti-nazi.

 

Source: contreculture.org

 

 

 

Ce pays est fini.

Je n'ai jamais mesuré à aucun moment comme aujourd'hui, à quel point il n'y avait rien à tirer des hommes de ce pays.

En 1940, j'avais confiance... Je me rends compte maintenant que ma confiance d'alors venait de ce que n'avais pas éprouvé la profondeur de notre pourrissement.

Il n'est pas assez de dire qu'ils sont pourris ;

cette pourriture ils la recherchent, il n'y a que le faisandé qui les attire.

Général Charles de Gaulle, 12 janvier 1949 (Cité par D. Venner, De Gaulle, la grandeur et le néant, Ed du Rocher 2004. p 21)

 

 



 

 


 
 
posté le 14-07-2011 à 16:16:14

On aurait pu faire plus sobre...

 

ARGENT JETE PAR LES FENETRES.

14 juillet fête nationale française.

Outre l'énorme fossé entre  le faste de cette fête et la situation économique et sociale de la France.,Sarko en pleine campagne présidentielle et en présence d'une clique UMPS  « se la joue patriote  alors que  le pays est en voie d'islamisation avec des relents de  revanche et de vengeance ».

 

 

Dans le même temps le 70 ème soldat tombe sous les balles des terroristes dans un pays condamné  devenir pour toujours le fief des talibans.

La France où 97% des sondés au FN pensent qu'il y a trop d'immigrés et 67% à l'UMP, commence à réaliser la profondeur du fossé  existant entre militants UMP et ses dirigeants.

 

 

Delanoë pour ne pas rester en rade de l'orientalisation du pays se propose d'organiser le 24 août une « Grande soirée municipale à l'occasion du ramadan » Soirée certainement laïque qui pourra être suivie par YOM KIPPOUR, et la naissance du Christ.

 

 

Pour rester dans les bonnes nouvelles qui coûte la peau des fesses aux français avachis et résignés, l'association SOS  vient de recevoir 230'000 euros de subventions.

 

Cette association le seul fond de commerce est, soi-disant, la lutte (à géométrie variable) contre le racisme, est l'une des dizaines d'associations de ce genre où les comptes pas toujours très limpides devraient attirer l'attention des électeurs de 2011.

 


 
 
posté le 14-07-2011 à 08:43:06

De gaulle...un individu peu fréquentable ! 2 ème partie.

 

 

Ce pays est fini.

Je n'ai jamais mesuré à aucun moment comme aujourd'hui, à quel point il n'y avait rien à tirer des hommes de ce pays.

En 1940, j'avais confiance...

Je me rends compte maintenant que ma confiance d'alors venait de ce que n'avais pas éprouvé la profondeur de notre pourrissement.

Il n'est pas assez de dire qu'ils sont pourris ; cette pourriture ils la recherchent, il n'y a que le faisandé qui les attire.

Général Charles de Gaulle, 12 janvier 1949 (Cité par D. Venner, De Gaulle, la grandeur et le néant, Ed du Rocher 2004. p 21)

 

 

L'intégration :

 un danger pour les Blancs, une arnaque pour les autres

 

           

 La façon dont de Gaulle a mené la décolonisation ne peut se comprendre sans que soit éclaircie son idée de la France :

Une nation blanche et chrétienne d'abord, une et indivisible ensuite.

 

" Nous avons une responsabilité, celle de jouer le rôle de la France ; ce rôle, dans mon esprit comme dans le vôtre, se confond avec un rôle chrétien. Notre pays ne serait pas ce qu'il est, c'est presque banal de le dire, s'il n'était pas d'abord un pays catholique."

(Discours de Rome, le 27 juin 1959)

 

 

" Pour moi, l'histoire de France commence avec Clovis, choisi comme roi de France par la tribu des Francs, qui donnèrent leur nom à la France.

Avant Clovis, nous avons la préhistoire gallo-romaine et gauloise.

 L'élément décisif pour moi, c'est que Clovis fut le premier roi à être baptisé chrétien. Mon pays est un pays chrétien et je commence à compter l'histoire de France à partir de l'accession d'un roi chrétien qui porte le nom des Francs. "

 (David Schoenbrun, Les trois vies de Charles de Gaulle, Ed Julliard,1965)

 

 

 

             Cette "certaine idée de la France" explique à la fois son opposition à la Constitution de 1946, qui liquidait l'empire et le transformait en Union française.

 La Constitution de 1946 faisait de millions d'hommes de couleur des citoyens français; donc des électeurs et, pire, des futurs élus.


             Ses manoeuvres lors de la guerre d'Algérie procèdent d'une même démarche.

 

 Dix millions d'arabes pouvaient obtenir, à égalité des blancs, le droit de vote et l'éligibilité.

 Selon J.R. Tournoux, il pense que "sous les effets de la démographie galopante des Musulmans et des conséquences de l'intégration, La France ne serait plus la France"

Il préférera sacrifier l'indivisibilité et abandonner l'Algérie, tout en évitant que trop de Harkis ne se réfugient en métropole, quitte à les livrer à la vengeance du FLN.


            Sa politique envers le communisme n'a rien d'idéologique, ni de définitif. Il en donne les raisons en privé :

" Les communistes russes sont des traîtres à la race blanche. Un jour, ils redeviendront solidaires de l'Europe. "

(cité par J.R. Tournoux, La Tragédie du Général, Ed. Plon, p 365).

 

 

Florilège du racisme gaulliste

 

Juin 44 : De Gaulle n'est rejoint que par une troupe hétéroclite. "Encore un juif...", soupire t'il, quand on lui annonce Georges Boris, ancien secrétaire de Loewenstein et ex-directeur de la "Lumière", conseiller financier .

( Cité par J.R. Tournoux Pétain et de Gaulle. Ed Plon 1964)

 


"Je n'aime pas les youpins".

(Cité par André Le Troquer, La parole à Le Troquer, Ed la Table Ronde 1962)

 

 

 


Au député UNR Dronne, ancien héros de la libération de Paris :
 

" Voulez-vous être bougnoulisés ? Voyons, Dronne !

Donneriez-vous votre fille à marier à un bougnoule ? "

(Cité dans Le petit de Gaulle illustré. Ed Le Crapouillot, 1967, et par J.R. Tournoux,

 La tragédie du Général, Ed. Plon 1967)

 


A Léon Delbecque :

" Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés à des Musulmans ?  Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? "

 Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Ed. Plon 1967


Au général Koenig :

 

" Evidemment, lorsque la monarchie ou l'empire réunissait à la France l'Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens...

Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout juste un ancien sergent de tirailleurs, parlant mal le français ".

(Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Ed. Plon 1967)

 


Au soir des accords d'Evian, en mars 1962 :


" Alors, Joxe, vous avez bientôt fini avec vos bicots ? "

(Cité dans Le petit de Gaulle illustré . Ed Le Crapouillot, 1967-68)


"Tous ces bicots se chamaillent. Ils aiment les fusils, ils aiment s'en servir. Ils ont la manie de la  fantasia"

(Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Ed. Plon 1967)

 

" Les Arabes, ce n'est rien. Jamais on n'a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines...

Ce sont d'habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiants. "

(Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Ed. Plon 1967)

 

 

" Qu'est-ce que les Arabes ?

 Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n'ont jamais réussi à constituer un Etat...

Avez-vous vu une digue construite par les Arabes ? Nulle part.

Cela n'existe pas.

Les Arabes disent qu'ils ont inventé l'algèbre et construit d'énormes mosquées.

Mais ce fut entièrement l'oeuvre des esclaves chrétiens qu'ils avaient capturés...

Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes...

Ils ne peuvent rien faire seuls."

( Cité par Cyrus Sulzberger, Les derniers des géants, Ed. Albin Michel, 1972 )

 


" Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leur djellabas, vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très intelligents. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se séparent de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber 10 millions de musulmans qui demain seront 20 millions, et après demain 40 ? " 

(Cité par A. Peyrefitte. C'était de Gaulle. Ed Gallimard, 2000. Propos tenus le 5 mars 1959)

 


 " Ils vous intéressent, vous, ces Mohammed et ces Fernandez ? "

( Cité par Jacques Isorni, Lui qui les juge, Ed. Flammarion 1961)

 

 

" Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture greque et latine, et de religion chrétienne.

Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille.

Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. 

 Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de Musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ?

Si nous faisons l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! "

 

           (Cité par B. Stora, Le transfert d'une mémoire, Ed. La découverte, 1999)

 

 

 

 Certains même redoutaient que les juifs, jusqu'alors dispersés, mais- qui étaient restés ce qu'ils avaient été de tout temps, c'est à dire un peuple d'élite, sûr de lui-même et dominateur, n'en viennent, une fois rassemblés dans le site de leur ancienne grandeur, à changer en ambition ardente et conquérante les souhaits très émouvants qu'ils formaient depuis dix-neuf siècles."

( Conférence de presse du 27 novembre 1967 )

 

 

" Vous savez, cela suffit comme cela avec vos nègres.

Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu'eux : il y a des nègres à l'Élysée tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner.

Je suis entouré de nègres, ici. [...] Et puis tout cela n'a aucune espèce d'intérêt !

Foutez-moi la paix avec vos nègres ;

je ne veux plus en voir d'ici deux mois, vous entendez ? Plus une audience avant deux mois.

Ce n'est pas tellement en raison du temps que cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l'extérieur : on ne voit que des nègres, tous les jours, à l'Élysée. Et puis je vous assure que c'est sans intérêt. "

(Entretiens avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968. cité dans ses Mémoires, tome 2.
 Le Général en mai. Journal de l'Élysée. 1968-1969,
éd. Fayard/Jeune Afrique)

 

 

De Gaulle et la démocratie :

une certaine distance

 

" Le régime fasciste permet aux pouvoirs publics de tirer des ressources existantes, sans ressource ni ménagement, tout ce qu'elles peuvent donner.

 L'impérieuse subordination des intérêts particuliers à ceux de l'Etat, la discipline exigée et obtenue de tous, la coordination personnelle du Duce, enfin cette sorte d'exaltation latente entretenue dans le peuple par le fascisme pour tout ce qui concerne la Patrie, favorisent à l'extrême les mesures de Défense Nationale."

(Charles de Gaulle, La mobilisation économique à l'étranger,

Revue militaire française, 1er janvier 1934)


 

"Privée d'un maître, la masse subit les effets de sa turbulence"

(Charles de Gaulle,  Le fil de l'épée)


"En M. Molotov, qui était et ne voulait être qu'un rouage parfaitement agencé d'une implacable mécanique, je crois avoir reconnu une complète réussite du système totalitaire. J'en ai salué la grandeur. "

(Cité par David Shoenbrun, Les trois vies de Charles de Gaulle, Julliard 1965, p 67)

 


" Ce qu'il faudrait à ce pays, c'est un roi "

(Déclaration à Robert Prigent, ministre de la Population, cité par Georgette Elgey, La République des illusions, Ed. Fayard)


" On a le droit d'être Hitler "

(Cité par Raymond Tournoux, La tragédie du Général, Ed. Plon 1967)

 

" Maurras a eu tellement raison qu'il en est devenu fou "

(cité par J. Dumaine, Quay d'Orsay, Ed. Julliard)

 

" La dictature momentanée que j'ai exercée au cours de la tempête et que je ne manquerais pas de prolonger ou de ressaisir si la patrie était en danger "

(Charles de Gaulle. Mémoires. Tome III )


" Il doit être évidemment entendu que l'autorité indivisible de l'Etat est confiée toute entière au président par le peuple qui l'a élu, qu'il n'en existe aucune autre, ni ministérielle, ni civile, ni militaire, ni judiciaire, qui ne soit conférée et maintenue par lui. "

(Ouest France, 23 décembre 1960)

 

" - Ce que j'ai essayé de faire, c'est d'opérer la synthèse entre la monarchie et la république.
- Une république monarchique ? fis-je
- Si vous voulez. Disons plutôt une monarchie républicaine. "

(Alain Peyrefitte. Le mal français. Ed Plon, 1976)

 

 

A propos du Général Franco, en 1970 :
" L'homme qui assure, au plan le plus illustre, l'unité, le progrès et la grandeur de l'Espagne. "

( Cité par Nicolas Tanzer, La face cachée du gaullisme, Ed. Hachette, 1998 )

 

 

 

 


Commentaires

 

1. un ancien du contingeant  le 16-07-2011 à 03:36:15  (site)

L image légendaire inventée, falsifiée et avantageusement divulguée du sauveur de la France, au fil du temps commence sérieusement à se ternir
De plus en plus, médias, journalistes et réalisateurs, commencent à soulever le voile du mensonge et font apparaître celui qu’on appelle de moins en moins l’homme du 18 juin, comme un fabulateur, un usurpateur et un opportuniste, spécialiste en coups tordus..
Machiavélique, démoniaque on le retrouve dans l’accident de Leclerc, dans l’épuration massive des collabos, dans l’affaire de Mers el Kébir, l’assassinat de Darlan, derrière l’affaire du Bazooka. Cet homme qui ne tenait ni ses engagements ni ses promesses n’avait qu’une seule ambition : Le pouvoir.
En 58, par une habile manœuvre dont il est coutumier, le pouvoir lui est remis par René Coty, trop content de passer la main. Hélas celui qui était venu s’emparer d’un pouvoir que les pieds noirs et l’armée lui avaient offert les trahira en se débarrassant des trois départements d’Algérie dans les pires conditions, amenant inévitablement une islamisation que ce grand visionnaire n’avait pas prévu.

 
 
 
posté le 14-07-2011 à 06:24:05

Thuriféraire: Celui qui porte l'encensoir dans une cérémonie du culte. {sens figuré} Celui qui flatte.

 

 "Un Jour, même les secrets les mieux gardés se dévoilent,
La vérité creuse son chemin avec une force inéluctable
 
Il y aura toujours des gens pour Parler."
  

 L'histoire n'est pas une religion.

L'historien n'accepte aucun dogme,

 ne respecte aucun interdit,

ne connaît pas de tabous.

Il peut être dérangeant.

 

 L'histoire n'est pas la morale.

 L'historien n'a pas pour rôle d'exalter ou de condamner, il explique.

L'histoire n'est pas l'esclave de l'actualité.

 

L'historien ne plaque pas sur le passé des schémas idéologiques contemporains et n'introduit pas dans les événements d'autrefois la sensibilité d'aujourd'hui. (...)
L'histoire n'est pas la mémoire.

 

L'historien, dans une démarche scientifique, recueille les souvenirs des hommes, les compare entre eux, les confronte aux documents, aux objets, aux traces, et établit les faits. L'histoire tient compte de la mémoire, elle ne s'y réduit pas.

 

 L'histoire n'est pas un objet juridique. (...)
Dans un Etat libre, il n'appartient ni au Parlement, ni à l'autorité judiciaire de définir la vérité historique.

 La politique de l'Etat, même animée des meilleures intentions, n'est pas la politique de l'histoire.

 

 


 
 
posté le 13-07-2011 à 07:35:42

N'oublie jamais...L'Algérie.

ANNE CAZAL Fronton, le 18 février 2011

 
à 
 MONSIEUR PASCAL MATRAJI 
 Chef du Bureau Histoire et Mémoire
 Direction des affaires culturelles de Paris 
 16 rue des Blancs Manteaux
 75004 PARIS 
 
LETTRE OUVERTE RECOMMANDÉE

Monsieur,
     Vous avez eu, hier, un long entretien téléphonique avec Mme Éliane Sallaberry, chancelière de l’armée française, aujourd’hui en retraite, au sujet de la décision, prise à l’unanimité par le Conseil Municipal de Paris, d’ériger une plaque au cimetière du Père Lachaise : « En hommage aux victimes de l’O.A.S., en Algérie et en France, civils, militaires, magistrats, fonctionnaires, élus, défenseurs des institutions et des valeurs de la République. ». Vous avez demandé à Mme Sallaberry de vous écrire ses motifs de désapprobation devant une telle initiative. Madame Sallaberry est aveugle, elle est donc dans l’impossibilité de le faire, mais elle m’a prié de rédiger, en son nom, ce qu’elle aurait voulu écrire.
   

Mission difficile parce que je suis aussi concernée, en tant qu’acteur et témoin des événements que je vais vous exposer ici, sous la foi du serment, et mon émotion va peut-être transparaître dans la relation que je vais vous en faire.    Veuillez m’en excuser.
   

Oui, Monsieur, l’O.A.S., dans ses quelques mois d’existence, a manié une arme à double tranchants, frappant avec l’un et se blessant à l’autre… Mais alors, pourquoi un Maréchal de France, des Généraux français parmi les plus prestigieux et les plus décorés, de nombreux compagnons de la Résistance, le chef du premier Conseil de la  Résistance, les patriotes les plus ardents se trouvaient-ils à la tête de ce mouvement de résistance française dans cette Algérie composée, alors, de départements français, depuis bien plus longtemps que Nice ou la Savoie ?
    

N’était-ce pas, justement parce que les institutions et les valeurs de la République étaient mises à mal par un Chef d’État se comportant en dictateur, utilisant contre ses compatriotes des polices parallèles tirées de la pègre, créant des tribunaux d’exception illégaux, agissant hors des lois morales, hors des lois constitutionnelles, et hors des lois humaines ?
  

  Ainsi, tout un peuple, qui pendant sept années avait connu les affres du terrorisme FLN, aveugle, barbare, sanguinaire, un peuple qui, toutes ethnies confondues, avait été décimé dans les plus abominables des tortures, émasculations, éventrations, énucléations, démembrements, et j’en passe, perpétrés sur des êtres sans défense, dans les campagnes, attentats à l’explosif dans les villes responsables d’innombrables morts, de mutilations à vie, ce peuple là serait moralement condamné à vie pour avoir usé du seul droit qui lui restait, un droit fondamental et inaliénable, celui de la résistance à l’oppression ?…
   

Alors, à ses côtés, naquit l’O.A.S, cette résistance du parti de la France en Algérie, mais si des hommes d’honneur ont sacrifié leurs carrières, leurs familles, leur avenir pour en prendre la tête, ils n’étaient pas seuls. Oui, l’O.A.S. était soutenue par la grande majorité des Français d’Algérie de toutes confessions, lesquels se trouvaient en état de légitime défense !   Ces gens, pour lesquels l’amour de la France, chevillé au corps, était plus fort que tout, des petits travailleurs de Bab-el-Oued qui avaient toujours voté rouge aux hommes de droite, aux royalistes, et même à ces musulmans fiers d’être français qui souhaitaient le demeurer et qui avaient fait face, avec nous, au terrorisme FLN (220.000 supplétifs au moment de l’abandon que la France a désarmés et remis aux mains des égorgeurs), ces gens là ne faisaient pas de politique, mais ils luttaient, acculés au mur, pour leur survie…
  

D’ailleurs, Monsieur, je ne serais probablement pas en mesure de vous écrire cette lettre si l’O.A.S. n’avait pas protégé ma vie, comme celles de mes semblables, si, jusqu’au dernier moment, jusqu’à l’embarquement au port d’Alger, les hommes de l’O.A.S. n’avaient veillé, avec une constance et une vigilance au-delà des mots, à la sécurité de ces malheureux Français d’Algérie que l’hôte de l’Élysée avait espéré voir disparaître dans l’immense cataclysme de l’abandon.
  Car, après que les insurgés de l’O.A.S., ces hommes d’honneur, d’abnégation et de courage, aient été totalement décimés par l’alliance des forces françaises au terrorisme FLN, on a vu, alors, des hordes qui, dans les aéroports ou dans les ports, arrachaient à leurs familles, manu militari, des jeunes femmes et des jeunes filles françaises pour les prostituer dans leurs camps…

     On a vu foisonner les enlèvements, les milliers et les milliers de disparus, on a vu les massacres d’Oran le 5 juillet et les jours suivants qui ont fait, Madame Sallaberry a du vous le dire, elle qui était à cette époque au Bureau des exactions, près de 4.000 morts ou disparus français innocents…
     

    Alors oui, l’O.A.S. a combattu les valets d’un pouvoir arbitraire, oui, ce combat a causé la mort de laquais inconditionnels et autres thuriféraires d’un pouvoir dictatorial, oui, malheureusement, comme dans tous combats, il y a eu quelques erreurs, oui la petite Delphine Renard a été blessée par quelques éclats de verre à la suite de l’explosion d’un engin devant la porte de Malraux… Savez-vous combien de jeunes enfants, de bébés à la mamelle, ont été cloués vivants sur des portes lors des massacres de familles entières dans le bled algérien ? C’était un usage courant chez les barbares du FLN…
    

   Mais ces hommes d’honneur qui se sont rebellés par fidélité à une parole, donnée au nom de la France puis trahie, ont payé d’un lourd tribut le devoir sacré qui les a fait agir, celui de protéger des populations victimes d’une politique insensée les mettant en danger de mort.
    D’une part, nombre d’entre eux ont été pourchassés et tués dans une proportions cinq fois plus élevées que les victimes qu’ils avaient pu faire, quatre d’entre eux ont été condamnés à mort par des tribunaux d’exception, qui devaient, après leurs exécutions, être déclarés illégaux, et, d’autre part, les survivants ont été humiliés, molestés, emprisonnés pendant de longues années…
     Ces hommes ont bénéficié en juin 1968 d’une amnistie générale. Depuis cette date, que dit la loi à leur sujet ? « L’amnistie est l’acte qui stipule que les fautes passées devront être oubliées et qui interdit à quiconque de les évoquer sous peine de sanctions ». De plus, en 1982, un homme de gauche, mais aussi homme qui avait une conscience, fait rare de nos jours, M. François Mitterrand, alors Chef de l’Etat, a fait restituer à tous les combattants de l’Algérie française leurs grades et leurs décorations… Double amnistie, totale réhabilitation…
     

   Voilà, à peu près, ce que vous aurait écrit Mme Éliane Sallaberry si cela lui avait été possible, nous voulions seulement vous faire observer que ces hommes illustres ont été les seuls à nous défendre alors que nous déplorions des milliers et des milliers de morts et de martyrs. Il est juste qu'aujourd'hui nous portions témoignage de leurs sacrifices et de leur héroïsme, ne serait-ce qu'au nom d'une réconciliation nationale que nous appelons de nos vœux tandis que certains, qui se reconnaîtront, œuvrent sans relâche, au nom d'on ne sait quelle rancœur ou idéologie, en faveur de la haine de l'autre...
     Vouloir ériger des stèles à la mémoire des victimes de l'O.A.S. et, dans le même temps vouloir détruire les stèles à la mémoire de ceux qui sont morts pour que vive l'Algérie française, est une offense à la raison qui prolifère, aujourd'hui, chez certains idéologues et politiciens, comme a proliféré, à la basse époque du Moyen-âge, la chasse aux sorcières... Espérant avoir été comprises,
   Nous vous prions de croire, Monsieur, à l'expression de nos sentiments déférents.
 

         Anne CAZAL  Éliane SALLABERRY
 

 


 
 
posté le 12-07-2011 à 06:17:27

L'étrange famill Banon.

 

 

De Yasser Arafat à Dominique Strauss Kahn :

l'étrange famille Banon

 

Neuf  ans après les faits, il nous a semblé nécessaire de tirer un petit portrait de la victime présumée pour tenter de comprendre son passé, son présent et son futur. Soit disant une  terrible enfance,   étrangement  ferma son clapet lors de la présumée tentative de viol. Une vie professionnelle ratée et une formidable occasion de s'offrir une notoriété par une publicité tournant autour de deux livres passés inaperçus.  Enfin un  père  Banon plutôt encombrant. Et pourtant...

 

Gabriel Banon, est un juif du Maroc.  Conseiller spécial   de Georges Pompidou, puis  conseiller de Yasser Arafat. Les deux hommes deviendront d'excellents amis. A la muqqata, Gabriel Banon est notamment chargé de demander à Israël le versement des fonds de pensions. Il reçoit (étrangement) une concession personnelle pour pouvoir lancer un nouveau service de téléphonie mobile à Gaza et dans les Territoires disputés. Encore que, connaissant le niveau de corruption sous Arafat, cette affaire semble ridicule.

 

Entre temps, au lendemain du meurtre d'Yitzhak Rabbin le 4 novembre 1995, Gabriel Banon crée la Lettre Economique Palestinienne.

De longues négociations avaient eu lieu depuis septembre 1995 entre l'un des principaux hebdomadaires de la communauté juive de France, Tribune Juive, et le conseiller de Yasser Arafat, Gabriel Banon, pour étudier la possibilité de réaliser et de publier la première interview du leader de l'OLP dans ce magazine, alors détenu par l'ancien dirigeant d'Europe I, Jacques Abergel.

 

Néanmoins, plusieurs facteurs ont fait achopper ce projet à plusieurs reprises. Tout d'abord, la vive rivalité existante entre le conseiller Gabriel Banon et la Déléguée Générale de Palestine à Paris, Leila Chahid, pour s'arroger le droit de parole au nom de l'Autorité Palestinienne. Par ailleurs, le fait qu'à cette époque et en dépit des déclarations très claires de Yasser Arafat parlant des articles de la charte nationale palestinienne appelant à la destruction d'Israël, en les déclarant comme « caducs » lors d'une conférence de presse donnée à Paris le 2 mai 1989, cette charte était toujours en vigueur six ans plus tard. Exprimant sa volonté de s'adresser directement aux communautés juives européennes afin de les inviter à s'engager dans la consolidation du Processus de paix, Yasser Arafat reporte plusieurs fois cet entretien, estimant que celui-ci devrait avoir lieu après son élection comme Président de l'Autorité Nationale Palestinienne. Néanmoins, le choix de Tribune Juive - qui publie en septembre 1995 un portrait de couverture du conseiller Banon, était justifié par la ligne éditoriale audacieuse de l'hebdomadaire.  

 

Il faut noter également que le fils du conseiller d'Arafat, Patrick, œuvrait épisodiquement comme pigiste à Tribune Juive, et que Pierre Lellouche, avocat né à Tunis, professeur de géopolitique et conseiller diplomatique de Jacques Chirac, élu député RPR en 1993 dans le Val d'Oise, avait épousé la fille du conseiller, la sculptrice Annie-Laure Banon.

Enfin, Gabriel Banon était alors proche d'Ibrahim Souss et de Souha Arafat, l'épouse du leader palestinien, et associé à l'un des proches de cette dernière, Pierre Rizk, l'ancien Chef du renseignement des Phalanges libanaises, (« « Akram » de son nom de guerre, décédé dans des conditions mystérieuses à Paris en 2010), qui avait été l'un des acteurs des massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982, pour la mise en place du réseau de télécommunications dans les Territoires palestiniens Wall Street Journal.  

 

Cependant, les tensions entre Gabriel Banon et Leila Chahid, loin de s'apaiser, suscite plusieurs polémiques autour de Yasser Arafat dans ce qui ressemble à une guerre de représentation. De plus, un désaccord survient entre Gabriel Banon et Pierre Rizk. Ce dernier, en charge des intérêts de Suha Arafat et de l'enfant qu'elle vient d'avoir avec le « Rais », éloigne la femme du Président de l'Autorité Nationale Palestinienne de Gabriel Banon, et interfère dans la méthode de règlement du dossier délicat des Fonds de pension palestiniens par ce dernier. Parvenus au point de rupture, les deux hommes s'affrontent et en janvier 1997, le Président de l'Autorité Nationale Palestinienne limoge son conseiller économique, accusé par Pierre Rizk de vouloir détourner une partie des Fonds de pension.

 

Poursuivi devant les tribunaux par les deux journalistes, Gabriel Banon et la société Pax Economica sont condamnés en 1998. Mais depuis, l'homme d'affaires a fermé les bureaux de ses sociétés à Paris et invoque son immunité au titre de résident américain. Proche de l'ex-conseiller du Roi du Maroc André Azoulay, il vit depuis principalement à Casablanca d'où il dirige sa multinationale Strategic Partners group  basée à Gibraltar, et où il signe régulièrement des chroniques dans Maroc Hebdo International.

 

Après avoir apprit une grande partie du Coran par cœur dans les écoles coranique marocaines, Gabriel Banon écrit un livre mémoire dans lequel il raconte sa vie d'amitié avec Yasser Arafat. Il y parle des relations du chef de l'OLP avec l'argent, la riche diaspora palestinienne et le monde arabe. On y lit aussi bien les dessous des négociations de Camp David ou de Taba que des commentaires d'Arafat sur le terrorisme, la corruption ou encore les Juifs.

 

En résumé, c'est l'histoire d'un juif qui apprend le Coran, qui travaille pour Pompidou et fait un enfant qu'il ne reconnaitra que pour verser une pension alimentaire à la mère socialiste. Puis il devient conseiller financier de Yasser Arafat, reçoit des marchés obscurs dans le domaine des télécommunications. Son associé, dès cette époque, est alors un homme connu pour son rôle considérable dans les massacres de palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila. Mais cela ne gênera sa carrière en rien, ni ses amitiés avec Souha Arafat, la femme de Raïs qui aujourd'hui encore est soupçonnée de vivre avec les 800 millions de dollars qui ont disparu des caisses palestiniennes à la mort du chef terroriste. Et le fait que Gabriel Banon ait détourné de l'argent des fonds de pension palestiniens (raison pour laquelle il a été viré par Arafat) n'aura jamais fait de lui un prévenu devant la justice de Ramallah.

 

Mais cela ne s'arrête pas là puisqu'en 2005, à la demande d'un autre grand démocrate, il devient conseiller en sécurité économique auprès de Vladimir Poutine.

En plus de son nom tristounet, d'une mère carriériste et d'un père au service du blanchiment d'argent pour une organisation terroriste (OLP), Tristane ne verra jamais son père qui préfère verser à sa mère une pension alimentaire (venant de l'argent donné par les européens aux palestiniens) que de l'amour nécessaire à la bonne éducation d'une fille aujourd'hui perdue pour la société.

  Sources: JSSNews

 

 

 

 

 


 
 
posté le 11-07-2011 à 12:43:54

Des héros...qui ont prétendu que personne ne les avait prévenus du danger.

Lundi 11 juillet 2011

Hervé Ghesquière, Stéphane Taponier et la fillette de 4 ans - Michel Garroté

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Cyrille-Hugodot

Cyrille Hugodot

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Or donc, deux journalistes français, Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, ont été libérés, après 18 mois de captivité aux mains des talibans en Afghanistan.

A Leur retour sur l'Hexagone, la caste médiatique parisienne les a accueillis, encensés et idolâtrés, comme s'ils étaient à la fois des héros et des demi-dieux.

Bien. Et la fillette de 4 ans ?

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Jean de La Bâtie, ancien membre du 1er Régiment de chasseurs parachutistes, régiment au sein duquel son propre fils est mort au Liban en 1983 et auquel appartenait le caporal Hugodot mort en Afghanistan le 25 juin dernier, Jean de La Bâtie donc, a écrit, dans une lettre que les 11'000 fonctionnaires journaleux du Groupe étatique France Télévisons feraient bien de lire :

 

« Durant 18 mois, vos deux collègues journalistes sont restés otages en Afghanistan. Vous leur avez apporté aide et soutien.

A leur retour, ils vous ont manifesté leur reconnaissance, comme ils ont remercié les autorités de notre pays et salué l'engagement des services pour obtenir leur libération ;

Et vous avez organisé de grandes fêtes pour les célébrer.

Vous en avez fait des héros ».

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« Des héros...qui ignoraient que la guerre est dangereuse.

Des héros...qui ont prétendu que personne ne les avait prévenus du danger.

Mais ça, ils ne pouvaient pas le savoir...car ils ne voulaient pas le savoir.

Et vous ? Saviez vous que des héros sont morts ?

Morts pour la France.

Non, vous ne le saviez pas, car vous ne vouliez pas le savoir.

 

Le mercredi 29 juin, dans l'indifférence des journalistes, le corps du parachutiste Cyrille Hugodot est revenu en France.

Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

 

C'est le 25 que Cyrille est mort à Kaboul, des suites de ses blessures reçues lors de l'engagement du 1er Régiment de Chasseurs parachutistes pour sécuriser le rapatriement de vos deux journalistes ».

Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

 

Peu avant un autre parachutiste Florian Morillon était mort dans les mêmes conditions.

Vous ne le saviez pas ? Non, car vous ne vouliez pas le savoir.

 

Vous préfériez faire la fête et ça vous nous l'avez fait savoir. Cyrille Hugodot était papa d'une petite fille âgée de 4 ans...

vous ne le saviez pas ? Non puisque vous ne voulez pas le savoir.

 

Au cours des cérémonies officielles aux Invalides puis à Pamiers, comme lors de l'office religieux à Abondant (Eure-et-Loir), une petite fille de 4 ans se demandait ce qui était arrivé à son papa... »

« Peut-être, auriez-vous pu le savoir... mais vous ne vouliez pas le savoir...

 

Une petite fille de 4 ans, à qui son papa manquera plus de 18 mois (ndmg - la période de captivité de Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier).

Mais ça, vous ne semblez pas vouloir le savoir.

Non, vous ne pouvez pas le savoir.

 

Car vous faites encore la fête avec vos héros.

Mais la petite fille de 4 ans ? Y aura-t-il quelqu'un parmi les journalistes pour penser à elle ? (ndmg - oui) Mesdames et Messieurs les journalistes, réveillez-vous et puisque vous avez décidé d'oublier les héros morts pour la France, essayez de ne pas oublier une petite fille de 4 ans, elle est là et vous regarde de ses grands yeux », conclut dans sa lettre Jean de La Bâtie.

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Pour ce qui me concerne, j'avais prévu d'écrire, à l'occasion, un article sur Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.

Avec la lettre de Jean de La Bâtie, il n'est plus nécessaire que j'écrive quoi que se soit sur Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier.

Car dans sa lettre, Jean de La Bâtie a écrit tout ce qu'il y avait à écrire sur ces deux individus.

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Je présente mes condoléances, mon amitié dans la communion des saintes et des saints ainsi que l'assurance de mes prières à toute la famille de Cyrille Hugodot, qui mort pour défendre la liberté et la vie face à l'obscurantisme et la culture de mort.

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Et à sa fille âgée de quatre ans j'écris ceci :

« Ma petite, j'ignore jusqu'à ton prénom, et, je sais que pour l'instant, tu n'as que quatre ans. Je voudrais, en tant que chrétien et en tant que journaliste, te dire que ton papa nous regarde depuis Là-Haut.

Je voudrais te dire que tu peux lui parler. Je voudrais te dire qu'il reste et demeure éternellement - et non pas simplement qu'il ‘était' - un Héros, un Bon Soldat et un Juste.

Je voudrais te dire, à toi, ma petite, que nous toutes et tous, sur ce blog, nous t'aimons de  tout notre cœur.

Que L'Eternel, Le Très-Haut veille sur toi et sur tous les tiens », Michel Garroté, 11 juillet 2011.

 

Michel Garroté

 

 

Michel Garroté 2011 http://drzz.fr/

 

http://www.france-catholique.fr/Mesdames-et-messieurs-les.html

http://www.ladepeche.fr/article/2011/07/02/1120417-cyrille-hugodot-l-hommage-de-la-nation.html

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posté le 11-07-2011 à 05:10:17

Il y en a qui ne perdent pas le Nord...

 

 

Goutez au « DSK », le hot dog de la Porte Maillot

A Neuilly sur Seine,

un restaurant spécialisé dans la cuisine newyorkaise,

propose à ses clients depuis le 6 juillet, un nouveau sandwich baptisé

 DSK.

Ce hot hog est déjà le roi du menu du « Rotz Delicatessen ».

Il est composé d'oignons, de frites, de coleslaw et il coûte 14€99.

 Et surprise, il ne fait pas référence à l'ex-patron du FMI, puisque son nom signifie, en fait

 « Double Saucisse Kascher ».

 Mais pour promouvoir intelligemment sa sortie, le restaurant a lancé une surprenante campagne publicitaire grâce au professionnel de la communication, Stephane Boukris.

 Connu pour son site FaisMesDevoirs.com. 20 000 flyers ont été distribués, un site internet a été créé et un petit film promotionnel a même été lancé sur le web. »

Depuis que nous l'avons lancé il y a quelques jours et sans doute un peu grâce à l'actualité, le DSK a détrôné tous nos autres burgers, salades et plats.

 C'est notre plus gros succès depuis la création du restaurant », souligne le fondateur, Philippe Rottemberg.

 

 


 
 
posté le 10-07-2011 à 07:00:38

Voici chers amis le texte d'une question et sa réponse pour le cas où vous ne seriez pas informé


                                                           13ème législature

 

Question N° : 98827

de M. Jean-Jacques Urvoas ( Socialiste, radical, citoyen et divers gauche - Finistère )

 

 

                              Ministère interrogé : Défense et anciens combattants

 

 

 

 

                             Question publiée au JO le : 01/02/2011 page : 823
                             Réponse publiée au JO le : 28/06/2011 page : 6877
                             Date de changement d'attribution : 27/02/2011
 

 

Texte de la question

M. Jean-Jacques Urvoas attire l'attention de M. le ministre d'État, ministre de la défense et des anciens combattants, sur l'hommage rendu au mois d'octobre 2010 à l'école des troupes aéroportées de Pau à un colonel ancien chef de l'OAS, condamné à mort et amnistié après une fuite en Espagne qui dura jusqu'en 1968. Il lui demande si les services de son ministère étaient informés de l'organisation d'une telle cérémonie et s'il entend la condamner, sachant qu'elle porte gravement atteinte à la mémoire de l'ensemble des victimes, françaises et algériennes, civiles et militaires, de cette organisation criminelle.

Texte de la réponse

La cérémonie, qui s'est déroulée au mois d'octobre 2010 à l'École des troupes aéroportées (ETAP), à Pau (Pyrénées-Atlantiques), était destinée à honorer la mémoire du colonel Pierre Château-Jobert, compagnon de la Libération, officier parachutiste décédé en 2005, dont la carrière a été étroitement liée à l'histoire de cette école et des troupes aéroportées en général.

 

 

 

Le capitaine Château-Jobert a pris le commandement, le 7 novembre 1943, du 3e bataillon d'infanterie de l'air ou 3rd French SAS, devenu, fin juillet 1944, le 3e régiment de chasseurs parachutistes et dont il a été le premier chef de corps.

 

Ce régiment est devenu par la suite le régiment support de l'ETAP.

 Il a créé, le 1er avril 1945, le Centre-école de parachutisme militaire, à Lannion, qu'il transfère en mars 1946 à Pau-Idron.

 

Il a été, à cette occasion, à l'origine de la création des agrès de formation au brevet de parachutiste. En outre, au cours de sa carrière, le colonel Château-Jobert a commandé plusieurs unités de parachutistes coloniaux, de 1947 à 1959. Mais c'est plus particulièrement en tant que chef de corps du 2e régiment de parachutistes coloniaux, devenu par la suite le 2e régiment de parachutistes d'infanterie de marine, qu'il s'est illustré le 5 novembre 1956 en étant parachuté à la tête de son régiment sur Port-Saïd lors de l'expédition franco-britannique de Suez.

 

 

 

C'est pour commémorer ce fait d'armes que, le 16 mai 2001, le poste de commandement du 2e régiment de parachutistes d'infanterie de marine, basé sur l'île de la Réunion, a été baptisé, du vivant de cet officier, PC lieutenant-colonel Château-Jobert.

C'est en raison de ces états de services que le nom de Château-Jobert s'est naturellement imposé pour une aire de rassemblement, qui n'est pas une place d'armes, et qui a conduit au baptême de la place des agrès en place du Colonel-Pierre-Château-Jobert, le 4 juin 2010.

 

 Pour ce qui est de l'inauguration, le 22 octobre 2010, de la stèle à l'effigie de cet officier, cette demande avait été initiée en 2008 par l'Union nationale des parachutistes (UNP) auprès du commandement de l'ETAP. La place des agrès ayant été baptisée place du Colonel-Pierre-Château-Jobert, ce lieu de rassemblement devenait donc l'emplacement adéquat pour l'inauguration de cette stèle, créée à l'initiative du président national de l'Union nationale des parachutistes, et dont le financement a été assuré par une souscription nationale. 


 


 
Toutefois, si l'engagement politique de cet officier l'a conduit à être condamné à plusieurs mois d'arrêt de forteresse (1961), puis à la peine de mort par contumace, il importe de rappeler qu'il a été gracié en 1968 à la suite du décret d'amnistie, puis réintégré dans les rangs de l'armée en 1974 avec le grade de colonel, pour être admis en position de retraite.
  
Enfin, il convient de rappeler que ce soldat à la carrière exceptionnelle était compagnon de la Libération par décret de 1945, commandeur de la Légion d'honneur, croix de guerre 1939-1945 avec onze citations et médaillé de la Résistance.

 

Un parachutiste qui n'a pas un instant renié sa parole...mettant sa carrière militaire dans la balance

 


 
 
posté le 09-07-2011 à 07:00:49

Le PS continue de "s'envoyer en l'air", mais tout les candidats restent sereins!

 

 

 Le PS continue de « s'envoyer en l'air ».   

Coupable d'avoir commis des agressions sexuelles sur une ex-employée municipale.

 

 

Après  Tron et DSK et les pédophiles   le   sénateur-maire Jacques Mahéas, condamné pour agression sexuelle.   L'édile socialiste de Neuilly-sur-Marne (Seine-Saint-Denis)   a annoncé sa décision de démissionner.

  Baisers forcés, attouchements....   Jacques Mahéas est condamné en juin 2008 en première instance à 4 mois d'emprisonnement avec sursis et 35.000 euros de dommages et intérêts, pour des agressions sexuelle.  En 2009, sa peine est transformée en une amende de 10.000 euros. Après un ultime pourvoi en cassation, rejeté, sa condamnation devient définitive en mars 2010.

 

Un soutien embarrassant pour Hollande

  

Benoît Hamon, et Gaëlle Lenfant, secrétaire nationale au droit des femmes, demandent l'exclusion de Jacques Mahéas.  Le maire de Neuilly-sur-Marne continue de nier les faits, criant à «un complot politique» contre lui en raison notamment de son «soutien» à François Hollande, candidat à la primaire socialiste, dont il se dit «ami».

 D'après le quotidien, deux associations féministes avaient alerté dès mars 2010 la première secrétaire Martine Aubry afin de lui demander si «une condamnation pour agression sexuelle est compatible avec une appartenance au PS.»

Pas de réponse.

 

 

« Qu'il dégage! » lâche José, un administré de J.Mahéas, très sévère avec Jacques Mahéas, condamné jusqu'en cassation. «C'est une honte de se comporter de la sorte quand on est élu. C'est de l'abus de pouvoir caractérisé, poursuit-il. Certes, c'est moins grave que DSK. Sauf que lui n'est toujours pas condamné!»

 

 

Moins vitupérant que José, Christian, qui revendique sa religion catholique, pense également que le sénateur-maire doit démissionner. « Si j'avais été accusé d'un acte de ce genre, je serais en prison à l'heure actuelle. Pourquoi un élu, tout maire et sénateur qu'il est, n'est pas soumis au même régime ? » demande-t-il.

 

Du côté des femmes, c'est vers la victime que les pensées allaient hier.

 « Quelle tristesse et quel cauchemar pour cette pauvre employée!

 Quelqu'un à la mairie lui a-t-il présenté des excuses?

Au lieu de cela, son agresseur archicondamné nie! C'est intolérable », lâche Michèle, une mère de famille.

« C'est simple, avec des exemples pareils, comment voulez-vous que l'on ait envie de voter après? » .

« Moi, j'ai besoin d'hommes politiques porteurs de valeurs et avec un minimum d'éthique dans leur comportement pour essayer d'oublier toutes ces histoires peu glorieuses », conclut-elle. »

 

 

 


 
 
posté le 08-07-2011 à 06:15:14

DSEXEK

Une affaire planétaire au-dessus de tout soupçon ?

 

Thomas Bronnec, sur lexpress.fr, écrit (extraits adaptés) :

 « Depuis les révélations sur les mensonges de Nafissatou Diallo, DSK a retrouvé la liberté. Le procureur de Manhattan a été lui-même à l'origine des fuites dans la presse sur les mensonges de Nafissatou Diallo. Il était le premier défenseur de la femme de chambre, au début du scandale ».

« Il avait tant insisté pour que DSK ne soit pas libéré sous caution qu'il semblait en faire une affaire personnelle. Depuis une semaine, les critiques fusent sur ses méthodes et Cyrus Vance Jr, déjà en campagne pour sa réélection, est de plus en plus fragilisé. Il sait que, lors d'un éventuel procès, son dossier risque de ne pas tenir face à douze jurés qui ne manqueront pas d'être déstabilisés par les atermoiements de la plaignante », ajoute Thomas Bronnec.

"L'enquête se poursuit", a indiqué, hier mercredi, dans un communiqué, un porte-parole du procureur Cyrus Vance.

 

Concernant Mademoiselle Banon, sa famille, notamment son père, on peut lire sur jssnews.com (extraits) : « Son père, Gabriel Banon, est un juif de Casablanca au Maroc. Après avoir présidé plusieurs sociétés, Gabriel Banon est parachuté conseiller spécial à l'industrie de Georges Pompidou. Et c'est bien plus tard, en 1993 lors des accords d'Oslo que sa vie prendra tout son sens. C'est à cette époque que son ami Yasser Arafat, le leader terroriste palestinien, tombe sous le charme de Gabriel Banon. De conseiller de Pompidou, il passe au statut de conseiller de Yasser Arafat. Les deux hommes deviendront d'excellents amis. A la muqqata, Gabriel Banon est notamment chargé de demander à Israël le versement des fonds de pensions. Et malgré son rôle de travailleur pour le gouvernement palestinien, il reçoit (étrangement) une concession personnelle pour pouvoir lancer un nouveau service de téléphonie mobile à Gaza et dans les Territoires disputés ».

« Encore que, connaissant le niveau de corruption sous Arafat, cette affaire semble ridicule. Après avoir apprit une grande partie du Coran par cœur dans les écoles coranique marocaines, Gabriel Banon écrit un livre mémoire dans lequel il raconte sa vie d'amitié avec Yasser Arafat. Mais cela ne s'arrête pas là puisqu'en 2005, à la demande d'un autre grand démocrate, il devient conseiller en sécurité économique auprès de Vladimir Poutine. En plus de son nom tristounet, d'une mère carriériste et d'un père au service du blanchiment d'argent pour une organisation terroriste (OLP), Tristane ne verra jamais son père qui préfère verser à sa mère une pension alimentaire (venant de l'argent donné par les Européens aux palestiniens ?) que de l'amour nécessaire à la bonne éducation d'une fille aujourd'hui perdue pour la société », conclut jssnews.com.

Et pour ce qui me concerne, je ne puis qu'écrire ceci : décidément, tout, dans l'affaire DSK - les mensonges de Nafissatou Diallo, le comportement du procureur Cyrus Vance, le parcours de la famille Banon, l'avocat de Nafissatou Diallo qui comptait encaisser 30% des dommages censés être versés par DSK à sa cliente - tout révèle des éléments qui n'ont pas grand chose à voir avec le strict travail de la justice sur une affaire de viol de plus en plus présumé. Pour la cause légitime des femmes, c'est - hélas - une véritable catastrophe. Et l'on ne pourra pas dire que c'est uniquement de la faute à DSK même si celui-ci est loin d'être un enfant de chœur...

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Michel Garroté

-Michel Garroté 2011 http://drzz.fr/

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posté le 07-07-2011 à 13:47:30

Islam à la fois généreux, tolérant et ouvert.c’est impossible !

Le socialisme est a ce point malade pour se prostituer
 


 
 
posté le 06-07-2011 à 05:51:47

Colonel Jean Pierre.

  Le Colonel JEANPIERRE

 (1912 - 1958)

 

Né en 1912, il est orphelin de guerre. Son père, officier d'active, est tué en 1916 sans jamais avoir revu sa famille depuis août 1914. Élevé dans le culte paternel par sa mère,JEANPIERRE s'engage à dix huit ans dans l'infanterie et passe par tous les grades, il est promu sous-lieutenant le 1er octobre 1936 à l'École de Saint-Maixent. Au mois d'avril 1937, il est affecté dans le Corps de la Légion Étrangère qu'il ne quittera plus jusqu'à sa mort et sera nommé lieutenant le 1er octobre 1938. Il subit la « Drôle de Guerre » de 1939 à 1942 et est mis en disponibilité.

 

Sous le nom de « Jardin », il entre dans la Résistance dans les rangs du mouvement « Ceux de la Libération ». Il est arrêté à Orléans le 19 janvier 1944 et est déporté au camp de Mauthausen après être passé par le camp de regroupement de Compiègne. Très affaiblit, il est libéré par les troupes alliées le 5 mai 1945 et après avoir retrouvé sa famille, il rejoint la Légion Étrangère où, en 1948, apprenant qu'en Algérie se crée un bataillon étranger de parachutistes, il se porte volontaire, rejoint Sidi bel Abbès puis Philippeville où il est breveté parachutiste. Commandant en second le 1er Bataillon Étranger de Parachutistes commandé par le Capitaine SEGRETAIN, il embarque avec l'unité formée de tout jeunes légionnaires sur le « Pasteur » et rejoint Hanoï.

 

 

Ancien déporté, il est marqué physiquement et moralement et ceci le porte à avoir un certain goût du silence et de la solitude ce qui lui procure une sorte d'insensibilité extérieure, restant marqué par la défaite de 1940. Tout en étant exigeant, secret, il est néanmoins attachant. Il se promet à qui il se confie qu'il ne perdra plus de guerre.

 

 La légion est son élément. Il s'y sent à l'aise pour y vivre et y commander officiers, sous-officiers et légionnaires. Il désire forger un instrument de combat prêt à résister à tout et à réussir ce qu'on lui demandera ; il sera de premier ordre. En opération, sa science du terrain est instinctive, son esprit de décision est immédiat et rien ne peut l'arrêter dans ce qu'il décide. Au mois d'octobre 1950, chargé de prendre Dong Khé lors du désastre de Cao Bang, il s'agit de sauver la colonne CHARTON qui se replie avec des civils, il s'y accroche jusqu'à l'ordre impératif de repli et divisant par petits groupes les rescapés, il y a avec JEANPIERRE, vingt trois légionnaires qui rejoignent That Khé où une garnison française doit encore tenir, ayant la force physique et la volonté de réussir.

Du millier de légionnaires qui constituaient le BEP, il ne reste que douze hommes à peu près valides.

 

 

 Le Commandant SEGRETAIN a été tué dans un combat à l'arme blanche et le Lieutenant FAULQUE est tombé transpercé de projectiles, mais aucun ne sera mortel. Sérieusement blessé il sera fait prisonnier et libéré quatre ans plus tard ;

il fera partie du troupeau de morts-vivants que le Viet Minh rendra à la France.

 Le Bataillon avait été anéanti avec le 3eREI dans le cul de sac de Coxa. Fatigué physiquement,JEANPIERRE rejoint la Légion à Mascara où il reprend ce qui le passionne, l'instruction des jeunes légionnaires. Le 1er BEP a été recréé mais les derniers combats d'Indochine se feront sans lui. Il en reprend le commandement le 1er novembre 1954, le jour où commence la « Guerre d'Algérie ».

 

 

Quand le bataillon deviendra régiment, le 6 février 1956, il devra passer le commandement au Lieutenant Colonel BROTHIER qu'il estime mais sera profondément déçu. Le régiment mis en alerte le 1er août 1956 après la préparation de la campagne d'Egypte, il embarque le 31 octobre, mais on sait ce qu'il advint de ce débarquement.

Ce bel instrument de combat qu'est devenu le régiment n'a servit à rien.

Une nouvelle mission lui est confiée : à Alger, mettre fin au terrorisme urbain, une mission de police qui ne plait à personne mais qu'il faut réussir. 

JEANPIERRE est devenu Chef de Corps au départ du ColonelBROTHIER à l'État Major de la 10e Division Parachutiste. La nouvelle mission implique certaines techniques en particulier de guerre subversive et seuls, les officiers et quelques sous-officiers sont autorisés à accomplir cette tâche difficile. Le Colonel, surveillant de près les détails comme à son habitude et tenant à régler la mise en œuvre, est blessé lorsque Yaseef Saadi est débusqué dans sa cache à Alger.

Des éclats de grenade criblent d'éclats les jambes de JEANPIERRE qui sera désormais handicapé pour sauter en parachute et crapahuter comme avant.

 

Le régiment a gagné beaucoup de popularité à Alger mais JEANPIERRE désire quitter la ville pour mener des opérations dans les djebels. Redevenu Chef de Corps, donc chef de guerre, il continue ce qui est depuis toujours sa double obsession, réussir toute mission et perfectionner son outil. En opération il révèle à plein sa manière de penser. Si faiblesse il y a, il lui faut trouver les remèdes et les appliquer. Étudier chaque mission et avec un esprit neuf, trouver la solution adaptée.

Ces idées, il les applique tout au long de l'été 1957, tirant des leçons d'échecs ou de réussites incomplètes. Il découvre aussi, maintenant qu'il a des difficultés à marcher, la valeur et les possibilités nombreuses des hélicoptères qui lui permettront d'être partout et de tout surveiller. Il deviendra un maître en opérations héliportées.

 

Le 19 janvier 1958, le 1er REP quitte le Sahara où il opérait après avoir vaincu les groupes de fellaghas qui voulaient s'opposer aux premiers convois de pétrole venant d'Hassi Messaoud, il rejoint Guelma. L'outil que le Chef de Corps a en main est apte moralement et professionnellement.

 Le 24 janvier 75 rebelles sont mis hors de combat à la Mahouna où six mitrailleuses sont récupérées. Jusqu'au 1er mars, pendant trois mois, 1300 armes dont plus de 120 automatiques sont prises aux fellaghas qui perdent dans la région de Guelma la totalité de leur effectif permanent ou de passage, soit plus de 600 hommes. Il a désormais sous ses ordres non seulement son régiment mais aussi les unités d'appui et les troupes de secteur dont il peut avoir besoin. Il dispose surtout à sa guise d'hélicoptères et avec l'un d'eux, une « Alouette », il tourne sans cesse, en permanence au dessus de ses compagnies d'où il voit tout, sait tout et ordonne tout.

 

 De ses idées, JEANPIERRE sait parfaitement les appliquer et sait mettre au point les tactiques qui en découlent. Opérations de nuit, appui d'artillerie, transports héliportés lourds, observations aériennes, straffings et bombardements aériens. Il privilégie renseignement, vitesse et surprise pour « Coxer » un adversaire qui ne peut s'échapper. Son idée la plus dure : donner l'assaut en allant au corps à corps, rôle essentiel de l'infanterie et des unités de choc. 

JEANPIERRE harassé, fatigué donne l'exemple vivant sur le terrain et dormant par terre reprenant ses habitudes prises en Indochine.

Le 13 mai 1958, il se trouve en opération mais malgré les évènements qui se passent à Alger, il considère que sa mission n'a pas à changer. Le Régiment reprend la piste vers gorges et pitons. Les hommes sont fatigués, JEANPIERRE le sait mais ne veut pas l'entendre : « - De quoi vous plaignez-vous ? Je vous fabrique de la gloire ! » Le repos est proche, la dernière opération reste à mener car il reste à réduire quelques groupes de fellaghas dans la zone d'opération.

 Lorsque l'Alouette dans laquelle se trouve JEANPIERRE qui tourne au-dessus de ses unités passent un peu trop près du sommet d'un piton, une rafale l'abat...

JEANPIERRE gît sans vie écrasé contre le pilote et quelques instants plus tard, le Capitaine YSQUIERDO prend le combiné de son poste  -colonel Jeanpierre

 

- Soleil est mort.

« A las cinco de la tarde,
Eran las cinco en punto de la tarde,
Un niño trajo la blanca sábana
a las cinco de la tarde... »

 

Nous sommes le 29 mai 1958. Cette nouvelle fait le tour de tous les cantonnements en Algérie comme un coup de tonnerre... "Soleil est mort"...

 

 

L'Armée française doit le respect à cet Officier qui toute sa vie a servi dans la Troupe et qui a chaque instant est allé au maximum de sa propre exigence.

 

Les Parachutistes et Commandos lui doivent d'avoir su insuffler un esprit à ces Armes réputées exceptionnelles et reconnues par tous les Combattants du Monde.

 

Les soldats de toutes Armes civils ou de métier lui doivent respect et admiration.

Des visiteurs venus du Monde entier déposent des cailloux blancs comme une offrande sur le granit gris de sa sépulture à Puyloubier. C'est l'édification d'un Cairn, coutume Celtique à la mémoire des guerriers morts en combat, témoignage de ceux qui l'ont idolâtré.

 

 

 

Sépulture du Colonel JEANPIERRE dans la Nécropole de la Légion Etrangère à Puyloubier.

 

 

 


 
 
posté le 06-07-2011 à 05:32:20

On marche vraiment sur la tête.

Citoyens, citoyennes, le saviez-vous,

pendant que vous regardez le mariage du prince Albert,

ce que votent les députés que vous avez élis à l'assemblée.

 

 

La circoncision est entièrement remboursée par la sécurité sociale.

 

 

UN SCANDALE DE PLUS !!  

C'est la bonne idée de Madame Valérie BOYER, députée UMP secrétaire nationale chargée de la santé qui a certainement entendu parler du trou ..... de la sécurité sociale : faire prendre en charge par la Sécurité Sociale le coût de la circoncision des musulmans.
Comme elle ne le trouve pas, ce trou, assez grand à son goût, elle souhaite l'agrandir encore un peu avec le zizi des musulmans.
Lors d'une question à l'Assemblée Nationale, elle a expliqué que la circoncision rituelle coûte entre 500 et 1000 euros aux familles.
Faites un rapide calcul, 800.000 naissances par an, dont 250.000 musulmans, cela fait entre 125 et 250 millions d'euros de dépenses supplémentaires.
La sécurité sociale s'en passerait bien de ce petit trou !!!
Mais qu'on se rassure, Madame BOYER promet que la prise en charge des zizis se fera strictement dans le respect de la laïcité !
Ce sont les imams qui vont être heureux. Ils vont découvrir que par la circoncision républicaine, leurs bons musulmans vont devenir de vrais laïcs.

Et à coté de ça on rembourse au lance-pierre les soins dentaires et les lunettes.

 

 

 

 


 
 
posté le 05-07-2011 à 18:19:25

Che Guevara, tyran de gauche

 

Derrière le mythe, la vérité...

 

Fidèle à son éthique, Histoires et Polémiques entend casser l'image de l'imposteur gauchiste surnommé Le Che. Imposteur ? Oui, car depuis bientôt 40 ans, on nous fait croire à la bonté et l'honneteté de ce type.

 

 La réalité est bien sûr, tout autre !!

Ernesto Guevara de la Serna est né en Argentine, en 1929, dans une famille bourgeoise argentine. Après avoir caressé l'espoir d'être ingénieur, il s'orientera vers la médecine en 1947 et sera infirmier en 1951 sur des cargos militaires.

En 1952, il fait le tour de l'Amérique du Sud en moto, avec un compagnon. De ce périple sortira 53 ans plus tard, le film Carnets de Voyage, navet que tous les bobos de la planète vont idolâtrer et le placer dans leur dvdthèque aux côtés de Farenlie 9/11 ou les films "politiques" de Georges Clooney.

Mais c'est également durant ce voyage que le Che va découvrir, selon ses dires, la misère et le socialisme : il va alors rompre avec sa famille et rejeter les valeurs de sa jeunesse dorée.

En 1953, il est diplômé en médecine (même si ce point est remis en question) et part à Mexico. C'est là qu'il est présenté en juin 1955 à un certain Raul Castro. Un mois plus tard, il rencontre son frère Fidel. Le Che tombe en admiration devant Castro et il le suivra sans état d'âmes et sans se poser aucune question jusqu'à la fin.

Le 2 décembre 1956, les troupes des frères Castro débarquent à Cuba. Le Che est bien sûr du voyage et il va rapidement devenir le maître de la province de Las Villas. Trop rapidement sans doute. Jaloux de ses succès trop rapides, Fidel Castro va vite ramener sur terre le jeune Argentin. Il ne lui permet pas d'entrer en premier dans La Havane : c'est Camille Cienfungos, moins charismatique qui le fera. Le Che encaisse, comme il encaissera plus tard la mort accidentelle (si l'on en croit la thèse officielle de La Havane) de ce même Cienfungos et la prison à vie de son ami Matos.

 



Durant cette période "clandestine" précédant la prise de pouvoir, le Che se fait remarquer par sa brutalité. Comme le rapporte Stéphane Courtois dans Le livre noir du communisme, il va, par exemple , faire exécuter un gamin qui a commis le crime abjecte de voler un peu de nourriture.

En 1960, il se rend en URSS et en revient ébloui. L'idylle ne durera pas, mais cette visite va le conforter dans son radicalisme.

On peut reprocher quantité de choses à Guevara mais pas son aptitude à la lutte armée. En 1961, il participe avec succès à la bataille de la Baie des Cochons, Cuba mettant en échec la tentative de débarquement de la CIA afin de restaurer un régime plus démocratique dans l'île.

 

 

Mais la crise des missiles russes va faire voler en éclats une partie de ses illusions. Voyant que l'URSS ne va pas jusqu'au bout de son affrontement avec Kennedy, en refusant une guerre nucléaire (!) , Le Che se détourne de ses anciens alliés. Avec la haine de l'amoureux déçu, il commence par se désoler de cette attitude timorée puis se répand en propos de plus en plus violents contre l'URSS. Au séminaire afro-asiatique d'Alger en 1965, il insulte carrément les représentants russes.

Il commence à devenir gênant pour Castro qui décide de l'envoyer en Afrique.

Entre-temps, Le Che a eu des responsabilités écrasantes sur l'île. Il a été responsable de la prison de La Cabana où il va acquérir un nouveau surnom : el carnicerito, le petit boucher. En effet, l'idole des bobos va superviser l'exécution de 200 opposants. Fusillant sans relâche, le Che met toute son énergie à partir du 3 février 1959 à éradiquer toute opposition. Mais en plus de tous ces meurtres d'états, il effectue des simulacres d'exécutions, des tortures, des services moraux comme faire passer 40 heures à des prisonniers sans eau, sans nourriture, sans sommeil. Pour info, la note de Wikipédia , pourtant élogieuse , parle elle de 55 à 550 personnes !!

 



Certes, le Che n'est pas seul dans cette politique répressive. Raul Castro se flatte d'avoir fait fusiller 68 personnes en une seule journée à l'est du pays. Mais maillon essentiel de la chaîne, le Che est l'un des plus convaincus, des plus fanatiques. Pour lui la répression doit être sans faille, sans pitié.

Ainsi il écrit le 5 février 1959 « Les exécutions ne sont pas seulement une nécessité pour le peuple de Cuba mais également un devoir imposé par ce peuple ». Vu sous cette angle, on n'a quand même du mal à comprendre l'auréole que certains alter mondialistes tressent à un tel assassin. Dans le même ordre d'idée, la presse cubaine reprend les idées du Che avec des titres tels que « les exécutions éviteront davantage de sang » ou « suspendre les exécutions reviendrait à irriter le peuple ». Grand admirateur de la Terreur de 1793, Guevara ne peut qu'approuver une répression sans faille.

 


On pourrait penser, naïvement, que ces massacres ne seraient qu'une erreur de jeunesse. Mais en 1964, il persiste et signe : « Nous avons fusillé et nous fusillerons tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort ».


Ernesto Guevara fut aussi l'instigateur du système cubain de camps de travail forcé, ayant créé le premier de ceux-ci à Guanahacabibes afin de « rééduquer » les opposants à la révolution cubaine. Pour Régis Debray "C'est lui, et non Fidel qui a inventé en 1960 , dans la péninsule de Guanaha, le premier camp de travail correctif"

Mais la supervision de la Cabana n'est pas sa seule implication dans la politique de l'île. Il a également des responsabilités économiques. Sa politique socialiste de réforme agraire, de mise en commun des terres et d'éradication de la propriété privée est un échec total. L'armée contrôle tout, y compris la distribution de semis, mais, dans le même temps, le déficit est multiplié par 26 !! L'objectif du Che était que l'île soit totalement autosuffisante. En 1965, c'est le retour à la monoculture de la canne à sucre. Cuba devient une île sous perfusion, ne survivant que grâce à l'aide des pays frères. Guevara méprisait l'argent mais n'en vivait pas moins dans un des quartiers privés les plus riches de la Havane.

 



De plus en plus embarrassé, Castro décide de se débarrasser du Che. Il l'envoie chanter la bonne parole révolutionnaire en Afrique puis en Bolivie. Pour brûler les vaisseaux de son ex-compagnon, il fait lire une étrange lettre où le Che déclare renoncer à toutes fonctions à Cuba. Étrange car sujette à caution, si certains passages sont du pur Guevara, d'autres semblent soit dictés voire carrément réécrits. Quoi qu'il en soit, le Che est effondré quand il apprend que sa lettre qui devait être posthume a été rendue public par Castro.

Sans doute se rend-il enfin compte que le bourreau de Cuba l'a manipulé pendant des années ?

Au Congo, il tente de mettre sur pied une guérilla efficace mais confronté au paludisme, à des hommes totalement inefficaces (qui absorbe une drogue qui les rend « invincibles ») et à des conflits interethniques entre militants congolais et rwandais, l'expédition est un échec. Toujours aussi élégant, il estime qu'il dirige « une armée de parasites ». C'est durant ce périple africain qu'il rencontre Désiré Kabyla, autre grand assassin marxiste. Qui se ressemble...

Il ne réussira pas plus en Bolivie, où il rencontrera des « combattants » étrangers comme Régis Debray. Là aussi, il tente d'organiser des guérillas, d'allumer « un, deux, trois Vietnam » mais lâché par tous, y compris les paysans qu'il est censé représenter, le Che tombe dans une embuscade et est abattu le 9 octobre 1967.

Castro s'empare alors de l'image de son ex-compagnon de route et en fait une sorte de martyr politique. Les bobos et les gauchos de toute la planète, en rupture de messie vont alors faire le reste : occulter toutes les actions négatives de ce vulgaire psychopathe, évacuer sa désastreuse politique économique et l'élever au rang d'icône.

 



Le commerce n'aura alors plus qu'à faire le reste. Voilà pourquoi des milliers d'abrutis boutonneux se rassemblent avec le portrait de leur idole, le plus souvent en connaissant juste son nom. Il est vrai que connaître le vrai Che leur demanderait un minimum de culture et de travail.

Le Che n'est donc au final qu'un vulgaire pantin castriste, vrai tortionnaire, un assassin et une brute. Il a échoué quasiment partout, ruinant la vie de milliers de cubains. Son "culte" n'est pas qu'indécent. Il est surtout la preuve que l'inculture et la bêtise mènent hélas un monde devenu totalement aveugle.

On notera qu'en décembre 2006, la revue Historia a écrit un dossier relativement bien fait afin de mettre "en valeur" le vrai Che. A lire absolument !!

(Cet article a déjà fait l'objet d'une note sur le blog La pensée néoconservatrice)

 

posted by davethesith 

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posté le 04-07-2011 à 11:45:04

depuis le début de cette affaire qu’il y avait un rapport avec l’or , le FMI et les américains.

 

 

SCOOP :

 La Russie affirme que DSK avait découvert que les réserves d'or américaines avaient disparu

 

La Russie affirme que le directeur général du FMI a été emprisonné parce qu'il avait découvert que les réserves d'or des États Unis avaient disparu.

 

Un nouveau rapport préparé pour le Premier ministre Poutine par le Service de sécurité fédéral ( FSB ) dit que l'ancien chef du Fonds monétaire international ( FMI )Dominique Strauss-Kahn a été inculpé et emprisonné aux États-Unis pour des crimes sexuels pour l'empécher de révéler sa découverte du 14 mai :

 l' or des États-Unis situé au Bullion Depository à Fort Knox etait ‘manquant ou porté disparu »

 

Selon ce rapport secret du FSB, M. Strauss-Kahn était devenu «de plus en plus génant» plus tôt dans le courant du mois les États-Unis ont commencé à retarder la livraison promise au FMI de 191,3 tonnes d'or convenu dans le deuxième amendement de l'accord signé par le Conseil exécutif en avril 1978 qui devaient être vendus pour financer ce qu'on appelle les droits de tirage spéciaux ( DTS ) comme une alternative aux monnaies de réserve .

 

Ce nouveau rapport stipule Strauss-Kahn avait soulevé la question avec des fonctionnaires du gouvernement américain proches du président Obama, il a été "contacté" par la CIA qui a apporté la preuve que tout l' or détenu par les États-Unis »avait disparu.

 

Strauss-Kahn reçoit la preuve de la CIA , il prend donc des dispositions immédiates pour se rendre a Paris, mais lorsqu'il est contacté par les agents travaillant pour la France de la Direction générale de la sécurité extérieure ( DGSE ) , et sachant que les autorités américaines étaient à sa recherche , il s'enfuit de New York vers l'aéroport JFK et les agents lui ordonnent de ne pas prendre son téléphone portable parce que la police des États-Unis pourrait suivre son emplacement exact.

 

Strauss-Kahn a été arrété sur un vol Air France a destination de Paris, cependant, ce rapport dit qu'il a fait une «erreur fatale» en appelant l'hôtel à partir d'un téléphone dans l'avion et en leur demandant de lui faire parvenir sont téléphone portable qu'il avait oublié .

Ainsi les agents américains ont été en mesure de repérer son appel et l'arréter.

Durant la dernière quinzaine, le rapport stipule que , Strauss-Kahn a demande à son ami intime et banquier Mahmoud Abdel Salam Omar de récupérer aux États-Unis les éléments de preuves fournis par la CIA.

 

Omar, cependant, et exactement comme Strauss-Kahn ,il a été accusé hier par les États-Unis pour délit sexuel envers une femme de chambre dans un hôtel de luxe, une accusation que les services du FSB a démenti . Omar est agé de 74-ans et est un fervent musulman.

 

Poutine , après la lecture de ce rapport secret a pris la défense de M. Strauss-Khan et devient le1er leader mondial à dire que le directeur du FMI a été victime d'un complot des Etats-Unis .

 

Poutine a ajouté:

"Il est difficile pour moi d'évaluer les politiques des motifs cachés mais je ne peux pas croire à la version des faits tels qu'ils ont été présentés.

 

Intéressant à noter à propos de tous ces événements, c'est que l'un des premiers des États-Unis du Congrès, candidat à la présidence en 2012, Ron Paul , a longtemps affirmé sa conviction que le gouvernement américain a menti sur ses réserves d'or détenues à Fort Knox, et accuse la Réserve fédérale de cacher la vérité au sujet des réserves d'or américaines, il a présenté un projet de loi à la fin 2010 à la force une vérification d'entre eux , mais a ensuite été battu par les forces du régime Obama.

 

Lorsque la question a été directement posée par des journalistes, s'il croyait qu'il n'y avait pas d'or à Fort Knox, Paul a donné la réponse incroyable,

" Je pense que c'est une possibilité . "

 

Il est également intéressant de noter qu'à peine 3 jours après l'arrestation de M. Strauss-Kahn, le député Paul a fait un nouvel appel aux États-Unis de vendre ses réserves d'or en disant:

« Compte tenu du prix élevé et le problème de la dette énorme , il faut par tous les moyens vendre au prix le plus haut. Cependant, des rapports des États-Unis diffusés en 2009 affirment qu'il n'y a pas d'or à vendre en 2009.

 

"En Octobre 2009, la Chine a reçu une cargaison de lingots d'or. L'or régule les échanges entre les pays pour payer leur dettes et le soi-disant équilibre du commerce. La plupart de l'or est échangé et stocké dans des coffres sous la supervision d'un organisme spécial basé à Londres, le London Bullion Market Association (LBMA ). Lorsque l'envoi a été reçu, le gouvernement chinois a demandé que des tests spéciaux soient effectués pour garantir la pureté et le poids des lingots d'or. D'autres petits trous sont percés dans les lingots d'or et le métal est ensuite analysé.

 

Pour les effets pratiques sur l'économie mondiale devrait-il être prouvé que les États-Unis, en effet, ont menti sur ses réserves d'or ?

 

La Banque centrale de Russie hier a ordonné que le taux d'intérêt soit élevé de 0,25 à 3,5 pour cent et Poutine a ordonné l'interdiction d'exportation sur le blé et les céréales cultures, à partir du 1er Juillet pour remplir les coffres du pays avec de l'argent qui, normalement, aurait dû être versé aux États-Unis.

 

 

 


 
 
posté le 04-07-2011 à 11:35:55

Troussage domestique...Suite et Fin.

 

 

 

 

 

Ne mélangeons pas le linge propre avec le sale !

Cette histoire, est-ce un hasard ?

 aura duré juste le temps que DSK soit fini au FMI,

La femme de chambre est une menteuse...

Admettons !

La femme de chambre est une tricheuse...

D'accord !

Donc, DSK serait devenu une innocente victime ?

Et son sperme sur le chemisier de la femme de chambre serait un simple accident dû à une éjaculation précoce ?

Bon sang mais c'est bien sûr, Jean-François Kahn nous avait déjà résumé toute l'affaire : "un troussage de domestique"...

 

 

 

On ne saura sans doute jamais les dessous de cette histoire.

Cela étant, si DSK est innocent, alors tant mieux, justice est rendue. 

 

En revanche, ce qui est certain, c'est que ce politique reste un partouzard qui trompait sa femme, et n'en était pas à sa première bévue en matière de harcèlement sexuel.

Ce qui est certain aussi, c'est que la moitié des français sont pour le fait qu'il se présente aux élections.

 Et la gauche française va retarder ses primaires pour un type comme cela......

 

Et donc, nous risquons d'avoir un président l'année prochaine qui a mouillé dans des affaires financières et sexuelles. Et cela avec l'aval des français.....

 

Notre pays s'enfonce dans une décadence qui le conduira à sa perte encore plus vite qu'il ne le pense.

C'est à vomir.

 

 

  Confier la magistrature suprême à un tel individu serait la marque

de l'abdication des Français de tout honneur  et respect de soi et de la nation !

 

 


Commentaires

 

1. irulan  le 04-07-2011 à 09:40:01  (site)

C'est vrai que ceux qui sont en place sont d'une très grande probité...

 
 
 
posté le 04-07-2011 à 05:28:09

l'argent publique pour financer la prochaine flottille pour Gaza

 

 

Liste officielle des participants et des soutiens à la nouvelle flottille pour Gaza

 

Guysen publie ci-dessous la liste des collectivités locales utilisant l'argent publique pour financer la prochaine flottille pour Gaza ainsi que la liste des participants à cette expédition.

A noter que toutes ces informations proviennent de sites pro-palestiniens. 


Liste des collectivités locales :

  • Municipalité de Bagneux (Hauts-de-Seine) : vœu de soutien et subvention de 1 500 €
  • Municipalité de Bagnolet (Seine-Saint-Denis) : vœu de soutien et subvention de 2000€
  • Municipalité de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) - vœu de soutien et subvention de 1 500€
  • Municipalité de La Grigonnais (Loire-Atlantique) : subvention de 100€
  • Municipalité de Nanterre (Hauts-de-Seine) - vœu de soutien et subvention de 1 000€
  • Municipalité de Saint Pierre des Corps (Indre-et-Loire) : vœu de soutien
  • Municipalité de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) : vœu de soutien et subvention de 1 000 €
  • Municipalité de Rezé (Loire-Atlantique) : vœu de soutien et subvention de 200€
  • Conseil régional de Bretagne : subvention de 5 000€
  • Conseil régional Rhône-Alpes : vœu de soutien



Liste des passagers à bord des bateaux français : 


Alain Bosc : Cimade 
Alain Connan : Commandant 
Alima Boumedienne : Sénatrice, Europe Ecologie-Les Verts 
Aman Ben Saïd : Médecin 
Annick Coupé : Union syndicale Solidaires 
Antoine Chauvel : Coordination Interuniversitaire pour la Palestine 
Catherine Guilyardi : RFI 
Catherine Lecoq : Collectif 13 
Chafik Filali : Alliance for Freedom and Dignity 
Claude Léostic : Association France Palestine Solidarité 
Délégation étrangère : 1 place pour la coalition internationale 
Délégation étrangère : 1 place pour la coalition internationale 
Elise Barthet : Le Monde 
Eugène Riguidel : Marin 
Fairouz Ferjani : Union Générale Tunisienne du Travail 
Franck Pairaud : FR3 
Georges Gumpel : Union Juive Française pour la Paix/ Fédération des Juifs Européens pour une Paix Juste 
Henri Stoll : Collectif 68 
Hilaire Folacci : Marin 
Ismahane Chouder : Participation et spiritualité musulmanes 
Représentant italien : Fédération des Juifs Européens pour une Paix Juste 
Jacqueline Lecorre : Médecin 
Jean-François Courbe : Confédération Générale du Travail 
Jean-Paul Lecoq : Député, Parti Communiste Français 
Jean-Philippe Ksiazek : AFP  
Jo le Guen : Marin 
Julien Bayou : Sortir du colonialisme 
Julien Rivoire : Nouveau Parti Anticapitaliste 
Laurence Pache : Parti de Gauche 
Laurent : Marin 
Luc Lagun Boucher : FR3 
Marie-Jo Parbot : Dessinatrice BD 
Mathieu Jeuland : Documentariste 
Medhi Amadir : Union Nationale des Étudiants de France 
Nabil Ennasri : Collectif des Musulmans de France 
Nawfel Seddik : Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives 
Nicole Kiil Nielsen : Député européenne, Europe Écologie-Les Verts 
Olivier Besancenot : Nouveau Parti Anticapitaliste 
Oussama Mouftah : Collectif Nord 
Pierre Lassus : FR3 
Quentin Girard : Libération 
Raymond Fabrègues : Coalition contre Agrexco et Confédération Paysanne 
Sabrina Kassa : Regards / Mediapart 
Thomas Sommer : Campagne Civile Internationale pour la Protection du Peuple Palestinien 
Tony Orengo : Mouvement de la Paix / Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples 
Vincent De Lignac : Commandant 
Yamin Makri : Collectif 69 

 

 


 
 
 

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